J’ai une excuse, je suis un cas social
Le cas soc' ou l'art de cultiver l'oisiveté et la déliquescence sociale. Fier de passer ses journées à ne rien faire, connaissant par coeur ses droits en matières d'allocations, Il utilise tous les rouages pourtant complexes d'un système d'aides multiples et variées. Très absorbé à ne rien faire, débordé par des problèmes mineurs, il ne survit que grâce à un système social de plus en plus incohérent.
Ne pas confondre pauvreté et cas social. On peut être pauvre et respectueux des autres et de l'environnement. On peut être pauvre et faire partie intégrante de la société. On peut être pauvre et responsable. Mais le cas social est à part. Son job consiste à attirer de la compassion et à être assisté.
J'ai un ami propriétaire d'un petit immeuble dans une ville de moyenne importance en France. Grâce à lui, j'ai découvert le monde fascinant des cas soc', de la CAF, et du fait qu'un propriétaire n'a pas de droits aujourd'hui mais que des devoirs. Loin de moi de placer tous les propriétaires sur des piédestaux mais le système social Français atteint souvent des sommets de stupidité.
Un exemple parmi tant d'autres : Vous louez un appartement à une personne et chaque mois le loyer est versé par la CAF, puisque ce locataire perçoit les ALs ou les APLs. Déjà, il vous faut savoir que si le loyer versé par la CAF est inférieur au montant du loyer, le locataire est tenu de verser la différence. Evident me direz vous, sauf que si le locataire ne le fait pas et si la CAF apprend que ce dernier n'est pas à jour dans ses mensualités, la CAF arrête le paiement de sa quote-part du loyer au propriétaire. Résultat ? Vous ne touchez plus rien. La CAF vous dira alors de faire ce qu'il faut pour être payé, sauf qu'à l'autre bout nous avons un pur cas soc', avec un n° de téléphone erroné, pas d'adresse e-mail valide donc injoignable. Raisonnement subtil et profond.
De plus, s'il prend la fantaisie au locataire de partir du jour au lendemain de votre appartement, il peut le faire. Le propriétaire ne le saura que parce que son relevé bancaire indiquera une absence du versement du loyer. Un appel téléphonique à la CAF le confirmera mais le plus surprenant est que le propriétaire apprendra que le locataire est parti ailleurs et qu'il touche les ALs pour un autre appartement. Vous pourrez toujours expliquer à la CAF qu'il ne vous a pas prévenu, pas rendu les clés, pas payé les loyers depuis deux mois au moins, pas fait d'état des lieux, etc... Ce n'est pas le problème de la CAF. De plus, cette dernière ne vous communiquera pas sa nouvelle adresse. Confidentialité oblige. Elle est pas belle la vie ?
Loin de moi de penser que la majorité de propriétaires ont des déboires avec des locataires indélicats, mais c'est beaucoup plus fréquent qu'on ne le pense.
Il y a peu, mon ami m'appelle pour que je lui donne un coup de main. Il a pu récupérer un studio qu'un locataire à quitté sans lui rendre les clés et sans laisser d'adresse. Le jour J, nous ouvrons la porte du studio. L'horreur. Même dans vos cauchemars les plus fous, difficile d'imaginer le spectacle.
Toiles d'araignées noires du sol au plafond, les murs défoncés et moisis, 1 mètre environ de canettes de bières vides ou pleines ensevelissant quelques meubles délabrés, le tout couronné par des odeurs de putréfaction. Halloween avant l'heure. On a failli s'enfuir en courant. Avec une équipe de trois personnes, il a fallu plus d'une journée pour venir à bout de ce taudis. Vive les gants Mappa...
Une fois ce labeur terminé, direction la gendarmerie pour porter plainte. Ce n'est pas que mon ami soit un aficionados des bleus, mais la moutarde lui a monté au nez. Nous sommes reçus par un policier qui lui explique qu'il est impossible de porter plainte. En effet, loyer impayé plus appartement totalement destroy = absence de délit pénal. Devant nos mines consternées il ajoute que s'il y avait une législation en faveur du propriétaire, une multitude d'associations défendant les cas sociaux crieraient à la discrimination, donc...
- Mais alors quels recours ?
- Une plainte en civil. Mais Il vous faut mandater un huissier (donc engager des frais), qui lui, saisira le tribunal. La suite restera très aléatoire.
Le gendarme enfonce le clou en disant que même si le tribunal donne raison au propriétaire, qui paiera les dégâts ? Le locataire ? En général ce genre de cas social n'a pas la queue d'un.
Moralité : Impunité totale pour des gens qui refusent toute responsabilité. En revanche, celui qui bosse est taxé de plus en plus et vilipendé.
Aucune protection pour le propriétaire à part de souscrire une assurance en cas de loyers impayés. Aux frais du proprio bien sûr, et puis à condition que le postulant puisse fournir des bulletins de salaires, et tout un tas de garanties. Dans une ville où les cas sociaux sont légion, une gageure.
C'est bien d'aider les gens, mais ce serait mieux de les faire évoluer. La seule façon de protéger une personne de sa propre stupidité, est de s'assurer qu'elle reçoive une meilleure éducation et un sens civique. Sans évolution ni éducation, une aide est vouée à l'échec. Tout le système social est décidément à réformer d'urgence.
Un excellent article :
77 réactions à cet article
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Il y a 577 deputés et 348 senateurs+ une foultitude de conseillers généraux et régionaux
,cela fait un paquet de cas sociaux...vous intéressent- ils ?
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@ TSS : Pas le même genre. Ceux là entrent dans une autre catégorie
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@ Hubert de la Cormorandière : Je serai ravi d’échanger quelques points de vues avec lui
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D’ailleurs, il est intarissable sur Victor Hugo, dont il expurge le catalogue pour nous le refiler sur Agoravox telle la pilule du lendemain
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Le cas social fait comme tous les autres : il observe son environnement, et il choisit une niche, à moitié parce qu’il y est poussé, à moitié en faisant un savant calcul de bénéfices et de risques.
C’est pareil pour les politiques qui ramassent tous les émoluments et avantages auxquels ils ont droit, et qui hésitent pas à tricher si ils savent qu’on ne pourra pas les prendre la main dans le sac.
Pareil pour les salariés qui font le choix de faire comme on leur a dit : vivre pour travailler, en chier toute sa vie avec le privilège de posséder un tout petit peu plus que les cas sociaux.
Le cas social est très utile au système. ça donne un bon bouc émissaire aux politiques pour justifier la pauvreté des travailleurs (« c’est la faute des cas sociaux »), ça maintient les salaires au plus bas, en même temps que ça permet à ces même travailleurs pauvres de s’offrir une consolation à moindres frais (« au moins, je suis pas un cas social »)
Moralité : c’est le système qui merde, c’est lui qu’il faut changer. Blâmer les cas sociaux et autres exclus est inutile ; c’est juste du folklore ancestral.
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@ trevize : Nous sommes d’accord, c’est le système qu’il faut changer. Ce qui n’exclue pas la responsabilité de chacun. Cas social ou pas, chacun est quand même responsable de ses actes.
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Gnostic a raison, c’est comme tout ces crétins qui disent : « c’est la faute aux arabes, à l’immigration, et aux roms ! »
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Bien sûr que l’individu a des responsabilités.
Mais la société a les siennes aussi, la société produit les individus, et apparemment elle ne produit pas que des cadors ; c’est quand même dingue qu’au XXIe siècle il y ait des types qui vivent dans une couche d’1m d’ordures. On peut toujours râler et leur gueuler dessus, c’est pas ça qui leur apprendra à vivre comme des êtres humains. Je trouve ça beaucoup plus grave que l’amoncellement de règles administratives idiotes qui a mené l’ami de l’auteur dans cette fâcheuse situation.Et la loi n’est pas exempte de défauts non plus. Qu’on coupe les allocs logement au locataire si il ne paie pas le reste, ça me paraît normal, mais la suite c’est n’importe quoi. C’est pas de la faute du cassos si la loi est faite de telle façon qu’on ne puisse pas porter plainte contre un locataire malpropre ou malveillant, c’est pas de sa faute non plus si les procédures d’expulsion sont si contraignantes.
Et le proprio s’est mal renseigné aussi : il y a des assurances contre ce genre de cas, et il a le droit de demander un garant, il peut passer par une agence...
On invente les lois pour palier aux défauts des humains. Si la loi est pleine de défauts et mal fichue, c’est pas la peine d’espérer que les gens vont se comporter comme des saints face à elle. Si on laisse la possibilité aux gens de tricher, fuir, et se cacher, il y en aura toujours pour le faire, ça sert à rien de rêver au monde des bisounours. La vie est opportuniste, tous ceux qui peuvent prendre un avantage le prennent.
La vérité, c’est que la société ne sait absolument pas quoi faire face à un mec qui vit dans 1m d’ordures. On lui gueule dessus parce qu’on sait pas quoi faire d’autre. On est civilisés donc on ne le tue pas, on a les droits de l’homme qui décrètent que l’homme est libre et doué de conscience, alors on le laisse s’enfoncer dans la fange, on se le refile comme une patate chaude et on lui colle tous nos problèmes sur le dos.
Je vous pose la question : qu’est ce qu’on doit faire de ces gens ? Les tuer ? durcir les règles pour pouvoir les mettre plus vite à la rue ? les rééduquer dans des camps d’état ? Les mettre aux travaux forcés pour leur apprendre la vie ? Les mettre en prison pour leur faire payer leurs fautes, et espérer que ça s’arrangera à la sortie, comme par miracle ? Leur faire rembourser les dégâts alors qu’ils ne sont pas solvables ?
Ce qu’il faut changer, ce sont les règles, vous le savez tous aussi bien que moi, on ne parle que de ça en ce moment.
Il y a deux logements inoccupés pour chaque SDF en Europe. Et des types qui vivent dans un mètre d’ordures, ils sont malades, il faut les soigner, pas les mettre en taule ou les accabler de reproches. Ils se font du mal, et ils en font aux autres. C’est criminel de les laisser faire, et c’est débile de pleurer sur les dégâts après coup.
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@Trevize
"Et le proprio s’est mal renseigné aussi : il y a des assurances contre ce genre de cas, et il a le droit de demander un garant, il peut passer par une agence..."
—> passer par une agence n’apporte aucune garantie
—> si le locataire n’a pas de garant ?
—> les assurances demandent que les revenus soient 3 x supérieurs au loyer.Le fait est que la loi protège tellement le locataire et emmerde tellement le propriétaire, que ce dernier va refuser de louer à des gens qui sont limites. La loi a exactement l’effet contraire au but recherché.
En quoi est il normal que la CAF ne verse plus les APL dès lors que le locataire ne paye plus sa part ? Là, je ne vois pas... le peu de garantie qui pourrait faire en sorte qu’un propriétaire accepte de prendre qqun qui n’a pas les garanties nécessaires par lui même s’envole.
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—> les assurances demandent que les revenus soient 3 x supérieurs au loyer.
pas le PASS-GRL -
@foufouille :
le pass GRL, parlons en. Seules qques compagnies le commercialisent, et l’acceptation d’un dossier est loin d’être automatique, c’est épluché à mort.
En gros, quand le dossier est accepté, c’est que le locataire, même s’il ne touche pas bcp / loyer, a tout de même pas mal de garanties, en CDI depuis longtemps, un dossier d’ancien locataire clean, en couple avec un conjoint qui travaille etc.Pour exemple, je fais gérer un bien, je pensais naïvement souscrire à cette assurance, l’agent immobilier m’a dit que l’assureur leur avait dit qu’au premier défaut, ils résiliaient l’ensemble des contrats souscrits au sein de l’agence. Ils sont donc très pointilleux, et hors de question de louer à un chômeur ou RSA via le pass GRL. Au niveau de leurs stats internes, 30% des prs au RSA font défaut rapidement, ils déconseillent également très vivement de louer à une prs au RSA, à part si elle est recommandée par qqun de confiance (autre agence) comme un locataire sérieux et qui paye sa part du loyer ( ce qui reste après APL).
Donc non, le pass GRL est loin d’être la panacée. Il est d’ailleurs très peu utilisé.
Ce qui faudrait pour relancer le marché locatif et le déscléroser est connu de tous et est pourtant simple, mais ne sied pas à la doxa bien pensante socialiste.
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@philippe
Je suis pas proprio, mais il me semble que les agences peuvent prendre des assurances (GRL) ; si elles n’apportent rien au proprio, je ne vois pas à quoi elles servent... mais c’est un autre problème.La CAF ne verse pas vraiment les APL au propriétaire. C’est le locataire qui fait la demande et apporte les preuves qu’il y a droit. Les APL, c’est une affaire entre la CAF et le locataire. De base, les APL lui sont versées, mais il y a une option permettant au locataire de demander à la caf de verser l’APL directement au propriétaire. Les agences (de mon expérience) n’aiment pas trop les paiements fractionnés en général (ça leur fait du boulot en plus, vous comprenez), alors elles demandent souvent au locataire de se faire verser ses APL et de tout payer d’un coup.
Pour avoir le droit à ces APL, le locataire doit tenir ses engagements, notamment payer son loyer. Si il ne le fait pas, on lui coupe ses APL, comme on coupe le chômage à celui qui ne pointe pas à pole emploi. C’est comme ça, c’est les règles, si elles ne vont pas, c’est elles qu’il faut changer, et ça sert à rien de blâmer le cas social.Si le locataire n’a pas de garant, il peut déposer un dossier de droit au logement opposable.
C’est clair que ce genre de cas n’encourage pas les propriétaires à louer aux bas revenus. Mais dans ce cas précis, le propriétaire, en louant à quelqu’un qui touche moins de 3X le loyer sans prendre de précautions (assurance, garantie), il fait acte de charité et de confiance certes, mais il endosse en fait personnellement les défauts de la loi, qui sont pourtant une faute collective. Il se plie à la loi, il se montre plus souple qu’il ne devrait pour corriger les défauts de la loi ; c’est une inversion des rôles complètement antinaturelle. Si le système fonctionne mal et que nous camouflons ses défauts en les prenant sur nous, alors ces défauts ne deviennent jamais flagrants et on ne s’y attaque jamais. On laisse faire, ça s’installe dans la normalité, ça devient une coutume, multipliez ça par tous les domaines d’action de la loi, appliquez pendant 50 ou 60 ans, et ça vous donne la France : un îlot de grands principes trop peu respectés, entouré d’un océan de problèmes.
Mais tout ça c’est annexe ; la vraie question, c’est : que doit faire la société d’un type qui vit dans les ordures ?
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@philippe
"Pour quels locataires ?
Tout locataire dont les ressources sont au moins égales au double du montant du loyer charges comprises, même si elles ne résultent pas d’un contrat de travail à durée indéterminée. Peuvent être pris en compte : CDD, intérim, allocations, prestations sociales, pensions, etc.
Un locataire déjà en place depuis au moins 6 mois et n’ayant pas connu d’impayé est également éligible. «
ce que tu dis est faux, tu doit confondre avec une autre assurance GLI
»l’agent immobilier m’a dit que l’assureur leur avait dit qu’au premier défaut, ils résiliaient l’ensemble des contrats souscrits au sein de l’agence."
totalement illégal, c’est direct le tribunal pour escroquerie -
@foufouille :
non non, je ne confonds pas du tout, la GLI, c’est l’assurance classique, la GRL c’est l’assurance prévue pour les « précaires ».
Ce que tu ne vois pas, c’est qu’être éligible ne veut pas dire être élu, c’est là que tout change.Et concernant la résiliation, ça ne veut pas dire qu’ils ne prendront pas en charge le sinistre, il sera pris en en charge. Mais ils résilieront après. Un assureur n’est pas lié à toi pour la vie, comme toi tu ne l’es pas non plus. L’agent ne m’a pas donné les détails, mais j’imagine que ça voulait dire que l’assureur allait résilier tous les contrats un par un, au fur et à mesure de leur arrivée à échéance, tout simplement, comme il en a parfaitement le droit, aucune escroquerie ou malversation...
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Mais c’est complètement débile ! en clair l’assurance prend l’argent tant que tout va bien, et elle se désengage au moindre problème ? On est à la limite de l’escroquerie, là. A quoi ça sert de payer alors ?
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@philippe
donc, ce serait un information mensongère ?
un assureur doit avoir un motif valable pour résilier. il suffit de l’enregistrer quand il le dit = dépôt plainte -
non non, pas du tout, aucune informatyion mensongère, rien de tout ça, pas forcément de motif valable, comme tout contractant, il peut résilier à l’échéance.
tu pourras déposer toute les plaintes que tu veux, ça n’est aucunement pénal, et, au civil, ça sera rejeté
art L113-12 du code des assurances, tout simplement.
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@trevize.
elle va prendre en compte le premier sinistre, et après, terminé. Elle fait ça pour responsabiliser les propriétaires quant au choix de leur locataire, tout simplement, ce que n’a toujours pas compris l’état-maman, qui pense que le proprio est un gros méchant qui doit assumer la politique sociale tout seul ou pas loin, avec le résultat qu’on connait.
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@ trévise : Les assurances ont une fâcheuse tendance de résilier les contrats quand on a le moindre sinistre. C’est valable pour toutes sortes contrats. C’est une escroquerie, car ils veulent nous assurer à condition que l’on n’ai jamais de sinistres.
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@philippe
donc, ce serait un information mensongère car le pass GRL ne serait pour tout le monde ?
. locataire riche ou pauvre ça change rien, un salaud reste uin salaud.
pour l’assurance, c’est une escroquerie car il y a tronperie sur l’objet du contrat. ce que tu peut prouver avec un enregistrement puis car les autres contrats sont résiliés à la suite d’un sinistre. -
@foufouille.
Avant de continuer, je suis d’accord avec toi, un salaud, pauvre ou riche, reste un salaud, et j’ai au moins un exemple d’une personne gagnant très très très confortablement sa vie (autant que je me souvienne, 8-9000 € ) qui louait de beaux logement dans de beaux quartiers de Paris, payant rubis sur l’ongle le premier mois, la caution, et attendant ensuite de se faire expulser, en ayant bien pris soin de se rendre insolvable, ou tout du moins insaisissable...Sinon, pour en revenir à nos moutons, je vois que tu as du mal à saisir mais que tu veux comprendre.
un crédit est possible pour tout le monde, pourtant, essaye de te faire prêter 10 millions, est ce que les banques mentent quand elles disent qu’elles font des crédits ? non.
Idem pour l’assurance. ça n’est pas l’état qui assure la GRL, ce sont des assureurs privés qui la commercialisent, et ils cherchent naturellement à limiter les risques au maximum. Je te rappelle également qu’ils ne sont en aucune manière obligés à contracter.
Donc, si une personne présente un risque tel qu’il est quasiment sûr qu’elle fera défaut rapidement, l’assureur refusera de l’assurer. De la même manière que les assureurs refusent d’assurer le véhicule de certaines personnes.Et dans le cadre de la menace de résiliation que je t’ai citée, il n’y a aucune escroquerie, tu conclus un contrat avec l’assureur, celui-ci est libre de le résilier dans les conditions prévues par le code des assurances, dont une est la résiliation sans motif lors de son terme, une fois par an au moment de l’habituelle tacite reconduction. Encore une fois, ça ne veut pas dire que lorsque le sinitre arrivera qu’il refusera de le prendre en compte, pas du tout, il sera pris en compte, mais le contrat, ainsi que tous ceux pris dans la même agence, résilié dès que possible dans le respect du code des assurances.
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@philippe
« Idem pour l’assurance. ça n’est pas l’état qui assure la GRL, ce sont des assureurs privés qui la commercialisent, »
sauf que le PaSS grl prétend l’inverse et les assureurs aussi. un crédit est sous condition.
pour l’assurance, c’est une escroquerie car lié au sinistre, si en plus tu enregistre cet escroc, tu peut gagner au tribunal -
@trevize
vous avez parfaitement raison sur plusieurs points.
—> effectivement, l’APL est un droit du locataire qui est versé directement au propriétaire, mais reste un droit du locataire. Concernant les agences, je n’en pratique qu’une, et elle se fait verser l’APL directement, elle préfère éviter que le locataire ait la tentation de s’en servir pour autre chose. Concernant le fait qu’elles cessent d’être versées si le locataire ne paye pas sa part, je blâme la régle, pas le locataire. La collectivité veut aider le précaire, mais ne rassure pas le propriétaire, or, c’est surtout de ça dont il a besoin, être rassuré, et, avec cette régle, il n’en est rien.
—> le DAL est une vaste blague, l’état a sorti un truc qu’il est incapable d’assurer, en voulant être maître de tout.
—>la GLI, lorsqu’elle est sortie, voulait faciliter la location, elle a fait en sorte que les prs non éligibles voient le marché se fermer encore plus devant elles. La GRL a tenté, sans succès, d’y remédier.Et vous avez encore raison, l’état mets sur le dos des propriétaires conciliant le rôle de bailleur social, en refusant de prendre sa part, et, en même temps, au nom de grands principes, fait tout pour le décourager. On nage en plein n’importe quoi.
Concernant les SDF, la question est difficile, mais encore une fois, l’état nage en plein paradoxe.
Il préfère loger dans des hôtels miteux et hors de prix des familles éligibles au DAL, mais, dans le même temps, refuse de les cautionner ou de prendre en compte leur loyer si ils devaient être logés dans un vrai appartement, alors même que ça reviendrait infiniment moins cher....Il y a toutefois plusieurs trucs qui existent pour inciter les propriétaires (mais avec toujours l’épée de damoclès de la personne qui ne paye plus ses loyers et reste quasi inexpulsable) :
- la loi borloo ancien, qui octroie une déduction fiscale en contrepartie d’un loyer plafonné et d’un plafonds de ressources quant au locataire, mais le plafond est trop bas, ne compensant pas la perte de loyer....
- Il y a également la possibilité de louer à une association qui va le gérer comme elle l’entend, et le restituera à la fin de l’engagement, avec tous les travaux de faits pour le remettre en état si il y a besoin. L’avantage est également une forte déduction fiscale, mais avec, encore une fois, la plupart du temps, des plafonds trop bas pour être intéressants... De plus, il est très difficile de trouver un interlocuteur eet de faire gérer son bien ainsi si on est intéressé... à n’y rien comprendre.L’état n’est absolument pas conséquent dans sa, dans ses politiques, manquant de pragmatisme et faisant preuve d’idéologie électoraliste à tous les étages (gauche et droite confondus)
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@foufouille :
"La garantie des risques locatifs (GRL) est un dispositif par lequel un bailleur souscrit un contrat dénommé « contrat socle GRL » avec une compagnie d’assurance afin de se prémunir contre certains risques liés à la location."
SOUSCRIT un contrat, pas impose un contrat, ce qui implique que les deux parties soient d’accords. Il n’y a rien qui soit de droit là dedans, il n’y a AUCUNE loi IMPOSANT à l’asureur de contracter, je pense que c’est ce que tu ne comprends pas.Le pass grl, comme le crédit, est aussi sous conditions... justement, il n’y a pas de différences.
relis ta définition de l’escroquerie... ça n’a rien à voir, tu pourrais à la limite te battre sur un non respect des obligations contractuelles, mais serais débouté de toute manière. Encore une fois, l’assuré comme l’assureur peuvent, sans raison particulière, résilier, ou si tu préfères, ne pas reconduire le contrat à l’échéance, aucune des deux parties n’a à se justifier, et tu pourras apporter toutes les preuves de ce que tu veux, c’est un droit pour les deux parties, droit qui est dans l’article que je t’ai mis en lien, je ne comprends pas ce qu’il te faut de plus...
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Garance 31 octobre 2014 20:12Ce qu’il y a de bien quand vous êtes un cas social sans emploi c’est que vous pouvez prétendre à des aides
Tel ce nouveau chômeur :Croisons les doigts pour que ça marche pour luiIl y a assez de malheureux en France aujourd’huiN’oublions pas que l’hiver approche à grands pas et Noél aussi : quel beau cadeau ce serait pour lui que l’on puisse lui accorder cette bourse : il la mérite tellement-
@ Garance : Décidément la politique ...
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Garance 31 octobre 2014 20:38Clojea
Faut le comprendre ce pauvre Branlebourg : l’a pas eut pot , c’est fait viré après les zeuropéennesC’aurait été avant il était député européen à c’t’heure-ci et l’aurait pas eut besoin de cette bourse pour se recyclerQuand ça veut pas....ça veut pas.... -
J’suis étonné qu’il n’ait pas demandé une bourse pour l’école de clown. Peut-être qu’il envisage d’obtenir le diplôme par la VAE
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bonsoir, j’en ai sous les yeux des cassocs, vous savez ce que c’est ? des pantins totalement dans la merde et totalement dépendants de la conso, la première chose à detruire chez eux c’est la télé
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@ Hans : C’est sur que la télé n’arrange rien, vu la qualité des programmes « culturels »
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Les cas sociaux sont les parasites d’ un autre genre que ceux que vous décrivez : ce sont les criminels en col blanc, ceux qui décrètent comment les autres ont à vivre ou à se comporter, ceux qui vivent aux crochets de la majorité grâce à leur arnaque de l’ argent-dette et à toutes celles qui en découlent.
Les cas soc que vous présentez sont les produits de ce que les systèmes de ces parasites engendrent.
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il y a des propriétaires heureux !
j’avais pour voisin un turc qui avais fait restauré par ses compatriotes(lui je ne lui ais jamais vu sortir les mains de ses poches ! ) une maison d’une douzaine de pièces et 6 garages était composé de 2 hommes , pour y loger sa famille et 4 locataires . une des locataire m’a fait la confidence d’avoir vu le relevé général de la caf concernant cette maison . y figurait comme bénéficiaire de l’apl elle même ,les 3 autres locataires et 4 fois le nom du propriétaire avec des prénoms différents !
sa famille était composée de 2 hommes ,4/5 femmes non identifiables car entièrement voilées et une ribanbelle d’enfants
personne dans cette famille ne semblait avoir un travail mais roulait mercédès ,audi et espace !
elle est pas belle la vie ?-
@ non667 : Le must d’un système complètement stupide et permissif qui coûte un Max a la classe moyenne.
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Quelques cas sociaux à régler avant de fustiger les victimes de ces escrocs et charlatans.
"Un risque d’épidémie croissant
L’amnésie, la « bonne foi » ou la phobie administrative semblent être des arguments courants chez ces malades du pouvoir, à tel point qu’on se demande si ces pathologies ne devraient pas faire l’objet d’une inscription sur la liste des maladies professionnelles, car à côté de ces trois exemples récents, de nouveaux foyers se déclarent : c’est par exemple un ex président de la république et son chef de parti qui déclarent ne pas être au courant de la disparition de 18 Millions d’euros pendant la dernière campagne. Un comble pour des gens prompts à stigmatiser les autres des pires turpitudes fiscales ou sociales.
Ce sont également ces élus locaux, conseiller de Paris pour l’une, qui critique la politique de logement social de la Ville tout en bénéficiant d’un logement social, d’un Maire de la Seine Saint Denis qui cumule une coquette indemnité d’élu avec des allocations chômage ou bien encore une élue des Hauts de Seine qui fait de même. Et les exemples sont légions !
Toute pudeur semble abandonner certains édiles une fois en poste et on pourrait ajouter à ces « malades professionnels » ceux qui plongent en toute conscience la main dans le pot de confiture et connaissent actuellement des démêlés avec la justice dont on ne connaîtra les résultats que dans 5 ou 10 ans, une fois les projecteurs et tous les recours éteints, et suffisamment de points accumulés pour couler une retraite paisible.
Des symptômes de mieux en mieux connus...
... mais des effets secondaires mal maîtrisés. Tout se passe en effet comme si cette forme de maladie provoquait des troubles sélectifs de la mémoire et un sentiment de supériorité et d’impunité excessifs. Or nous avons besoin d’élus performants intellectuellement et non de malades à la conscience altérée pour conduire les affaires du pays et l’aider à se redresser.
Comment expliquer en effet que la stigmatisation des demandeurs d’emploi et d’allocataire supposés fraudeurs soit courantes alors même que l’on voit rarement nos élus monter au créneau pour dénoncer la fraude sociale des entreprises (travail au noir en particulier) et la fraude à la TVA sinon par des troubles cognitifs ? Dans le premier cas, ce sont 2 ou 300 millions qui sont en jeu, et dans le second entre 30 et 40 milliards.
Fort avec les faibles et faible avec les forts, voilà le symptôme le mieux connus désormais de ces maladies professionnelles. "
Source :http://fr.sott.net/article/23691-Amnesie-fiscale-de-nos-pauvres-elus-mettons-fin-a-leur-souffrance
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Eh oui, ça n’arrive qu’aux autres bien sûr. Le système irresponsable soixante-huitard aboutit à ce que les gens qui bossent n’ont que des devoirs et ceux qui ne branlent rien que des droits. Pire, ce sont ces mêmes branleurs qui vous insultent et vous font la leçon sur ce site. Nos gentils élus socialo n’ont que le mot justice et équité en bouche, mais quand il s’agit d’eux-mêmes ils sont prêts à renier leurs beaux discours. Suffit de voir le chevalier Montebourg demander une bourse pour sa pomme alors qu’il vient de voter un texte supprimant les bourses au mérite. Si j’ai bien compris, c’est la bourse à l’échec politique qui sollicite aujourd’hui.
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Je suis un cas social depuis des années à cause d’un système qui m’empêche de travailler dans le sud de la France.
Je suis passe du RMI au RSA en travaillant un peu au black, pour rembourser mes dettes du aux échecs sur la création de mon entreprise.Par exemple : Savez-vous que j’ai contacté le service publicité du journal 20 minutes, pour acheter un espace publicitaire et commercialiser un détecteur de fumee( obligatoire en 2015 ) dans chaque foyerJ’ai ainsi proposé de verser une partie de mes bénéfices pour financer du reboisement aux environs de Marseille ( car selon l’UNEP -ONU le reboisement est indispensable dans le cadre de la LUTTE CONTRE LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE) pas seulement en FrancePROJET CENSURE-
@ rebelle : je ne connais pas votre histoire donc je ne me permettrai pas de juger. Que l’on se comprenne bien, je ne suis pas antagonisme au cas social, je suis surtout antagoniste à un système qui ne fait rien pour les améliorer mais qui les confinent dans une dépendance stupide.
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Glojeavous vous trompez de cible-
C’est facile de tirer sur les ambulances, mais ça n’arrange pas la situation sanitaire du pays.
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Excusez moi Diogene, mais une société est composé d’individus qui ont tous un rôle à jouer pour la continuité de celle ci. Que les politiques et les gouvernements soit des incapables, des cupides et pour certains d’entre eux des criminels, je vous l’accorde. Je pense que j’écris pas mal de billets sur le sujet. Mais, il ne faut pas oublier la responsabilité du citoyen lambda qui cautionne de près ou de loin les gouvernements. Seule, une poignée de gens sont conscients des véritables enjeux d’une mondialisation criminelle qui ne verse pas dans l’altruisme. Quand aux cas soc’, ils sont tout aussi responsables que vous et moi dans cette société, et je constate qu’aujourd’hui, rien n’est fait pour les faire évoluer. Mais pendant ce temps qui morfle ? Le citoyen moyen qui bosse, et ce dernier en a ras le bol
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L’article que vous citez du site « dissidence française » (tout un programme...) ne se contente pas de fustiger les « cas sociaux » mais range pêle-mêle dans cette catégorie les travailleurs jugés indignes, les péquenauds qui ont le tort de commettre des fautes de goût (fans de Johnny, etc.), les chômeurs et déclassés sociaux accusés de complaisance, les pauvres qui ont toujours assez d’argent pour acheter des « écrans plats », etc... ça commence quand même à faire beaucoup de monde.
Par ailleurs, je trouve ça toujours hypocrite de se retrancher derrière des exemples personnels (mon ami proprio, etc.) pour les ériger en vérité sociologique absolue. Je critiquerais de la même manière l’étiquette « bobo » qui ne veut strictement rien dire. Au départ c’est un terme qui fait référence à la bourgeoisie libérale de la côte ouest américaine (« bobos in paradise ») puis qui est repris par des magazines et des chroniqueurs pour désigner la bourgeoisie de l’est parisien (gentrification). Puis le terme, à partir de la chanson de Renaud, devient une étiquette adoptée par l’ensemble des médias. Dix ans plus tard, les bobos sont partout, il suffit de consommer quelques produits bio, d’être végétarien ou de s’interroger sur le climat pour se faire traiter de bobo par un réac de service donneur de leçon.
Les « white trash » et autres « cas soc »’ c’est exactement la même chose. Au début on veut juste pointer du doigt un phénomène qui se discute, mais qui est réel (le produit de l’individualisme et de la pauvreté), et puis on finit par voir des cas sociaux partout autour de soi : l’expérience a valeur de preuve. « Mon ami m’a dit que ». Tiens, un couple de prolo en jogging dans un supermaché = cas soc. Un jeune au chômage qui décroche = cas soc. Au final, la moitié de la population est techniquement un « cas social ». Salauds de pauvre !
Je ne conteste même pas ce point de vue mais il me paraît plus convenable de l’assumer idéologiquement plutôt que de se livrer à un énième exercice de pseudo-sociologie réactionnaire étayé par des commentaires vestimentaires et un réquisitoire stéréotypé contre la « société de consommation ».
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@ Joe Chip : L’article me paraît intéressant car quand vous observez les gens et que vous êtes confronté à toutes les couches sociales de la population, on s’aperçoit que les descriptions de cet article sont très proches de la réalité. On peut être d’accord ou pas, mais c’est un fait.
Ensuite, vous me dites qu’il est facile pour moi de se retrancher derrière un ami et les situations qu’il rencontre’...Sauf que, ayant participé au déblayage et décrassage du studio, je me sens concerné voyez vous, et la moutarde m’est montée au nez également. Il y avait de quoi. -
Je loue plusieurs appartement à des personnes au RSA ou travailleurs pauvre, mes locataires me paie tous leurs loyers en 25 ans je n’ai quasiment jamais eu d’impayé certains de mes locataires sont là depuis plus de 10 ans.
Je pratique des loyers raisonnable, je vis dans le même immeuble et j’ai généralement de très bon rapport de voisinage.
Quand vous avez l’impression de vous faire escroquer par un proprio qui pratique des tarifs prohibitif il est assez courant de se venger en fin de bail.
Pour ce qui est de la CAF c’est effectivement n’importe quoi il faut très souvent 4 mois à un locataire pour pouvoir toucher ces premières allocations.
Effectivement il faudrait que les loyers baisse pour cela peut-être des mesures incitative pour que les maisons vide soit loué et sécuriser le paiement des loyers. Pourquoi ne pas baisser les impots fonciers pour les maisons loué et en parallèle les augmenter quan les maisons sont vide.-
@ raymond 2 : Vous êtes chanceux, mais ce n’est pas le cas de bien d’autres. A part ça, je ne dis pas non plus que tous les bénéficiaires des Als de la CAF sont des arnaqueurs, mais il y en a un certain nombres qui n’en non rien à battre.
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de même, un certain nombre de bailleurs n’entretiennent rien.
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@raymond 2
Ne trouvez-vous pas que votre réponse manque d’empathie ? En filigrane, vous accusez quand même l’auteur de l’article d’être un mauvais proprio qui pratique des loyers trop chers alors que l’on a aucun élément pour juger. Ne seriez-vous pas de ceux qui lorsqu’on leur parle de viols répondent que les femmes ne devraient pas se vêtir aussi court ? -
J« e pratique des loyers raisonnable, »
La question, c’est : qu’est-ce qu’un loyer raisonnable ?Un loyer qui ne dépasse pas la moitié d’un smig ?Parce que dans votre auto-satisfaction manifeste, vous ne semblez pas réaliser que c’est vous qui vivez aux crochets de la société.En effet vous disposez semble-t-il de plusieurs appartements, sans doute hérités et qui ne vous ont pas coûté une goutte de sueur, ce qui vous permet de voler littéralement la moitié de ce que gagnent d’honnêtes travailleurs, la moitié de leur travail.Vous êtes donc ce qu’on ne peut appeler autrement qu’un esclavagiste, et fier de l’être, une sorte de parasite qui fleurit à notre époque..C’est la CAF et le travail des hommes qui assurent vos revenus confortables et vos vacances sous les cocotiers.Il y a assez de logements en France pour loger tout le monde, et la location d’un logement devrait être tellement taxée (les taxes étant rendues à l’occupant sous forme d’AL) que la spéculation immobilière n’intéresserait plus personne. Bien sûr, la possession d’un logement inoccupé également.De ce fait, les prix des logements baisseraient tellement que les spéculateurs les revendraient, et que ces logements deviendraient accessibles à la propriété pour bien moins cher que les loyers qu’ils perçoivent aujourd’hui.J’espère qu’après m’avoir lu, votre bonne conscience en aura pris un coup.Mais j’en doute.Il y a des choses qu’on n’aime pas comprendre. -
louer un bien c’est du vol ?
j’ai un bien que j’ai acheté à crédit, que je loue également à un prix raisonnable, que je n’augmente d’ailleurs pas depuis plusieurs années, je fais même cadeau de la régularisation des charges à mon locataire, je fais des travaux régulièrement dans cet appartement, mon locataire est content de l’appartement, content de moi comme propriétaire, même s’il trouve quand même les temps difficiles, ce que je comprends vu sa situation. Suis je un esclavagiste ?Après, quand je vois que la taxe foncière représente plus de 2 mois de loyers, que, avec les impôts sur le revenu (14%) + csg (15.5), çàa représente environ 45% des loyers qui partent à l’état, je me dit que l’état l’est autant que moi, sinon plus, car sur les 55% qui me restent, j’ai encore qques charges à payer, et qu’ainsi, au final, l’état touche plus que moi sur mon investissement. Et encore, ma tranche marginale n’est que de 14%...
taxez, taxez, taxez encore plus, plus personne ne voudra investir. Alors oui, dans un premier temps le foncier va s’effondrer, ce sera autant d’argent que vous aurez pris, notamment, aux clases moyennes dont je fais partie. Mais ensuite, vous le dites vous même, plus personne ne voudra investir, donc construire, et, dans qques années vous aurez une pénurie énorme avec, comme pour le chômage, les insiders, qui auront leur logement et ne voudront pas le quitter, et les autres, qui n’arriveront pas à se loger, mais plus du tout quelque soit le prix, où alors, seront obligés, comme on commence à le voir, à sous louer des biens de la main à la main, pour cher, sans APL, sans aucune protection.
Mais Il y a des choses qu’on n’aime pas comprendre.
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Vous êtes donc propriétaire d’au moins deux logements : c’est un de trop.
Quel jeune, aujourd’hui, pourrait se payer deux logements, quand il ne peut même pas espérer en posséder un seul ?Et pourquoi cette aberration ?Parce que les spéculateurs, petits ou gros, ont tellement fait monter le prix des logements qu’ils deviennent inaccessibles.Il n’y aura aucune pénurie de logement quand il sera moins coûteux d’acheter que de vous offrir des rentes.Parce qu’il n’y a pas que la spéculation sur l’habitation elle-même, il y aussi la spéculation sur les terrains, qui sont une véritable folie.C’est la loi de l’offre et de la demande, direz-vous. C’est une mauvaise loi, que seul un Etat peut modifier.La seule solution est que l’Etat vous taxe à mort, vous obligeant à vendre.Et vous verrez que tout rentrera dans l’ordre. Les gens auront plus d’argent pour faire tourner la machine économique, au lieu de le perdre dans un loyer extravagant.Seulement voilà : l’Etat vous pique des taxes, et profite du système : ces taxes, c’est indirectement au locataire qu’il les prend, puisque vous les répercutez sur les loyers. Il n’a plus ensuite qu’à faire le généreux avec l’APL.Je sais que vous n’êtes pas un mauvais homme : simplement vous n’avez pas compris que vous êtes, à votre niveau, un esclavagiste. L’esclavage est le principe même du système capitaliste. Un esclavage qui ne dit pas son nom, mais qui n’a pas changé depuis des siècles : des hommes qui doivent travailler pour que d’autres hommes n’aient pas à le faire. -
le contrôle des loyers post 1ère guerre mondiale, puisqu’indirectement, c’est ça que vous préconisez, a conduit à une pénurie des logements.
Si l’investisseur privé ne fait plus de logements, qui les fait ? l’état ? avec quel argent ? et une fois ces logement faits, qui les attribue ? toujours l’état ?
donc, en fait logement social pour tout le monde.
Quand on voit la gestion des logements sociaux par l’état, (clientélisme, privilèges, gestion et entretien déplorables), ça a de quoi faire peur.
Mais c’est ça que vous voulez ?Mais il y a des choses qu’on ne veut pas comprendre.
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Vous comparez la misère de l’après-guerre et la relative aisance d’aujourd’hui, ce n’est pas très honnête.
Les travailleurs auront tous de quoi se payer un logement si la spéculation cesse.Parce qu’un nombre incroyable de logements seront remis sur le marché s’ils ne rapportent rien.Et donc leur prix chutera.Ce qui ne vous arrangerait pas, je peux le comprendre.Dans un monde normal, on n’a pas besoin d’investisseurs privés. L’investisseur privé est un parasite qui vit sur le dos de la bête. Et c’est vrai dans tous les domaines.On a besoin de travailleurs, pas d’investisseurs-spéculateurs-esclavagistes-parasites (c’est la définition de la banque, tiens !).
Le travail : la seule valeur.Et les logements sociaux sont une aberration de plus : quand on est propriétaire de son logement, on l’entretient, faute de quoi on perd ce qu’on possède .L’usine à l’ouvrier, la maison à son habitant, et le rentier au boulot.Voilà la clé. -
Je compare avec la misère de l’après guerre et ça n’est pas honnête ? vous faites de même, en expliquant que les loyers représentaient 10% des revenus après la 2° et 50% maintenant (sources ?)
mais non, je ne parlais pas de la misère, juste du contrôle des loyers, vous ne m’avez pas bien lu. Donc je réexplique.
Oui, effectivement,dans un premier temps, les prix vont s’effondrer, les gens cherchant à revendre en masse. Cela fera t-il pour autant plus de logements disponibles ?
Je ne sais pas si vous suivez bien l’actualité, mais le problème actuel, outre les prix du foncier, c’est le manque de logements disponibles.
Vous pensez sincèrement que des centaines de milliers de logements sont, dans les zones tendues, inoccupés ? vous vous leurrez.ah mais j’ai compris, vous souhaitez un monde où 100% des gens sont propriétaires de leur logement, et vous pensez que ça fera baisser les prix du foncier.
Mais une fois que les locataires seront tous devenus propriétaires de leurs logements à vil prix, et que chacun n’aura plus qu’un seul logement, que se passera t-il ? La phase de vente massive étant terminée, le marché va se rééquilibrer et les prix remonter.
La pénurie de logement sera la même, sauf qu’en lieu et place de locataires, vous aurez des propriétaires.
les coûts de construction, eux, ils ne vont pas changer. Dans les zones tendues, vous aurez toujours le même problème de place, d’absence de terrain disponible. les prix seront donc les mêmes.
Mais là où un investisseur pouvait se permettre d’investir pour construire un immeuble et se débrouiller pour le vendre avec +value à des particuliers pour qu’ils l’habitent ou le louent, vous n’aurez plus personne. L’état vous me dites ? ah non, vous avez reconnu qu’il était nul pour gérer ce genre de choses.
Donc personne, donc plus de construction. Vous aurez donc ceux qui ont pu acheter leur logement pas cher lors de l’effondrement des prix, et tous les autres, ceux qui ont acheté avant, avec un gros crédit, et ceux qui arrivent après, qui ne pourront plus ni acheter, ni louer.mais il y a des choses qu’on ne veut pas comprendre.
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@doc
certaines personnes ne peuvent être propriétaire car incapable de gérer les travaux ou n’en ont pas envie.
des logements vides privé ou publique, il y en a beaucoup dans les petites villes. la plupart en mauvais état mais pas tous.
l’important est d’avoir un toit pas trop cher. -
mais ça n’est pas dans ces petites villes que les problèmes résident...
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Pourquoi ne pas supprimé la taxe foncière qui entre autre défaut endette, augmente les loyers (logique). Aujourd’hui les communes entre autre vive essentiellement de çà et du essaye de ne pas augmenter les taux, du coup en ayant besoin (légal) d offrir plus de services que ce soit au niveau écologique ,sécurité,social ou animation elle n’on pas grand choix... Pour ce faire a défaut d augmenter les impôts foncier, elle ajoute des payeurs donc nouvelle constructions, les locaux commerciaux notamment sont une manne bien que en agrandissant les zones il appauvrisse les centre, ou les locaux commerciaux reste vide et les centre ville de plus en plus mort(du coup inintéressant ). Le soucis en tous cas pour moi c’est que ayant des locaux non loué en centre ville je dois payé mes 3500 euros de foncier,ou alors ... en plus du coup les locaux vide étant peu apprécier par les assurances on a le droit a une surprime si on trouve un assureur, mon assureur de base ma jeter au bout d’un an de non loué... Donc pour en revenir au foncier au lieu de taxe sur un bien existant (et théoriquement a entretenir si moyen financier) les communes (etc.) étaient payer sur notre confort bien être etc.. Donc a mon sens avec une juste cote part des impôts sur le revenu,et sur la TVA (taxe valeur ajouté) on dépense l argent que l on a dans la poche (mieux que les emprunts bancaire) et on créer une richesse en améliorant (ce qui est le but je crois de tous un chacun) notre environnement de vie.Donc on fait des travaux, on achète des babioles ou une belle cuisine ( LOL ) restaurant , et l’on donne une cote part (20/100 de TVA) pour cette valeur ajouter a notre confort de vie.aujourd’hui les service fiscaux on toute capacité a faire une répartition juste de leurs recettes, y compris pour les amateurs de confiture bancaire (placement taxé sur leurs revenus).ou les achat sur le NET. Bref je reste un utopiste ...
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le gendarme a tord. la plainte est possible avec des preuves.
pas besoin d’huissier pour saisir le tribunal d’instance. une fois le jugement rendu, ça peut prendre longtemps ou pas pour récupérer les loyers.
le PASS-GRL ne demande aucune condition spéciale sauf la décence du logement.-
Alors là Foufouille, pas d’accord. D’après d’autres infos, ce n’est pas du pénal mais du civil. Et puis, les 8 ou 10 000€ de travaux nécessaire à remettre en état l’appartement ne seront jamais payé de toutes façons.
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il y a dégradation de bien privé, ça peut être du pénal. comme un tag sur un mur (il me semble).
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Garance 1er novembre 2014 12:40-
Garance 1er novembre 2014 13:39Bande d’ hypocrites qui s’apitoient sur les Cassos
Ca moinsse pour se donner bonne conscience d’avoir voté pour le pourri qui se dit présidentCe pourri qui crée 1000 Cassos par jourCe Pourri qui enlève le petit prêt qui permettait aux Sans-Dents d’ accéder à la propriété , que lui-même dans un moment d’égarement avait accordé alors que l’ ordure de Le Paon refait son pied à terre parisien pour 130 000 euros sur le dos des abrutis qui ont écouté ses directives de voter pour ce même PourriLe Pourri au ordres de Gattaz qui avant 6 mois aura obtenu sa dernière lubie : le licenciement sans motifCombien d’emplois crées avec les 70 milliards envolés pas perdus pour tout le monde ? : 1000 chômeurs de plus par jourNullos que vous critiquez du bout des lèvres alors qui si demain il était en possibilité de se représenter vous revoteriez pour luiVous me donnez tous envie de gerber les suces bite du Nullos et affidés-
Selon ma vision, celui qui veut être propriétaire est le plus fou des 2. On peut réstaurer comme a la belle époque le délit de pauvreté issu d’un capitalisme débridé et réinstaurer ainsi l’esclavage. Faire louer aux pauvre et gagner de l’argent sur eux via les APL aucun souci là ? par contre il ne faudrait pas gérer les problèmes quand il se présente ? Je suis plutôt content qu’il y est des soucis pour ceux qui profitent à leur manière aussi de la société !
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Drole d’inversion des valeurs !
Le propriétaire loue et les aides sociales aident le pauvre à accéder au logement.
C’est ce qu’on appelle la redistribution.Mais par principe il faut toujours que ce soit le propriétaire le coupable ?
Ce discours revient à donner bonne conscience aux fraudeurs et aussi à détruire, in fine, le système de redistribution.Et au final les baisés ce sont les pauvres qui ne fraudent pas.
Merci, beaucoup, pour eux. -
@ Hachka : Sauf que la ce ne sont pas des soucis mais d’énormes problèmes financiers que le proprio doit gérer. Ce qui implique que s’il ne peut pas payer les travaux, son bien ne vaut plus rien.
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Alors, qu’il le revende et cesse de se plaindre.
Si les spéculateurs cessent de s’intéresser au pactole, les prix baisseront et l’accès à la propriété redeviendra raisonnable.Après guerre, un gros loyer, c’était 10% d’un salaire.Aujourd’hui, un loyer « raisonnable », c’est 50% d’un salaire.Les spéculateurs-esclavagistes sont passés par là.En plus, ils pleurnichent : ce n’est pas encore assez. -
Le cassoc’, c’est celui qui croit qu’on peut gagner quelque chose en faisant bosser les autres : ton pote.
Il faudrait peut-être, selon toi, que la police se charge de l’expulsion, que la CAF s’occupe du recouvrement et que la Justice le dédommage pour le préjudice subit ??
Bref, c’est le lot commun des assistés de ne pas assumer leurs charges.
T’es sûr que ton pote est réglo vis à vis du Droit ??
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Hum... cette douce critique de la propriété privée que l’on sent poindre derrière votre commentaire. Vous nous donnez votre adresse qu’on s’organise un petit projet X ? Je crois que ça vous ferait rapidement changer de point de vue sur le sujet. Après tout, si votre logement n’est à personne, c’est donc qu’il est à tous.
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Il est certainement davantage à celui qui en paye le loyer (lequel couvre le plus souvent l’achat par le propriétaire après quelques années) qu’à celui qui en a hérité (le plus souvent) et se contente de ramasser le fruit du travail des autres.
Si le principe ne vous convient pas, vendez, et dépensez votre argent : cela fera au moins tourner la machine économique, tout en ramenant l’immobilier à des prix décents.Personne ne devrait appuyer sa fortune sur le travail des autres : le travail est la seule valeur.Et la spéculation, l’immobilière comme les autres, un fléau mondial.Ce la ne rentrera dans la tête des capitalistes, petits ou gros, que quand elle sera au bout d’une pique ou roulant dans la panière. -
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Bof. La routine quoi. Et les autres ne font pas mieux. Mais comme ils ne sont pas aussi bon pour convaincre on n’en parle pas. Tout le problème avec la démocratie telle qu’elle a toujours été pratiquée c’est qu’elle s’appuie sur un mensonge permanent. Qui a un jour respecté son programme ?
Sarkozy s’est fait élire en 2007 pour rétablir l’ordre dans le pays. Il s’est empressé d’arroser la grande bourgeoisie : 1ère mesure, le paquet fiscal. Fermez le ban.
Hollande s’est fait élire en 2012 comme le président du changement. Une fois élu, il s’est empressé de continuer la même politique économique de Sarkozy/Fillon.
Et le prochain, ce sera pareil. Et une hypothétique 6ème république où personne n’est d’accord sur ce qu’elle doit être ne changera rien. La seule chose fondamentale à changer c’est que les candidats soient engagés juridiquement sur leurs programmes. Si nous on s’amuse à vendre quelque chose et qu’on livre une autre chose qui n’a rien à voir, on finit devant un tribunal et une condamnation pour dol. Pourquoi pas les élus ? -
@ Citrik-Elektrik : Remarques très pertinentes
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@ Hervépasgrav : Sens civique assez nul sur cette planète, je suis d’accord. Mais ce qui me fait bondir est que le baisé est toujours celui qui bosse et qui s’échine. Le riche exploite la classe moyenne, le cas soc’ exploite lui aussi la classe moyenne, et les gouvernements continuent à favoriser les riches et les cas soc’. Conclusion : c’est toujours la classe moyenne qui paye, et y’en a vraiment ras le bol
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@ Hervépasgrav : Je ne crois pas que ce soit une connerie. Je crois que l’on s’est mal compris. Je n’ai rien contre le cas soć, mais j’ai beaucoup contre une société qui ne pense qu’a donner du pognon au lieu d’éduquer et d’instruire. Nous n’aidons pas les gens en leur filant du pognon, on les rends dépendants. De cette façon, les gouvernements pensent s’attirer quelques votes de plus. Cela démontre bien le manque de discernement politique. Que l’on aide les gens dans la mouise, oui, mais cela devrait doublé d’une éducation et d’une instruction, voire d’une alphabétisation. La, ce serait efficace.
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Sans déc vous êtes tous (sauf hervépasgrav) en train de passer à côté du vrai sujet :
Le cas social de cette histoire que fait-il ? Il reproduit à échelle très réduite l’action de l’humanité. Il vit dans un environnement (l’appartement), il le pourrit, il chie où il mange, il chie où il vit, et quand c’est tout pourri, quand ça devient insupportable, il fuit et il recommence la même chose plus loin. (sauf que nous on peut pas changer de planète)
Vous imaginez peut-être qu’il vivait comme tout le monde, avec son écran géant, et qu’il mettait ses poubelles de côté pour tout répandre juste avant son départ, pour emmerder le propriétaire ?
Si vous voulez que ce genre d’histoires ne se produisent plus, il faut prendre le problème à bras le corps et à la racine. Si vous voulez plus de cas sociaux, il faut une société qui ne produit pas de cas sociaux.
On pourrait supprimer le rsa et les apl pour le forcer à trouver un boulot. Seulement y’a pas de boulot, et même si il y en avait, je pense que le mec se bricolerait un bidonville sous un échangeur et qu’il passerait la journée à faire la manche (ou pire, voler) pour se payer des bières.Face à ce genre de cas, l’esprit vacille, on est horrifiés, et tout ce qu’on trouve à faire, c’est blâmer le type pour son comportement antisocial, blâmer la loi mal fichue, on voudrait le tuer mais c’est inhumain, on voudrait le faire payer mais il est pas solvable, on voudrait le mettre en taule mais est ce que ça arrangerait le problème ? Est ce que le type sortirait de prison tout neuf, est ce que la prison est une usine à fabriquer des citoyens modèles ? Je ne crois pas.
Et surtout, surtout, tant qu’il restera des familles qui engendrent des individus comme ça, ce genre de situations continuera encore et encore et encore. En France, on aime bien attendre que les problème soient d’une gravité extrême avant de s’en occuper. On attend que les enfants soient à leur quatrième oeil au beurre noir avant de faire un signalement à la DDASS. On attend les tragédies, les morts et les viols à répétition, puis on crie on pleure on trépigne, on trouve un responsable, on le met en taule et hop tout est réglé... jusqu’à la prochaine fois.
Ces types nous dérangent, on ne veut pas les voir alors on s’achète une bonne conscience en payant nos impôts, on ferme les yeux, on les laisse courir, et on rouvre les yeux pour pleurer quand ils réapparaissent et viennent mettre la pagaille dans nos vies.
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petit problème d’amalgame clojea
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@ Jocelyne : Je ne crois pas. La pauvreté, je connais. J’ai vécu mon enfance et adolescence en HLM, élevé sans aides (car à l’époque il y en avait pas) par ma mère qui s’est crevé la santé dans une usine de m.... Alors, voyez vous le problème des cas soc’, je connais ultra bien. Je me suis sorti tout seul de ce bourbier, et croyez moi, c’était loin, bien loin d’être simple. L’élément qui a changé est qu’aujourd’hui les cas soc’ ont le droit de faire n’importe quoi, alors qu’avant non. Ils n’étaient pas sur protégés, alors qu’aujourd’hui ils ont droit quasiment à l’impunité totale. Je n’ai rien contre les cas soc’ mais j’ai horreur des imbéciles et des profiteurs du système en tout genre d’ailleurs, qu’ils soient riches ou pauvres. C’est très facile, comme une poignée sur ce fil de pousser des cris d’Orfraies en plaignant les pauvres cas soc’. Mais, chacun est responsable de sa condition, chacun est responsable de sa vie, chacun a la responsabilité de s’éduquer ou de rester analphabète. Si on veut se sortir d’une certaine condition, on peut. La seule condition est de le vouloir. C’est la où est le problème. Est-ce que l’on veut progresser ou régresser ? Une société à le devoir d’aider les plus démunis, mais aider veut dire éduquer, orienter quelqu’un à prendre des responsabilités. Pas juste lui donner du pognon.
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Attention lorsque vous écrivez sur des sujets comme celui là en utilisant des termes génériques comme cas sociaux. Ces termes étant tellement vagues et dont la définition n’étant pas unique (comme Bobo, gauchiste, facho, ROM, etc) que l’on tombe facilement dans la classification/regroupement facile qui finit en populisme, façon Zemmour.
Un cas social regroupe toute une multitude de personne, depuis la crapule qui profite du système jusqu’au débile (ce n’est pas un terme méchant ici, juste médical) qui n’y peut pas grand chose.
Du coup sans cette précision de la définition de votre cas social votre article ne peut être que polémique et diversement interprété.
Dans votre cas, et j’en ai rencontré beaucoup, on est peut être simplement chez un gars qui connait bien les lois et probablement pas si con que ça, donc loin du « cas soc » que vous semblez imaginer.-
On ne peut en effet que souligner la délicatesse d’un tel article criant de vérité.Le système est vraiment mal fait et on comprend bien que c’est sous couvert d’un très haut sens de la responsabilité que votre ami fixe ses loyers au niveau des APL.On comprend bien que ce n’est pas rigolo, rigolo que de ne pouvoir se faire payer, par l’intermédiaire de « cas soc » surement triés sur le volet, ses rentes mensuels par l’Etat. Quel scandale en effet...Votre ami vous a-t-il informé que ses cotisations contre les risques locatifs lui était défiscalisées ?...Vous avez bien dit « cas soc », profiteurs de système, irresponsables et malhonnêtes ?
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