Les vaccins ont le triste privilège de provoquer, dans leur globalité, plus de 800 effets secondaires indésirables.
Certains sont bénins et fréquents, mais d’autres sont très rares, et ne se remarquent pas trop (la sclérose en plaque et l’autisme se remarquent beaucoup).
Mais ils sont tellement nombreux que si chacun d’eux est discret, on peut affirmer que l’un d’eux se retrouve présent chez quatre vaccinés sur cinq (l’asthme et l’eczéma sont fortement représentés).
On explique alors que c’est la faute à pas de chance, que le jeu en valait la chandelle, que c’est extrêmement rare, que ça n’arrive qu’avec une incidence de 0. des poussières sur cent.
Mais à celui à qui ça arrive, c’est du 100%.
Et dans tous les cas, on explique doctement "qu’il n’a pas été possible d’établir un lien de cause à effet, etc...etc...).
Bien sûr, c’est difficile, quand l’effet secondaire peut survenir dix ans plus tard et que les essais cliniques durent quelques semaines, voire quelques jours...
Ce qui est certain, c’est que les vaccins sont toujours apparus quand la maladie concernée avait diminué en incidence de plus de 90%. D’ailleurs il n’y a pas de vaccin contre le Sida : c’est normal, il n’a pas encore disparu tout seul. Ce vaccin arrivera quand la messe sera dite, comme les autres.
Quand au vaccin contre le papillomavirus, on saura s’il est efficace dans vingt ans... A cette époque, je pense que les vaccins auront tous disparu dans les poubelles de l’Histoire de la Médecine.