ok c’est en bible aussi : libération du ravage de gog et magog précède jeru réinstaurée,
mais par-delà gog google, ou 666-GooGle,
le verbe ajjaj derrière gog, le jouj,
et le azaz’el nom du démon chargé du bouc émissaire de l’exode,
il y a un feu, voire surtout un feu glacial...
fond de l’enfer de dante ;
cette paroi n’est donc pas dans l’histoire,
et l’affaire des lieux où les langues connues disparaissent
a de claires allures de géographie de la psyhé
(« la psyché est étendue, elle n’en sait rien » disait freud, mais le coran semble y jouer).
comme dans le cas de lecture du nahj par exemple,
je ne crois pas qu’une quelconque velléité de lecture historique du coran et de zoulqarnaïn
puisse atteindre à quelque chose d’aujourd’hui, en présence.
il a deux qarn, c’est la double abondance et la résurrection,
il ne vient pas n’importe où, il marie des fleuves, il est architecte historien vagabond prophète,
le qarn comme puissance et royauté aussi, il tient de deux empires ? deux siècles ?
ce duel propre à son nom en fait déjà l’opposé logique du dajjâl à l’oeil unique,
il dualise zoulkarnaïn il est la dualisation même, et la séparation qui va avec,
gog jouj par contre joue des rapprochements, il frotte, il hurle,
pour voir l’effet de gog ?
regarde l’oreille de van gogh,