Désolé asterix, pas d’accord non plus.
Le communisme vu sous l’angle de l’échangisme des fonctions entre personnes, ne tient pas compte des compétences et ferait penser que tout le monde est égalitaire comme des robots qui sortent de la même usine.
Les chefs sont interchangeables évidemment.
Les indispensables, il y en a plein les cimetières. Mais comment choisit-on un chef ?
A l’aveuglette ?
Non. C’est avec l’expérience ou les études qu’un candidat a un potentiel pour assumer une tâche ou non.
Il faut les compétence et la motivation.
C’est deux points ne vont pas l’un sans l’autre.
Le communisme vise à une société sans classes sociales. Tous identiques dans le même panier.
Il n’y a pas qu’une question de potentiel financier, il y a aussi le potentiel intellectuel et manuel (qui pour moi demandent la même compétence). Le potentiel à les extrapoler et à aller plus loin avec l’apprentissage.
Je suis contre toutes ségrégations, tout sectarisme et tout système de castes comme en Inde.
Que se passe-t-il souvent dans les entreprises ?
On nomme les gens à des postes supérieures, pour les récompenser d’un effort que l’on ne peut pas payer en monnaie. Alors, on glorifie, on donne un titre.
Le malheur c’est que parfois, on arrive au poste qui correspond au
principe de Peter que tu ne connais probablement pas.
Tous les systèmes communismes ne survivent en général que par la dictature.
Si tu en connais un qui ne le fait pas, préviens-moi.
Il faut lire le Capital de Marx. C’est très riche d’enseignement.
Dubchek quand il a cité cette phrase ne parle pas de communisme mais de socialisme.
Ce qui n’est pas totalement la m^me chose.
Jean Ferrat était aussi un idéaliste.