article très documenté. Les écarts de conclusions ou d’interprétations de résultats proviennent de défauts de modélisation.
En raccourci, la science du climat n’existe pas encore
17 Novembre 2014 : Climat : Où en est-on ? Y a-t-il des raisons de s’inquiéter ?
http://www.pensee-unique.fr/news.html#point
[...........]
5) Conclusions :
En partant des données officielles, nous avons successivement passé en revue l’état actuel des observations qui concernent :
- l’évolution des mers glacées au pôle Sud et au pôle Nord,
-
l’évolution de la température moyenne à la surface du globe,
- la hausse du niveau des mers,
-
l’évolution des tempêtes extrêmes comme les tornades aux USA, les typhons et les ouragans à l’échelle du globe,
-
les questions d’enneigement, des tempêtes diverses et des sécheresses,
ainsi que les conclusions du contenu du dernier
rapport scientifique AR5 (2013) du GIEC au sujet des événements
climatique extrêmes.
Ces observations sont indubitablement rassurantes. Nous ne
voyons strictement rien dans tout cela qui justifie le déchaînement
médiatico-politique catastrophiste (francophone) auquel nous assistons
en ce moment. Au contraire, toutes ces évolutions climatiques
restent dans le cadre des évolutions naturelles observées dans le passé
et pour un certain nombre d’entre elles, personne n’est encore capable
de se prononcer.
Ainsi, rien n’est observé dans la situations actuelle qui puisse susciter l’inquiétude. Il est possible, cependant, que certains justifient leur anxiété en se référant aux prévisions/scénarios des modélisations informatiques du climat.
L’inquiétude serait-elle alors justifiée par les modèles des prévisions/scénarios du GIEC ?
On pourrait le comprendre si les modèles
numériques du climat avaient systématiquement démontré leur pertinence
lors de leur confrontation avec les observations objectives. Ce n’est
pas le cas.
Voici trois exemples parmi d’autres dont certains ont déjà
été mentionnés dans les billets précédents, au cours des mois et des
années passées.
1. Modélisation de la température moyenne de la surface du globe.
[...]
2. Modélisation de l’évolution de l’extension de la banquise antarctique
...]
3. Modélisation de la température de la moyenne troposphère tropicale.
[...]
Tant que les modélisations informatiques n’auront pas
résolu leurs (graves) problèmes de divergence avec les observations, il
est sans doute pour le moins prématuré d’anticiper l’avenir de la
planète dans l’état actuel de nos connaissances et de mettre en place
des mesures contraignantes qui peuvent s’avérer lourdes de conséquences.
Ainsi, dans l’état actuel des choses, nous ne voyons rien, ni
dans les observations objectives ni dans les modèles manifestement pris
en défaut qui puisse affecter le bien-être futur de nos enfants et de
nos petits enfants (fréquemment invoqué dans les médias et jusques et y
compris dans les déclarations politiques les plus officielles). Il est
probable que, dans quelques années, nos descendants - du moins ceux qui
auront échappé au pessimisme généralisé - s’interrogeront (ou
s’amuseront), au sujet de l’étrange psychose collective qui s’est
emparée d’une proportion notable des dirigeants et des communicants de
notre planète en ce début du XXIe siècle.
Time will tell.
Stay Tuned !
04/12 21:55 - epicure
Mais non tout va bien, les pluies diluviennes deviennent de plus en plus fréquentes, les (...)
26/11 13:29 - sylvie
en attendant le Provence est sous vigilance rouge depuis quasiment un an, mais c’est bon (...)
25/11 17:51 - soi même
25/11 16:01 - joletaxi
25/11 15:52 - njama
on ne peut raisonner comme si le climat était stable, car il ne l’a jamais été. Sur de (...)
25/11 14:53 - soi même
Je suis pas si sur de cela, et même si c’est un bidonnage, aller voir du côté de (...)
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