Le truc c’est qu’il n’y a rien à faire, il n’y a attention que si il n’y a pas de réaction, dur dur car la réaction commence par la pensée et penser ça on le fait tout le temps, il faut un premier pas, un déclic, percevoir ce qu’est la pensée, percevoir le cirque et laisser l’intelligence faire le reste.
L’attention observe sans point dur, sans s’arrêter sur un détail quelconque et on constate que le flot des pensées ralentit et on se rend compte du phénomène ce qui ramène les pensées au grand galop et se réinvite l’attention et penser fait partie de l’ensemble du mouvement. Penser est du domaine de la densité et l’attention aère les méninges.
L’intuition c’est souvent une hypothèse qui s’avère exacte mais c’est aussi une fulgurance, un truc du genre « mais bon dieu mais c’est bien sur », une véritable intuition est perçue comme telle et le doute ne vient qu’après.
L’impatience je connais, parfois je suis une boule de nerf, si je suis impatient, je ne suis pas attentif à ce que je fait, c’est encore la même confusion mentale. je ne cherche pas à gérer, je constate simplement mon état d’être et voilà tout, il n’y a là encore rien à faire.