À l"époque des textes religieux , tout savoir était ésotérique ; il fallait donc des clefs pour les comprendre
Point de vue très personnel, alinea. Les éléments d’Euclide, pour ne citer qu’eux, sont de 300 ans antérieurs au Nouveau testament et ont 1000 ans d’antériorité par rapport au Coran. Les logiciens contemporains s’accordent à trouver qu’il fallait à la géométrie des bases plus rigoureuses mais de traces d’ésotérisme point. On peut également trouver une certaine rigueur à des textes consacrés aux sciences humaines (Hérodote). Les textes juridiques ou historiques latins sont d’une clarté limpide. Pas besoin d’initiation pour les comprendre, il suffit de savoir lire.,, même s’ils peuvent comporter des erreurs (voulues ou non).
Aujourd’hui encore les religieux nous pondent du ’Gobble-di-dock’, n’ayant de sens que pour les croyants. Justement, pour ce qui concerne les textes religieux, le paganisme est inégalé. Les récits des religions antiques sont de vrais polars, avec tout ce qu’il faut (y compris les histoires de cul). Nous avons beaucoup perdu en adoptant des dieux omnipotents omniscients, aujourd’hui largement dépassés par la technologie. Le panthéon gréco-latin nous aurait à coup sûr inventé un dieu de l’électronique en charge de toutes les évolutions technologiques et de leurs utilisations, un demi-dieu branché fruit des fornications de Venus avec un geek. Mais Le Grand Pan est mort (Quel dommage !)