Requiem pour le communisme
Ces quelques lignes sont dédiées d'une part à ceux qui n'ont que la Stasi, le Goulag ou Pol Pot, c'est-à-dire « Le Livre noir du communisme » à brandir, d'autre part à ceux qui votent « socialiste » ou « écologiste » sans plus se poser de question, ou « Front national » pour emmerder le monde, ou s'abstiennent ayant le dégoût et le désintérêt pour parti, enfin à ceux, les rares, qui au nom de « l'humain » tournent le dos à l'histoire et à la théorie auxquelles ils doivent jusqu'au titre qu'ils revendiquent... j'allais oublier UMP et centrisme, mais la plupart peuvent se reconnaître chez les premiers, ou les seconds.
Le communisme, au sens marxiste du terme, pour ce que je croyais avoir compris, n’est pas un parti, ni une intention, ni une morale, et par conséquent n’est pas une utopie non plus.
Et ceci, même s’il a pu ou peut, comme il ne se prive pas de le faire chez ses rares défenseurs ou partisans et ses quasi universels ignorants ou détracteurs d’aujourd’hui, - ou pourra revêtir l’un ou l’autre de ces oripeaux.
Il est stupéfiant que personne, au moins parmi celles qui s’expriment quelquefois avec les meilleures et touchantes intentions ne semble, ne serait-ce que seulement entrevoir comment il conviendrait sans doute de poser le concept.
Alors que, pour la théorie, il est simplement la forme sociale encore parfaitement indéterminée qui émergera de la période socialiste pendant laquelle le mode de production dominant sera celui de la propriété sociale et non plus privée des moyens de production et d’échange.
Cette position demande évidemment un gros effort intellectuel, sauf le respect dû au lecteur, - et une longue phrase par conséquent difficile à suivre, puisqu’elle demande d’admettre d’abord que le mode de production actuel, capitaliste, c’est-à-dire celui de la propriété privée des moyens de production et d’échange et son corollaire, celui de l’exploitation du travail salarié, n’est pas plus éternel que ne le furent le mode de production primitif encore à l’œuvre chez les peuples qui se survivaient naguère ou peuvent encore exister de manière devenue rarissime au stade du paléolithique, ni que le mode de production esclavagiste, qui survécut jusqu’au XIXe siècle au sein de la civilisation la plus avancée, ni que le mode de production féodal avec lequel la plus grande révolution consciente de l’histoire eut à découdre en Russie, alors que d’un autre côté ce pays développait cependant une industrie capitaliste de production de masse des plus avancée, celle qui fournit l’avant-garde des troupes révolutionnaires.
Ces constations débouchent tout naturellement sur d’autres perspectives, certes réservées seulement à ceux qui peuvent admettre, conceptuellement au moins, le passage à un mode de production supérieur, celui du socialisme, les autres devant suspendre ici leur effort de compréhension : d’abord, qu’il n’est pas question d’imaginer un instant que ce passage puisse s’effectuer sans l’action peu ou prou consciente des masses éclairées et conduites par la théorie.
Depuis Hegel et la Révolution française, dont ce furent les derniers avatars, et l'essor du socialisme en tant que science au XIXe siècle, le temps où l’histoire se faisait massivement dans le dos des peuples est révolu ; ce qui ne veut évidemment pas dire que tout est écrit d’avance, que drames, mésaventures ou erreurs sont écartés par la grâce de la théorie et de l’action.
La vérité de ces dernières est relative dans la pratique bien qu’elle soit absolue dans le principe. Sinon l’avenir, à défaut d’être dépourvu d’épisodes tragiques déjà traversés et prévisibles, serait bien dépourvu de charme et l’appétence pour s’y projeter ferait cruellement défaut.
Ensuite : de même que les autres modes de production et les formes d’organisation politique (démocratie, république, empire, principauté, féodalité, royauté...) et le folklore les accompagnant ont été dominants sans jamais pour autant être exclusifs ( par exemple : esclavage sous la féodalité et le capitalisme, coexistence d’États féodaux et capitalistes, etc), de même le socialisme doit coexister pendant un temps indéterminé avec les formes d’organisation sociale qu’il remplace.
Et cette indétermination est à la base même de ce qui rend impossible de définir le communisme d’un point de vue théorique, - autre que celui-ci : il est l’état de l’humanité qui succèdera au stade du socialisme devenu prépondérant.
D’un point de vue concret maintenant : l’héroïque révolution russe et l’épopée soviétique, la révolution chinoise et ses démêlés actuels avec le capitalisme tant à l’extérieur qu’à l’intérieur, les luttes des peuples d’Amérique latine, les luttes qui furent vaincues en Afrique, ou victorieuse ailleurs, je pense en particulier au Vietnam, l’épisode du Front populaire en France, voire de la Libération sont autant de pas faits en direction du socialisme et ceci qu’ils soient proclamés ou se proclament comme tels ou non.
C’est sans doute la raison pour laquelle en France aujourd’hui puissance impérialiste alliée, avec d’autres, de l’impérialisme le plus puissant, la notion de socialisme a été vidée de tout sens par le parti qui porte son nom et qui prétend exercer le pouvoir alors qu'il n'est que la courroie de transmission du grand capital.
Requiescat in pace.
Le 18 novembre (mois de la révolution d'octobre 1917 selon le calendrier julien) 2014
50 réactions à cet article
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C’est dramatique qu’encore aujourd’hui il y en a qui n’ont pas compris que le communisme n’était que du totalitarisme.
Combien faut il de chute du communisme pour qu’ils comprennent ?Les cocos ne comprennent pas que les besoins sont illimités alors que les moyens sont restreints, la force ou l’interdiction. Le totalitarisme, la terreur.
Soit ils limiter les besoins : rationnement, uniformisation, et devient criminogène.
Augmenter les moyens : créer des dettes, des contraintes sur des individus pour payer et sur les générations suivantes, et devient créateur de bonheur au présent contre de la misère au futur...
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Vous avez conscience qu’il n’y a absolument aucun rapport entre ce que vous dites et ce dont vous parlez ?
Ah pardon, j’avais pas vu le pseudo.
N’empêche bravo, tout le monde acquiert un peu de connaissances et de sagesse avec le temps sauf vous ? C’est votre boulot ou un truc du genre de répéter sans cesse les mêmes trucs ?
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« C’est dramatique qu’encore aujourd’hui il y en a qui n’ont pas compris que le communisme n’était que du totalitarisme. »
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C’est dramatique de voir des crétins genre Spartacus, n’ayant pas compris que le siècle dernier a produit trois fléaux :
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- le communisme
- le nazisme
- le libéralisme
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A propos de ce dernier, il a fait autant si ce n’est plus de morts que les deux premiers... mais là chut !!! -
« ... a produit trois fléaux... »
Quatre !
Vous avez omis l’égalitarisme ! C’est d’autant plus pendable que c’est celui qui sévit désormais sans partage.
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Spartacus et César Quantique, je ne suis absolument pas d’accord avec vous.
Et pourtant, j’ai vécu quatre ans à Cuba et vous ne verrez pas pire ennemi du communisme que moi.
Pas du communisme en tant que doctrine, sinon je ne vivrai pas ici au Laos. Mais parce que son mal suprême, s’il est global, c’est qu’il aboutit à une société figée où le chef sera toujours le chef, les petits chefs toujours de petits chefs, structure verticale qui deviendra vite inamovible. La déresponsabilisation qu’il entraîne - sauf s’il permet le travail à compte propre - le rend conservateur devant l’éternel, non productif et contraire par extension à toute évolution humaine.
Un vrai communisme, celui pour lequel je plaide, doit admettre la rotation temporelle des individus, sinon il revient à faire perdurer une classification sociale inamovible avec une lutte en sourdine pour s’accaparer une fonction supérieure et tous les avantages qui vont avec.
Plus un tas de flics autour pour veiller au bien-fondé de ce qu’il appelle lui-même la DICTATURE du prolétariat.
Le communisme cubain ou nord-coréen a gardé le mot dictature et le prolétariat, c’est tous ceux qu’on prend soin de garder en-dessous de soi en les nivellant au degré zéro..
L’égalité généreuse qu’il sous-tend, il est le premier à ne pas la respecter.
Il n’y a pas de socialisme à visage humain sans participation libre ( Alexandre Dubchek ) -
En ce qui concerne Cuba il faut quand même souligner que c’est un cas à part. Dans la situation de ce pays, il n’y a aucune autre nation, aucune autre culture qui aurait produit autre chose qu’un totalitarisme militaire ultra-violent... Si Cuba était ne serait-ce qu’un tout petit peu moins parano, il faudrait une demi-journée aux USA pour y organiser la violence.
Bref je ne crois pas que la France entre autres ait des leçon a donner en terme de régime politique en période de guerre loin de là... et c’est bien une guerre que mènent les USA à cette ile.
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Désolé asterix, pas d’accord non plus.
Le communisme vu sous l’angle de l’échangisme des fonctions entre personnes, ne tient pas compte des compétences et ferait penser que tout le monde est égalitaire comme des robots qui sortent de la même usine.Les chefs sont interchangeables évidemment.Les indispensables, il y en a plein les cimetières. Mais comment choisit-on un chef ?A l’aveuglette ?Non. C’est avec l’expérience ou les études qu’un candidat a un potentiel pour assumer une tâche ou non.Il faut les compétence et la motivation.C’est deux points ne vont pas l’un sans l’autre.Le communisme vise à une société sans classes sociales. Tous identiques dans le même panier.Il n’y a pas qu’une question de potentiel financier, il y a aussi le potentiel intellectuel et manuel (qui pour moi demandent la même compétence). Le potentiel à les extrapoler et à aller plus loin avec l’apprentissage.Je suis contre toutes ségrégations, tout sectarisme et tout système de castes comme en Inde.Que se passe-t-il souvent dans les entreprises ?On nomme les gens à des postes supérieures, pour les récompenser d’un effort que l’on ne peut pas payer en monnaie. Alors, on glorifie, on donne un titre.Le malheur c’est que parfois, on arrive au poste qui correspond au principe de Peter que tu ne connais probablement pas.Tous les systèmes communismes ne survivent en général que par la dictature.Si tu en connais un qui ne le fait pas, préviens-moi.Il faut lire le Capital de Marx. C’est très riche d’enseignement.Dubchek quand il a cité cette phrase ne parle pas de communisme mais de socialisme.Ce qui n’est pas totalement la m^me chose.Jean Ferrat était aussi un idéaliste.Il est revenu avec cette chanson, désillusionné. -
Monsieur Maugis bonjour,
Je vois que Sparta ne répond pas.Vos questions sont :Pourquoi voulez vous que l’ aéronautique n’ ai pas existé ?Où a-t-il dit que l’aéronautique ne pouvait exister ?Bien sûr qu’il existe.C’est un rêve très ancien de l’humanité de pouvoir voler.Pourquoi n’avons-nous pas été doté d’ailes ? Une question pas si stupide que ça.L’évolution dans ce domaine est importante mais étagée dans un temps relativement important.Pourquoi voulez vous que les scientifiques atomistes arrêtent leurs recherchent sur la fusion nucléaire ?Mais ils ne veulent pas, à moins que ce serait par jalousie, par le fait que l’argent qui est dépensé dans ce domaine scientifique, ne soit pas attribué au leur.Vous avez raison, cela peut enclencher un débat réel et intelligent. -
le communisme, le nazisme,.....sont des dérivés du socialisme au sens lare (qui compte divers socialisme : social démocratie, fascisme, commmunisme, social libéralisme, social démocratie,.....). le libéralisme date de bien avant le 20 siècle (http://www.wikiberal.org/wiki/Lib%C3%A9ralisme).c’est qui qui a ruiné la france ?? le socialisme pas le libéralisme. le socialisme a tjs et mènera tjrs à la ruine. la france est l’un des pays les plus socialistes d’europe, il suffit de regarder les chiffres (dépenses publiques 57%, la fonction publique représente pres de 7 millions de personnes dans la fonction publique (http://www.observatoiredessubventions.com/2010/combien-de-fonctionnaires-en-france/
), 70 au rang des libertés économiques selon Heritage Foundation après le Cap-Vert, le Kazakhstan ou encore la Jamaïque, l’un des plus haut taux d’imposition ( la France a un taux d’imposition total moyen de 64,7% principalement constitué (51,7%) de charges sociales, le 2 plus fort taux d’imposition en europe),….. certains partis de gauche dans le reste de l’europe (spd, parti travailliste,…) sont plus libéral que l’ump. la france est championne du monde en dépenses sociales. la france possède 60 code et est ultraréglementé (plus de 500000 lois et décrets). -
Ce qui fait que le communisme est fini, c’est que les gens - les masses, je veux dire - n’y croient plus. Même les communistes les plus intégristes n’osent plus utiliser l’expression « lendemains qui chantent ».
Si, aujourd’hui, quelqu’un s’avisait de reprendre ce propos de Trotski :
« Travaillant selon leurs forces, c’est-à-dire selon leurs moyens physiques et psychiques, sans se faire violence, les membres de la communauté, bénéficiant d’une haute technique, rempliront suffisamment les magasins de la société pour que chacun puisse y puiser largement « selon ses besoins » sans contrôle humiliant. La formule du communisme, bipartite mais indivisible*, suppose donc l’abondance, l’égalité, l’épanouissement de la personnalité et une discipline très élevée. »,
... les salariés lui riraient au nez, et les plus délurés lui jetteraient des tomates pour signifier l’allergie préventive que leur inspirent des formules comme « selon ses besoins » et « discipline très élevée »
En fait, ce que veulent la grande majorité des prolétaires (les dominés), ce sont des salaires un peu plus élevés, du temps de travail un peu plus court, des vacances un peu plus longues et, pour le reste, qu’on leur foute la paix.
Au lieu de ça, on leur pouvoir leur offrir de l’émancipation, dont ils ne perçoivent pas la réalité pratique, tant il leur est évident qu’en changeant de régime, ils ne feront que changer de dominants.
C’est donc la mort des jobards qui a entraîné la mort du communisme. Le trépas de ceux qui croyaient, il y a encore quelques dizaines d’années, qu’avec l’avènement du communisme, il n’y aurait plus de chagrins d’amour, parce qu’ « il n’y aurait plus personne d’assez méchant pour faire souffrir quelqu’un d’autre ».
Si ça peut vous consoler, une couche aussi épaisse n’avait aucune chance de perdurer...
* « De chacun selon ses forces, à chacun selon ses besoins. »
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« Ce qui fait que le communisme est fini,.... »
1848 : Un spectre hante l’Europe, le spectre du communisme (KM)2014 : à lire quelques réactions sur ce fil, je constate que le spectre est encore capable de quelques dégâtsLa force du communisme n’est pas en lui même, elle est dans la faiblesse du capitalisme qui a finit son histoire en occident. Il a accumulé, les capitalistes en sont ,ici, réduit, plutôt qu’à les partager, à se voler leur sac de billes. Toujours ils sont tenté par la guerre, mais c’est devenu tellement dangereux....Pourtant il faudra bien partager ce magot, le plus vite sera le mieux, le socialisme urge et pour le moment les communistes sont quasiment seuls à en être conscients ! -
Rediffusion de 15:24 :
« C’est donc la mort des jobards qui a entraîné la mort du communisme*. Le trépas de ceux qui croyaient, il y a encore quelques dizaines d’années, qu’avec l’avènement du communisme, il n’y aurait plus de chagrins d’amour, parce qu’ « il n’y aurait plus personne d’assez méchant pour faire souffrir quelqu’un d’autre ». »
* Spectre : Apparition fantastique, généralement effrayante, d’un mort, d’un esprit." (CNRTL)
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« Ce qui fait que le communisme est victorieux, c’ est que les anti-communistes existent toujours et sont toujours aussi CONS. »
Merci Maugis, d’être aussi nul face à mes arguments de bon sens
Mais je n’ai pas la grosse tête pour autant, je sais pertinemment, et je n’oublie jamais, qu’à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.
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Le communisme a échoué partout où il s’est installé.
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Oncle Archibald précise ici qu’il appartient à la première catégorie de lecteurs auxquels ces lignes sont dédiées.
Il marche dans des basket, se vêt d’un tee-shirt, roule dans une automobile et mange de yaourts d’origine artisanale, ainsi que les machines-outils et les chaînes qui ont servi à les fabriquer.
Oncle Archibald voyage sur la Ligne 13 ou dans les trains de banlieue ente 17h et 21h pour s’apercevoir qu’il est entouré de visages d’artisans joyeux, il va ensuite faire ses courses dans le petit commerce du coin et rêve d’une société de producteurs artisanaux et dans des PME..
Oncle Archibald eût été un chaud partisan du retour à la terre alors que les communistes n’étaient pas Français. -
... et Oncle Archibald éclaire notre lanterne à l’électricité d’origine artisanale ou produite par les PME.
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Imaginez, imaginez, il en restera toujours quelque chose.
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Vous faites comme @ Spartacus : vous sombrez dans l’incohérence.
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« Oncle Archibald voyage sur la Ligne 13 ou dans les trains de banlieue ente 17h et 21h »
Il y a une vieille blague qui gravitait pendant l’existence de l’URSS.- Que fais-tu ?- Moi, ben... Comme il font semblant de me payer, je fais semblant de travailler.Ca repose l’esprit.Il faudrait que vous alliez voir les « Chevaliers du Fiel ».C’est tordant et tellement vrai. -
Le p’tit Charles 19 novembre 2014 13:19Le PCF comme les autres partis sont dans le système qui me donne la nausée...pas à vous.. ?
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« un gros effort intellectuel, sauf le respect dû au lecteur, - et une longue phrase par conséquent difficile à suivre »
Le lecteur se verra donc contraint à l’effort (de lecture) que l’auteur n’a pas voulu faire en rédigeant son billet par l’emploi de phrases courtes.
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L’ironie est la pudeur de l’humanité. (Jules Renard)
Il faudrait rendre une petite visite à Marcel Proust pour apprendre ce qu’est une période. -
« Il faudrait rendre une petite visite à Marcel Proust »
Peux pô, on m’apprend dit qu’il est mort. A défaut, j’irais voir du côté de chez Swann, peut-être que lui pourra me recevoir.
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bonjour
Oui le communisme est un « Etat » du monde et l extinction de l’ Etat au sens de machine de répression . C est aussi et peut être surtout comme le dit Marx , le mouvement qui détruit l état de chose existant .
On peut dire aussi que c est enfin l humanité qui maîtrise les forces économiques à l oeuvre dans le capitalisme grâce à l organisation planifiée de la production qui n est plus basée sur la concurrence mais sur la coopération des producteurs entre eux.
Il y a des germes du communisme déjà présents sous le capitalisme y compris financier. Par exemple la sécurité sociale , mesure rigoureusement « communiste » . Mais il y en a bien d autres comme l extrême concentration du capital qui il faut le souligner est UN RAPPORT SOCIAL dissimulé sous la forme des choses , comme la marchandise , la monnaie, une usine, un atelier, etc. Et la politique communiste consiste comme l a magistralement démontré Lénine à déceler les éléments de décomposition du système en marche afin de s appuyer dessus pour entraîner les masses vers la révolution .-
« On peut dire aussi que c est enfin l humanité qui maîtrise les forces économiques... »
Il ne vous est jamais venu à l’esprit, en observant le monde et sa marche, ou encore d’autres peuples d’autres civilisations dans leurs biotopes, que l’humanité est un concept purement abstrait qui ne repose que sur une morphologie et les instincts vitaux ?
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Bel exemple : la sécurité sociale est en train de s’effondrer ; alors on devrait dire plutôt que c’est un beau contre-exemple.
Ceci dit la SECU ce serait éventuellement socialiste, mais pas communiste.
L’auteur n’a pas du bien expliquer la différence entre les deux. -
La question c’est : avec le Communisme est-ce que tous les myopes auront droit à l’opération des yeux ou bien est-ce qu’ils auront tous des lunettes qui pèsent deux kilos ?
De même est-ce que tous les moches auront droit à la chirurgie esthétique ou bien est-ce que tout le monde aura le droit d’être moche ?
Non parce que les concepts c’est toujours super et puis quand on passe à la pratique il ne reste en général que les cons, la Stasi et les tickets de rationnement .
Le Communisme y en a qui ont essayé ... mais ils ont eu des problèmes
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Merci à tous les commentateurs qui ont été alléchés par le titre et qui démontrent par leur présence que le communisme est comme le Saint Éloi de la chanson de corps de garde.
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faut-il indéfiniment rappeler en boucle que Gustave Le Bon considérait 1) que le socialisme n’existe pas 2)qu’il n’a jamais existé 3) qu’il n’existera jamais ......et moi d’ajouter que ce n’est qu’une entreprise de gangstérisme , où le peuple est empêché de le dire par la terreur, fût-ce jusqu’au châtiment suprême ......
cela signifie que le peuple ne veut pas du communisme ni du socialisme , et que les gens se moquent éperdûment de la propriété collective , voir la fainéantise dans les kholkozes qui ont ainsi révélé leur absurdité , et la famine.....bosser pour une idéologie absurde est évidemment contre Nature , l’individu se révolte et le régime s’effondre.....
le commuhisme en France n’est plus le fait que d’une poignée de nostalgiques qui n’ont rien compris et des leaders qui ne pensent qu’à mettre à sac le Trésor public pour se comporter en nomenklatura de pillards du bien d’autrui......
les Soviets se sont effondrés dans la bêtise, le PCF s’est effondré dans la bêtise, seuls les Asiatiques chinois et vietnamiens ont été assez intelligents pour une conversion à temps.....le régime chinois n’est plus que totalitaire , il n’est communiste que de nom , l’intelligence explose.....pendant ce temps -là,.la République française archaïque collectiviste sans vouloir le dire en pillant l’essentiel de la richesse produite par le secteur privé , décline avec croissance 0% ; cela ne préoccupe pas la classe politique qui ne cherche qu’à se goinfrer d’argent DU public mettant le Trésor public en faillite depuis 2007...... ;;
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Ce qui se comprend clairement s’énonce clairement et donc le Communisme semble réservé à des comprenants de haut-vol quand on lit cet article.
Mais je ne dois pas faire partie des « masses éclairées ».
Sinon l’exemple chinois est effectivement intéressant : la Chine est passée du Socialisme au Capitalisme en gardant le parti unique.
Donc ce doit être ça le sens de l’histoire : l’évolution naturelle nous amène vers le capitalisme sous dictature, le plus performant semble-t-il.
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Bravo Dwaabala, excellent article, le communisme c’est l’avenir quoiqu’en disent les grincheux ....
la raréfaction des ressources va forcer les gens à coopérer davantage de même que la nécessité de mieux gérer l’espace et l’environnement, bien sûr l’expérience communiste où tout était décidé en haut et les gens contraints de se soumettre à une autorité supérieure aussi ........ mais la vision des gens qui croyaient au communisme universel et libertaire va renaître car on ne peut pas bâtir un monde meilleur et plus juste contre les populations mais au contraire avec leur pleine et entière coopération................... le problème du capitalisme est qu’il exclut à tour de bras, bientôt 10 millions de chômeurs en France au rythme ou çà va et des connards comme Spartacus vont continuer à venir nous dire que c’est parcequ’il y a trop d’état ....sic ????????????et pas parceque l’économie a été totalement financiarisé et les riches de plus en plus riches n’investissent plus dans une économie productive qui ne rapportent plus assez à leurs yeux et préfèrent aller spéculer sur les matières premières et dans l’art, plutôt que dans une économie créatrice d’emplois, le mal est fait et la roue va tourner à nouveau ce qui n’est qu’une question de temps car il n’y aura pas de retour de la croissance pas dans les termes de l’économie actuelle.aussi Dwaabala ton article est tout à fait dans l’air du temps.-
« Le communisme n’est pas un état qu’il faut créer, ni un idéal vers lequel la réalité doit s’orienter. Nous nommons communisme le mouvement réel qui abolit l’ordre établi. »
Karl Marx, Idéologie Allemande, 1846.
Chez Marx, le Communisme précède le Socialisme, le Communisme EST la Révolution Planétaire qui renverse le Capitalisme.
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Isga , en es tu si sur de que tu avances ?
si le Bon Dieu et l’opium du Peuple, Marx est un poison pour la Pensé, il obscurcie les êtres et leurs spolies leurs esprits ! -
Marx n’a jamais dit ça !« Marx n’a jamais dit ou écrit cette phrase. La vraie citation : »La misère religieuse est tout à la fois l’expression de la misère réelle et la protestation contre la misère réelle. La religion est le soupir de la créature accablée, l’âme d’un monde sans cœur, de même qu’elle est l’esprit d’un état de choses où il n’est point d’esprit. Elle est l’opium du peuple.« Marx ne parle pas de la religion, mais de la »misère religieuse« , qui est à la fois un palliatif à la misère réelle et la conséquence de la révolte contre cette misère. Autrement dit, c’est parce qu’il y a des injustices et des conditions insupportables que des hommes et des femmes croient en un au-delà meilleur, au lieu de tenter d’améliorer le monde réel.Le propos de Marx (http://www.marxists.org/francais/marx/works/1843/00/km18430000.htm) est en l’occurrence dirigé contre les socialistes allemands des années 1840 qui placent la lutte contre la religion comme une priorité. Marx affirme au contraire que la priorité est de se battre contre la misère réelle et non contre sa conséquence. »(23 juin 2014)
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Bon, j’ai lu très rapidement l’article car je suis moi-même en train d’en rédiger un et je suis un fatigué.
ça confirme un peu ce que je voyais sur votre dernier article : vous faites plutôt un bon boulot.LE TRAVAIL N’EST PAS UNE MARCHANDISE !Bon, il y a des inexactitudes, comme la confusion sur l’ordre chronologique entre Communisme (=== la Révolution) et Socialisme, mais bon... faut dire que les staliniens ont tellement semé la confusion... et parfois (rarement) Marx et Engels eux-même échangent les mots... donc bon...Bref, je ne sais pas si vous avez déjà lu « Socialisme Utopique et Socialisme Scientique » de Engels, mais je vous le conseil, c’est une version plus complète du manifeste. Ce texte donne toute de suite une excellente compréhension de ce qui différencie le Socialisme révolutionnaire des autres courants gauchistes.Ensuite, plutôt que le Capital qui demande une certaine habitude avec les théories économiques et un certain niveau en mathématique, je vous conseillerais plutôt la lecture de « l’idéologie allemande » de Marx, qui correspond plutôt à votre approche conceptuelle de la question révolutionnaire. Si vous ne l’avez pas encore lu, je suis sûr que cela vous plaira.Voilà Camarade, bon courage dans ton travail intellectuel. Tu tiens le bon bout.-
Bon, je suis en train de relire l’idéologie allemande dans le coup
merci
Un ptit extrait, qui je suis sûr va te plaire, car c’est bien la pensée matérialiste qui habite ton article :« Les prémisses dont nous partons ne sont pas des bases arbitraires, des dogmes ; ce sont des bases réelles dont on ne peut faire abstraction qu’en imagination. Ce sont les individus réels, leur action et leurs conditions d’existence matérielles, celles qu’ils ont trouvées toutes prêtes, comme aussi celles qui sont nées de leur propre action. Ces bases sont donc vérifiables par voie purement empirique. »Karl Marx, L’idéologie allemande, 1845-
je vais me permettre continuer à poster des citations vite fait :
« Les divers stades de développement de la division du travail représentent autant de formes différentes de la propriété ; autrement dit, chaque nouveau stade de la division du travail détermine également les rapports des individus entre eux pour ce qui est de la matière, des instruments et des produits du travail. » -
Voici donc les faits : des individus déterminés qui ont une activité productive selon un mode déterminé entrent dans des rapports sociaux et politiques déterminés. Il faut que dans chaque cas isolé, l’observation empirique montre dans les faits, et sans aucune spéculation ni mystification, le lien entre la structure sociale et politique et la production. La structure sociale et l’État résultent constamment du processus vital d’individus déterminés ; mais de ces individus non point tels qu’ils peuvent s’apparaître dans leur propre représentation ou apparaître dans celle d’autrui, mais tels qu’ils sont en réalité, c’est-à-dire, tels qu’ils œuvrent et produisent matériellement ; donc tels qu’ils agissent sur des bases et dans des conditions et limites matérielles déterminées et indépendantes de leur volonté.
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Texte pertinent et sourcé est tiré de l’ouvrage de l’universitaire américain Anthony C Sutton « Le complot de la Réserve fédérale » au éditions nouvelle terre –chapitre 5 :
KARL MARX ET SON MANIFESTE
" Marx ment pour des raisons tactiques sur l’origine des contradictions du Capitalisme, mais non pas sur leur réalité évidente. Marx savait comment elles furent créées, comment elles devinrent plus aiguës, et comment les choses évoluèrent vers une anarchie générale dans la production capitaliste, ce qui se produisit avant le triomphe de la révolution communiste... Il savait que cela arriverait, parce qu’il connaissait ceux qui créèrent ces contradictions." ( extraits du dialogue avec Rakowsky- Symphonie en Rouge Majeur )
L ’État providence moderne tel qu’il existe aux États-Unis est remarquablement semblable à ce que décrit Le Manifeste du parti communiste, que Karl Marx est supposé avoir rédigé en 1848. Depuis Woodrow Wilson, les dix points du manifeste de Marx - un programme conçu pour le renversement de la classe moyenne bourgeoise (pas des grands capitalistes) - ont été mis en oeuvre par les gouvernements démocrates ou républicains qui lui ont succédé, sous les conseils d’un Establishment auto-perpétué. Le grand ennemi de Marx était constitué par la classe moyenne, la bourgeoisie. Marx voulait confisquer les possessions de cette classe moyenne, à la faveur d’une révolution menée par ce qu’on appelle la classe ouvrière ou prolétariat.
Malheureusement pour Marx, la classe ouvrière n’a jamais vraiment eu de sympathie pour la révolution communiste, comme nous l’avons vu dans les révoltes des années 1980. D’un point de vue pratique, la révolution communiste est menée par une poignée de communistes. Comment une révolution peut-elle être faite et maintenue au pouvoir par un aussi petit groupe ? Seulement parce que les communistes ont bénéficié de l’aide de la classe dite « dirigeante » — les banquiers et les capitalistes. L’aide et le soutien en question ne se sont pas démentis, du financement du manifeste de Marx en 1848, à la fin du 20e siècle, où une administration dominée par David Rockefeller apporte son aide aux révolutions communistes et aux révolutionnaires d’Amérique centrale, d’Angola et du Mozambique.
Commençons par le manifeste de 1848, où Marx voulait confisquer les possessions de la classe moyenne. Dans son manifeste, il exprimait son objectif comme suit :
" En premier lieu, ceci ne peut naturellement être obtenu qu’en contrecarrant despotiquement les méthodes bourgeoises de production ; c’est à dire par des mesures qui semblent économiquement inadéquates et intenables, mais dont les effets sont d’une portée considérable, et sont nécessaires pour révolutionner l’ensemble du système de production."
Afin de provoquer cette confiscation « despotique » des possessions de la classe moyenne, Marx établit comme suit un programme de « mesures » en dix points :
Ces mesures différeront évidemment d’un pays à l’autre.
Dans les pays les plus développés, elles prendront généralement les formes suivantes :
§ -Expropriation de la propriété foncière et utilisation de rentes foncières pour couvrir les dépenses de l’État.
§ -Un impôt sur le revenu fortement progressif
§ -Abolition du droit d’héritage.
§ -Confiscation des possessions de tous les émigrés et rebelles.
§ -Centralisation du crédit entre les mains de l’État au moyen d’une banque nationale nantie d’un capital d’État et d’un monopole exclusif.
§ -Centralisation des moyens de transport entre les mains de l’État.
§ -Multiplication des usines et des moyens de production nationaux, culture des terres non cultivées, et amélioration des terres cultivées conformément à une planification générale.
§ -Obligation universelle et égalitaire de travailler ; constitution d’armées industrielles, en particulier pour l’agriculture.
§ -Agriculture et industrie urbaine devront travailler main dans la main, de manière à supprimer, étape après étape, la distinction entres villes et campagnes.
§ -Enseignement public et libre pour tous les enfants. Abolition du travail des enfants en usine sous sa forme actuelle.Enseignement et production matérielle devront être combinés.
Comme nous le verrons plus loin, les dix points de Marx quant à la destruction de la classe moyenne ont pratiquement été réalisés aux États-Unis. Le 1er et le 6ème Amendement, par exemple (l’impôt sur le revenu), est un concept politique archaïque qui nous ramène historiquement quelque 4000 ans en arrière, au temps des pharaons d’Égypte. Pour les pharaons et leurs conseillers élitistes, l’entrepreneur, l’homme d’affaires et les travailleurs d’Égypte, qui produisaient les richesses de cette civilisation, n’étaient en quelque sorte pas compétents pour gérer ces richesses.Voici ce que disaient ces conseillers élitistes et le pharaon :
"Regardez, nous allons vous obliger, vous, le peuple, à faire ce que vous devriez faire. Parce qu’après tout, nous sommes omnipotents ; nous nous tenons ici au-dessus de vous en vous couvrant tous de notre regard, et nous sommes en mesure de décider ce qu’il y a de mieux pour vous. Bien mieux que si chacun décidait individuellement pour lui même. Nous allons vous forcer à adopter un programme étatique de retraite, de manière à ce que, atteignant l’âge de la retraite, vous puissiez vous arrêter de travailler avec quelque dignité. Nous allons vous obliger à faire ce que nous savons que vous devriez faire, parce que nous savons que vous ne le ferez pas si vous êtes livrés à vous-mêmes. Nous allons également vous obliger à adopter un programme étatique de stockage de la nourriture. Nous allons stocker le grain dans les greniers de l’État parce que nous savons que vous n’en avez pas la compétence — vous n’êtes pas capables de stocker de la nourriture par vous-mêmes.Nous savons en plus de cela que vous n’êtes pas capables de prendre soin de votre santé, nous allons par conséquent vous obliger à adopter un programme médical étatique. Nous connaissons l’importance de la santé et nous savons que vous n’êtes pas suffisamment responsables où aptes quand il s’agit de prendre soin de vous-mêmes. Nous allons vous y obliger dans votre propre intérêt supérieur."La méthode utilisée pour remplir ces objectifs consistait à retenir un cinquième de la production d’Égypte. Si vous revenez aux écrits de l’Ancien Testament, il y est mentionné "Que le pharaon avait décidé de prélever un cinquième de la production d’Égypte et de le stocker dans des greniers pour le bien de tous."
Le partisan moderne de la philosophie du pharaon n’est autre que Karl Marx avec son Manifeste du parti communiste. Ce manifeste est devenu le document économique le plus significatif du 20c siècle. Son importance réside dans le fait regrettable que le Manifeste en question est aujourd’hui le phare économique de nos dirigeants, de la branche exécutive de notre gouvernement et, dans la plupart des cas, des responsables des deux partis de notre pays, qui oeuvrent à la promotion et à l’établissement des mesures de ce manifeste.Ce que stipule essentiellement le Manifeste, c’est qu’au moment où vous aurez mis en oeuvre ces dix programmes dans n’importe quel système de libre entreprise, le « capitalisme » aura été détruit et remplacé par un État communiste. Voici ce qu’écrivait Marx :
"Le pouvoir politique est à strictement parler l’utilisation organisée de la force par une classe pour maintenir une autre classe dans l’assujettissement. Quand le prolétariat s ’agrège par nécessité en une classe unique lors de son combat contre la bourgeoisie, et fait de lui-même la classe dirigeante au moyen d’une révolution, il balaye par la force des choses le vieux système de production. "
La deuxième mesure du Manifeste de Marx s’articule comme suit : Un impôt sur le revenu lourd et progressif ou échelonné. Celle-ci est ainsi devenue le 16e Amendement de la Constitution américaine, une loi qui régit notre pays depuis 1913. Plus tard au cours de l’année 1913, nous avons assisté au vote de la loi sur la Federal Reserve. Il est assez intéressant de voir que l’idée de ce programme figure dans le programme de Karl Marx en tant que 5e mesure de son Manifeste du parti communiste, laquelle en est peut-être le point le plus important. Voici comment s’articule cette cinquième mesure : Centralisation du crédit entre les mains de l’État, au moyen d’une Banque Nationale nantie d’un capital d’État et d’un monopole exclusifEn d’autres termes, Marx proposait un schéma qui était exactement le même que celui de la Première Banque des États-Unis, avec l’établissement d’un système bancaire central à réserve fractionnée, qui copiait le modèle existant des banques centrales européennes.
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Marx se positionne à de très nombreuses reprises contre l’État Providence, qui pour rappel, est la création de Bismark.
Bon, mais là, je lis l’Idéologie Allemande, alors au lieu de répondre à tes inepties en allant chercher des citations, je vais plutôt de proposer des citations sans rapport avec tes inepties, mais qui vont de faire rager.« De ce fait, la morale, la religion, la métaphysique et tout le reste de l’idéologie, ainsi que les formes de conscience qui leur correspondent, perdent aussitôt toute apparence d’autonomie. Elles n’ont pas d’histoire, elles n’ont pas de développement ; ce sont au contraire les hommes qui, en développant leur production matérielle et leurs rapports matériels, transforment, avec cette réalité qui leur est propre, et leur pensée et les produits de leur pensée. Ce n’est pas la conscience qui détermine la vie, mais la vie qui détermine la conscience. »Karl Marx, l’Idéologie Allemande -
Isga, tu ne fais pas ragé, je n’es rien à foutre de ton saint Marx, pour moi,, c’est une crapule !
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Karl Marx vu comme un plagiaire
Marx était un homme brillant. C’était loin d’être un imbécile.
Il savait que s’il pouvait placer sous le contrôle d’un petit groupe d’hommes la faculté de maîtriser l’émission de monnaie et de crédit de chaque nation, il pourrait pratiquement développer ou ruiner ces économies à volonté. En ayant une connaissance anticipée des politiques économique et monétaire, des milliards de dollars de richesses pourraient être transférés d’un groupe à un autre, de la classe moyenne en difficulté à l’élite dirigeante.Pour mener cette nécessaire propagande, et ce, au milieu du 19e siècle, le pamphlet représentait un moyen efficace.Il y a une caractéristique bien plus intéressante de ce court Manifeste, qui a presque été totalement ignorée de la part des universitaires, à savoir que celui-ci ne favorise pas le moins du monde la classe ouvrière, la classe moyenne ne l’étant quant à elle certainement pas, étant donné qu’on vise son élimination.Ce Manifeste donne les grandes lignes d’un contrôle élitaire. Il promeut la prise du pouvoir économique et politique par une élite. Et si nous regardons d’où provient le soutien apporté à Marx, il était clair, même dans les années 1840, que le bénéfice en irait de toute évidence à l’élite.
Il est certain que Marx avait été payé pour écrire son Manifeste, comme nous le verrons par la suite. En plus de cela, le Manifeste en question plagiait un obscur socialiste français du nom de Victor Considerant, dont l’ouvrage, intitulé Principes du socialisme : Manifeste de la démocratie au dix-neuvième siècle, fut publié en 1843. La seconde édition de l’oeuvre de Considerant fut publiée à Paris en 1847, un an avant le Manifeste du parti communiste et à l’époque où Marx et Engels y vivaient encore. Le plagiat fut découvert par W. Tcherkessof, un écrivain encore plus obscur, et révélé avec des détails précis dans ses Pages of Socialist History. Mais laissons Tcherkessof nous expliquer avec ses propres termes le plagiat commis par Marx :
"Je me suis trouvé stupéfié, indigné et même humilié quand j’ai eu l’opportunité, il y a environ un an, de lire l’ouvrage de Victor Considerant, "Principes du socialisme : Manifeste de la démocratie au dix-neuvième siècle", écrit en 1843, la seconde édition ayant été publiée en 1847. Et il y avait de bonnes raisons pour cela.Dans un pamphlet de 143 pages, Victor Considerant exposait avec sa clarté habituelle toutes les bases du marxisme, de ce socialisme « scientifique » que tous les parlementaires désirent imposer à l’ensemble du monde. À proprement parler ; la partie théorique, dans laquelle Considerant traite des questions de principe, n’excède pas les 50 premières pages le reste est consacré à la célèbre persécution menée par le gouvernement de Louis-Philippe contre le journal des Fouriéristes, « La démocratie pacifique », que les jurés de la Seine firent supprimer Mais dans ces 50 courtes pages, le célèbre Fouriériste nous donne à lire, à la manière d’un véritable maître, des synthèses si profondes, si claires et si brillantes que même une infinisétimale portion de ses idées contient déjà dans son ensemble toutes les lois et théorie marxiennes — y compris la fameuse concentration du capital et la totalité du « Manifeste du parti communiste ». Cela à un point tel que toute la partie théorique, à savoir les chapitres un et deux dont Engels dit lui-même "qu’ils sont dans leur entier plus exacts que jamais aujourd’hui« , a tout simplement été empruntée. Ce »Manifeste", cette Bible de la démocratie révolutionnaire légitime, n’est qu’une très médiocre paraphrase de nombreux passages du « Manifeste » de V Considerant.Marx et Engels ne se sont pas seulement contentés de trouver le contenu de leur « Manifeste » dans le « Manifeste » de V Considerant, mais nos imitateurs en ont en outre gardé la forme et les titres. Le paragraphe deux du second chapitre porte le titre de "La situation présente et ’89 ; la bourgeoisie et les prolétaires". Le titre du premier chapitre de Marx et Engels n’est autre que "Bourgeois et prolétaires". V Considerant examine au nom de la démocratie divers partis socialistes et révolutionnaires, et ses paragraphes portent les titres de : « La démocratie stagnante » ; « La démocratie rétrograde » ; "Le parti socialiste dans la démocratie rétrograde" Les titres de Marx et Engels sont : « Le socialisme réactionnaire » "Le socialisme conservateur ou bourgeois« »Le socialisme et le communisme critico-utopiques" Comment ne pas penser que tous ces titres appartiennent au même et unique ouvrage ? Nous nous apercevrons en comparant leurs contenus que ces deux manifestes sont en réalité identiques." 26
Ligne après ligne, Tcherkessof démontre que Marx n’est qu’un vulgaire voleur. Le grand Marx, ce Marx qu’on adule, ne vaut ainsi guère mieux qu’un médiocre écolier !L’énorme influence que Karl Marx et Friedrich Engels ont eue sur l’histoire du monde ne reste plus à démontrer. Pourtant, la nature « empruntée » des idées marxiennes a paradoxalement toujours été ignorée.
Mais qu’en est-il de Friedrich Engels, le collaborateur de Marx ?Le peu de soin que Engels avait apporté à son travail a été documenté dans l’introduction de Condition of the Working Class in England Condition de la classe ouvrière en Angleterre de W. O. Henderson et W. H. Chaloner (Baril Blackwell, Oxford, 1958). En 1848 déjà. Bruno Hildebrand avait quant à lui dressé une critique détaillée du livre de Engels, notamment de son interprétation tendancieuse de comptes-rendus du gouvernement britannique. Engels voulait prouver quelque chose et déformait les faits pour effectuer sa démonstration.Henderson et Chaloner faisaient en outre remarquer que parfois l’imagination très vive de Engels qui faisait office de faits". Voici par exemple ce que nous trouvons à la page 118 du livre de Henderson :
"Lors d’une enquête parlementaire, l’expert médico-légal de Nottingham avait affirmé en guise de preuve qu’un pharmacien avait admis avoir utilisé 659 kilos de mélasse en un an pour la confection du « Godfrey’s Cordial ». Mais dans l’édition de 1887 de Engels, cela devint "utilisa 659 kilos de laudanum en un an pour la préparation du ’Godfrey’s Cordial".Le laudanum est bien sûr de la teinture d’opium et n’a rien à voir avec de la mélasse. La conséquence en était que les enfants de la classe ouvrière avaient été drogués !
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Les mécènes de MarxD’où Karl Marx tenait-il son argent ? De quoi vivait-il ? On découvre en enquêtant que ses fonds provenaient principalement de quatre sources, et que chacune de ces quatre sources peut être reliée aux élites régnantes d’Allemagne et des États-Unis. L’intermédiaire commis au financement de l’impression du « Manifeste » n’était autre que Jean Laffite, un pirate de Louisiane qui, entre autres occupations tardives, espionnait pour le compte de l’Espagne et jouait le rôle d’émissaire pour un groupe de banquiers américains.Les preuves de cette distorsion de notre histoire contemporaine se sont vues ignorées par les historiens modernes, bien que ces documents, authentifiés par la bibliothèque du Congrès et d’autres sources, soient accessibles depuis quelque 30 années. Il est ainsi extraordinaire que les premiers universitaires à avoir fait état de ces sources de financement pour Marx écrivaient en français, et pas en anglais ! C’est un livre français de Georges Blond, intitulé Histoire de la flibuste, qui contient la remarquable histoire d’un Karl Marx ami de Jean Lafitte le pirate, qui finança l’impression du "Manifeste du parti communiste’."D’où Blond obtint-il cette information ? Celle-ci provenait de deux livres imprimés à compte d’auteur et publiés à la Nouvelle-Orléans par Stanley Clisby Arthur, à savoir The Gentleman Rayer et The Journal of Jean Laffite. Les livres en questions contiennent des documents originaux décrivant les rencontres entre Marx et Laffite, ainsi que la méthode utilisée pour financer le « Manifeste ».Maintenant, si vous consultez bien sûr le nom de Jean Laffite dans l’Encyclopedia Britannica, vous y apprendrez que celui-ci mourut en 1823 et qu’il ne pouvait de ce fait pas avoir été en mesure de financer Marx en 1847 et en 1848. Malheureusement, le Britannica se trompe à ce sujet, comme pour bien d’autres. Laffite entra dans la clandestinité autour de 1820 et connut une longue et passionnante existence en tant qu’émissaire d’hommes d’affaires et de banquiers américains. Le travail clandestin d’émissaire de banquiers américains de Laffite est mentionné dans The Journal :
" Nous employâmes quatre hommes en tant qu’agents secrets pour espionner et rapporter toute conversation pertinente, et rendre oralement compte de tout nouvel événement. Nous nous acquittâmes parfaitement de notre mission secrète. Nous avions seulement deux navires opérant sous contrat privé avec des banques de Philadelphie. Nous décidâmes et finies le serment de ne jamais fréquenter les saloons ou utiliser deux fois le même trajet, comme de ne jamais retourner en Louisiane, au Texas, à Cuba ou dans un quelconque pays hispanophone. "
Dans le même Journal, nous trouvons la mention suivante en date du 24 avril 1848 :
"Mes entrevues étaient brèves mais directes. Je vivais à Paris dans la demeure de M Louis Bertillon, et parfois dans des hôtels. Je rencontrai M Michel Chevreul, M Louis Braille, M Augustin Thierry, M Alexis de Tocqueville, M Karl Marx, M Frédéric Engels, M Daguerre et bien d’autres encore."
Puis Laffite continue avec cette phrase révélatrice :
"Personne ne connaissait les vraies raisons de ma mission en Europe. J’ouvrais un compte dans une banque parisienne, un crédit en dépôt fiduciaire destiné à financer deux jeunes hommes, M Marx et M Engels, afin de les aider à déclencher la révolution des ouvriers du monde entier Ils sont actuellement en train d’y travailler "Ainsi, nous y voilà. Jean Laffite était l’agent de banques américaines intéressées et a ainsi mis en place le financement du « Manifeste ». Le lecteur trouvera dans The Journal d’autres noms en vue comme Dupont, Peabody, Lincoln et ainsi de suite. Alors que Jean Laffite se trouvait à Bruxelles, il écrivit longuement à son ami artiste De Franca, de Saint-Louis dans le Missouri, à propos du financement de Marx.Voici sa lettre, datée du 29 septembre 1847 :" Je quitte Bruxelles pour Paris ; dans trois ou quatre semaines, je me rendrai à Amsterdam puis me mettrai en route pour l’Amérique.J’ai eu un certain nombre de conversations avec M Marx et M. Engels, mais j’ai refusé de participer aux conférences avec les autres débatteurs pour composer le « Manifeste », car je ne souhaite pas être considéré comme l’un des leurs. M Engels va venir avec moi à Paris pour que j’établisse, longtemps à l’avance, un calendrier de financement pour M Marx et lui-même, de manière à ce qu’ils continuent leurs manuscrits et mettent « Capital et Travail » en ,forme.Il me semble depuis le début que les deux jeunes hommes sont eux-mêmes doués et doté, je le crois fermement, de la plus haute intelligence ; j ’en veux pour preuve les recherches statistiques concernant leurs découvertes à propos de « La catégorie du Capital », de la valeur, du prix et du profit. Ils ont mis à jour une époque oubliée de I ’exploitation effrénée de I ’homme par ’homme.ils ont découvert que depuis le serf, l’esclave féodal et l’esclave salarié, c’est l’exploitation qui est à la base de tous les maux. Cela a pris un long moment de préparer "Le manifeste des travailleurs de tous les pays".Un grand débat a eu lieu entre les deux jeunes hommes et d’autres en provenance de Berlin, d’Amsterdam, de Paris, et d’autres encore, qui venaient de la Confédération helvétique. Je suis plein d’enthousiasme eu égard à ces manifestes et à d’autres perspectives quant à l’avenir, étant donné que je soutiens les deux jeunes hommes de tout coeur. J’espère, et prie pour que ces projets puissent se voir rassemblés en une puissante doctrine, destinée à secouer les fondations des plus hautes dynasties pour qu’elles se fassent engloutir par les masses inférieures.M. Marx me conseille et m’avertit de ne pas inonder l’Amérique de ces manifestes étant donné qu’il en existe d’autres du même type pour New York. J’espère cependant que Jean et Harry montreront ces manifestes à M Joshua Speed, qui pourra les montrer à son tour à M. Lincoln. Je sais qu ’aucune autre chose ne saurait être confondue avec cela, car elle recèlerait alors les mêmes espoirs. Son accueil à Washington représenterait une promesse sacrée, que la voie qui est la mienne sera conforme à la politique actuellement menée dans la République du Texas.
M Marx accepte certains de mes textes sur les communes, que j ‘ai été obligé de laisser de côté il y a un certain temps de cela, lors que j ‘évaluais prudemment des lois et règlements que n ’étayent pas de solides fondations, n ’étant soi-disant que pure et simple utopie sans préambule ni corpus, pas plus que fondées sur une base visible.En ce qui concerne mes rêves utopiques d autrefois, j ’étais à ce moment-là en , accord avec les deux jeunes hommes.
J’ai fait ce sacrifice aux fins de préserver l’important manuscrit qui avait été composé, celui-ci ayant été établi pour qui] perdure à jamais avec le rayonnement des étoiles, et non , pas pour que les tenants du pouvoir I’exploitent où en abusent.À ma grande consternation, j ’ai consenti aux abus perpétrés au cours de la dernière partie de la même année, après que le Dragon eût été éradiqué et totalement aboli. J ‘ai décrit ma seconde commune, que j ‘ai été oblige de dissoudre et d’abandonner au Flambeau le 3 à mars 1821, après quoi j ’ai pris la résolution de me retirer sans me renier.Je ne vais plus aider ceux qui sont opposés à mes principes. Il faut que j ‘arrête là. J apporterai plusieurs manuscrits et le manifeste. J’espère que Jules et Glenn progressent à l ‘école avec
Miss Vîng et Burgess. Je sais que ce sont des enseignantes pleines de patience, mais
Glenn n ’est pas aussi fort que Jules."
La seconde source américaine de financement de Karl Marx était un certain Charles Anderson Dana, le rédacteur en chef du New York Tribune, que possédait Horace Greeley. Dana et Greeley étaient tous deux fraternellement associés à Clinton Roosevelt, que nous avons cité dans le chapitre trois, ainsi qu’à son« Manifeste de Roosevelt » pour un gouvemement dictatorial. Dana engagea Marx afin qu’il écrive pour le New York Tribune, ce que Marx fit à travers plus de 500 articles qui s’échelonnèrent sur dix ans, de 1851 à 1861.
La principale source allemande de financement de Marx provenait de son associé, Friedrich Engels, fils d’un riche industriel du coton de Brême et pour- voyeur de fonds destinés à Marx durant de nombreuses années.
Plus surprenants sont les subsides versés à Marx par l’élite prussienne. Karl Marx avait épousé
Jenny von Westphalen. Le frère de Jenny, le baron Ferdinand von Westphalen, était le Ministre prussien de l’intérieur (contrôlant les services de police) alors que Karl faisait l’objet dîme « enquête » de la part des services en question.
En d’autres termes, le beau-frère de Marx était chargé d’enquêter sur les activités subversives.D’années en années, la famille von Westphalen soutint activement Marx. Pendant 40 années, Desmuth, la servante de Marx, fut payée par les von Westphalen, et de fait personnellement choisie par la baronne Caroline von Westphalen pour ce travail. deux des premiers essais de marx furent écrits dans l’immeuble de rapport des von westphalen à Kreuznach, l’argent issu de cet immeuble étant laissé à Marx.Bref, des banquiers américains à l’aristocratie allemande, Marx était abondamment financé pour son Manifeste et les écrits qui ont suivi.Pourquoi l’élite financerait-elle Marx ? Tout simplement parce que la totalité de l’attirail philosophique de Marx visait l’extermination de la classe moyenne et la suprématie de l’ élite oligarchique. Le marxisme est un dispositif de consolidation du pouvoir par l’ Empire. Il ne se préoccupe absolument pas de soulager la misère d’une humanité pauvre ou " émergente " : il s’agit purement et simplement d’un dispositif politique élitiste.Par la suite , l’expérience socialiste qui devait être menée de force en Russie verra encore une fois ses dirigeants : Trotsky, Lénine appuyés par la finance internationale.....
Liens :
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C’est pas la peine de romancer la vie de KM. Il vivait surtout, et chichement, des subsides que la famille de son ami Engels tirait de l’exploitation de filatures en Angleterre et en Allemagne. Le reste est du pipeau pour, un siècle et demi après la publication du Manifeste, exorciser le fameux spectre qui sème toujours la terreur dans toutes les bourgeoisie de la terre...
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Bravo Soi-même pour ce travail d’historien-archiviste, ce qui n’enlève rien à la valeur du travail de K Marx.
il est certain que la bourgeoisie marchande du 19ie siècle avait intérêt à éjecter les familles d’aristos aux pouvoirs dynastiques, afin de leur succéder.c’est pourquoi K Marx a trouvé des financements chez les marchands, rien de plus normal mais bon KM ne doit pas être lu comme la bible, comme le fait ISGA, mais c’est juste un outil qui aide à la compréhension du système économique, en cela il donne des clefs, mais cela ne doit pas être considéré comme une science exacte. -
( exorciser le fameux spectre qui sème toujours la terreur dans toutes les bourgeoisie de la terre... )
Comme tu le dis la grande bourgeoisie c’est très bien adapter à Marx et le Maxime, puis il a financer la révolution Russe ! -
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un livre intéressant sur Marx : « Marx »de Nicolas Tandler. Marx est le théoricien du génocide de classe. les communistes ne sont même pas logique avec eux même. si les régimes communistes n’étaient pas de vrais régimes communistes, pourquoi font ils alors du révisionnisme historique ??? pourquoi se donnent ils tant de mal à minimiser les atrocités des régimes communistes ??? bizarrement, les communistes défendent ce genre de régimes jusqu’à ce que ces régimes soient totalement indéfendable pour l’opinion publique. aujourd’hui, ils défendent encore des gens comme le che (une ordure responsable de la mort de plusieurs milliers de personnes)et des régimes peu recommandable comme le régime chaviste (qui a ruiné le vénzuela et qui n’hésite pas à envoyer en prison les opposants politiques)
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Les « crimes et atrocités » du « communisme »n’invalident nullement le communisme qui, pour le moment, hormis la période « chasseur-cueilleurs » n’a jamais existé sur cette Terre. Ils servent surtout à camoufler les « crimes et atrocités » du capitalisme qui prolifèrent à peu prêt partout depuis des siècles maintenant.
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@ CN46400, la rhétorique parfaite du révisionniste historique , le communisme est une caricature une farce et un appel à la haine .
Quand à Jacques , il devrais ce concentré sur le résulta désastreux et égoïsme de l’ultra libéralisme qui avec le nazisme et aussi venimeux que le communisme !
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