« …Je ne
sais pas si vous êtes sérieux… »
Tout à fait. Je crois, en effet, que la pensée n’a
pratiquement pas d’incidence sur l’érection du monde, donc sur son état, au
jour le jour.
Des orientations sont, certes, décidées, des projets
connaissent un début de mise en œuvre, mais au-delà de l’impulsion initiale,
plus personne ne contrôle rien dans l’enchaînement des causes et des effets.
Pour faire simple et court, c’est, en permanence, la
fable de l’apprenti sorcier. Avec une différence par rapport à l’original :
certaines fois, les choses se passent bien, d’autres fois, elles se passent
mal, sans qu’on puisse savoir à l’avance, ce qu’il en sera.
C’est d’autant plus impossible à déterminer, qu’il arrive
que les choses commencent très bien et finissent très mal, ou qu’elles
commencent bien et finissent fort mal. Et, dans ce processus, je ne vois nulle
part le rôle prétendument déterminant de la pensée humaine. la pensée n’a
pratiquement pas d’incidence sur l’érection du monde, donc sur son état, au
jour le jour.
Des orientations sont, certes, décidées, des projets
connaissent un début de mise en œuvre, mais au-delà de l’impulsion initiale,
plus personne ne contrôle rien dans l’enchaînement des causes et des effets.
Pour faire simple et court, c’est, en permanence, la
fable de l’apprenti sorcier. Avec une différence par rapport à l’original :
certaines fois, les choses se passent bien, d’autres fois, elles se passent
mal, sans qu’on puisse savoir à l’avance, ce qu’il en sera.
C’est d’autant plus impossible à déterminer, qu’il arrive
que les choses commencent très bien et finissent très mal, ou qu’elles
commencent bien et finissent fort mal. Et, dans ce processus, je ne vois nulle
part le rôle prétendument déterminant de la pensée humaine.