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Commentaire de malitourne

sur Les États-Unis ne sont plus la première puissance économique mondiale. La Chine vient de les détrôner


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malitourne malitourne 16 décembre 2014 15:57

"@ Malitourne

J’ai déjà répondu cent fois à votre question. DLF souhaite quitter la construction européenne actuelle, que ce soit en invoquant l’article 50, dénonçant les traités ou en les renégociant.

Quant au récit de la construction européenne, il suffit d’acheter des bouquins d’historiens sérieux. Je n’ai pas de conseils à vous donner, faites-vous votre opinion, mais en essayent de vous tenir à distance de certains ouvrages peu sérieux.« 

Ok. Donc la position sur l’article 50, c’est une option parmi d’autres pour »quitter la construction européenne actuelle" à DLF. Pour l’UPR, c’est clair, c’est la seule option possible, si on veut recouvrer souveraineté et démocratie de façon légale concrète et rapide.

Or l’acceptation du récit philanthropique de la construction européenne conditionne forcément le choix de ces options.

Si vous acceptez ce récit, même si vous y apportez des critiques, vous êtes bien un européiste, eurosceptique certes mais européiste.

A l’UPR, on n’accepte pas ce récit. Donc la ligne logique est évidente : la sortie la plus rapide, la plus légale et la plus définitive.

En nous traitant de complotistes, révélés par nos lectures malsaines, en stigmatisant ceux qui disent non à l’UE parce qu’ils considèrent que dans son projet, c’est une agression contre la souveraineté de la France, en vous faisant, malgré vous peut-être, le défenseur d’un système contre lequel vous souhaitez apparemment lutter, vous faites le grand écart entre deux aspirations contradictoires : souverainisme et fédéralisme.

Vous ne pourrez pas longtemps tourner autour du pot comme ça, votre contradiction vous reviendra forcément comme un boomerang. Rejeter ou non la construction européenne est concomitant du retour ou non au souverainisme plein et entier.

Et méfiez-vous, Professeur Tythan, un claquage des adducteurs, c’est douloureux. De mon côté, je vous promet de n’utiliser les ouvrages peu sérieux que pour caler ma commode.


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