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Commentaire de njama

sur Argent contre Shoah : un mauvais calcul


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njama njama 8 décembre 2014 13:56

60 millions $ aux victimes américaines de la Shoah
un chapitre de plus à ajouter à ce livre :

L’industrie de l’Holocauste, réflexions sur l’exploitation de la souffrance des Juifs par Norman G. Finkelstein
Postface Rony Brauman

TÉLÉCHARGEABLE en PDF sur ce lien

INTRODUCTION
Ce livre est à la fois une anatomie et une mise en accusation de l’industrie de l’holocauste. Dans les pages qui suivent, je vais soutenir que « l’holocauste » est une représentation idéologique de l’holocauste nazi1. Comme beaucoup d’idéologies, elle a un rapport, si étroit fût-il, avec la réalité. « L’holocauste » est une construction non pas arbitraire mais dotée d’une cohésion interne. Ses dogmes principaux soutiennent des intérêts politiques et sociaux significatifs. En fait, « l’holocauste » s’est avéré une arme idéologique indispensable. Grâce à son déploiement, l’une des puissances militaires les plus formidables du monde, dont les manquements aux droits de l’homme sont considérables, s’est posé en état-« victime » et le groupe ethnique le plus florissant des Etats-Unis a, lui aussi, acquis le statut de victime. Des bénéfices considérables découlent de ce statut injustifié de victime, en particulier, une immunité face à la critique, même la plus justifiée. Ceux qui jouissent de cette immunité, ajouterai-je, n’ont pas échappé à la corruption morale qui va de pair avec elle. De ce point de vue, le rôle d’Élie Wiesel, interprète officiel de l’holocauste, n’est pas un hasard. Il est évident qu’il n’est pas parvenu à cette position par son action humanitaire ou ses talents littéraires2. Il joue le premier rôle plutôt parce qu’il articule sans la moindre fausse note les dogmes de l’holocauste, défendant par là même les intérêts qui le sous-tendent.
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ou sur Amazon.fr Note de l’Editeur :

Quatrième de couverture
« Comme Finkelstein, j’ai dit moi-même que dans cette campagne [contre les banques suisses], les méthodes du Congrès Juif mondial et des organisations qui le soutiennent sont détestables. (...) Quand il s’agit de la vérité, on doit parler ouvertement, même si les conséquences sont désagréables. »
Raoul Hilbergn entretien à la radio suisse (SBC-SSR), 31 août 2000.

« -Comment Finkelstein, répond-il à l’accusation de travailler pour les antisémites ? -Je pense le contraire : à mon avis c’est l’industrie de l’Holocauste qui est la grande pourvoyeuse de l’antisémitisme, par l’extortion féroce qu’elle mène et par sa manière de falsifier l’Histoire. » Jewish Chronicle, juillet 2000.

« Finkelstein met en lumière des questions essentielles dont beaucoup de Juifs de la jeune génération ont cherché à débattre calmement. Mais leurs voix ont été étouffées par l’establishment, particulièrement aux Etats-Unis. » Evening Standard, 11 jullet 2000.

« Quand il analyse comment »l’Holocauste« a été exploité pour promouvoir des intérêts politiques, Finkelstein touche juste. Il montre comment les démagogues de l’Holocauste font le lien entre »l’unicité« de l’événement et le caractère »élu« du peuple juif, et utilissent les deux pour justifier la politique israëlienne. » The Nation, 13 novembre 2000
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Norman Finkelstein a passé sa thèse de doctorat à Princeton sur la théorie du sionisme. Il est l’auteur de Image and Reality of the Israel-Palestine Conflict, The Rise and Fall of Palestine et A Nation on Trial, traduit en français en 1999 (L’Allemagne en procès, La Thèse de Goldhagen et la vérité historique). Il enseigne la théorie de la politique à la City University de New York.


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