Voilà qui a le mérite d’être déjà un peu plus clair... que de billevesées pour en arriver là !
Mais vous continuez à me prêter de fausses intentions : poser une question sur l’UPR ne reviens pas à prendre leur défense, ni le fait de me faire l’avocat du diable pour alimenter le débat.
Si ce n’est pas moi qui doit définir mon positionnement politique, c’est certainement pas quelqu’un qui se complait à mettre les gens là où ça l’arrange, même si on est à la base d’accord sur le sens des mots.
Cela dit : « imposer une démocratie » ne donnera jamais, par définition, une démocratie en résultat : c’est bien ce que veulent faire les Etats-Unis un peu partout, et jusque là on ne peut pas dire que le résultat soit affolant d’efficacité. Et quitte à continuer sur le jeu des définitions parfaites : révolution = tour complet. Retour à la case départ. Comme idée de progrès j’ai vu mieux. Et ne me dites pas que cette définition n’est pas la bonne ou que les révolutions de part le monde ont pu permettre aux peuples de changer de vie. Le simple cas de la France illustre à quel point ce concept est une mascarade...
Réformer l’UE, l’OMC ou autres consortiums par définition fermés, bon courage. C’est effectivement tout à fait progressiste que de vouloir s’attaquer à un mur en acier nickelé à coup de tête...
Le simple exemple que vous donnez de ce pseudo-antagonisme « si je veux pas l’UE je veux le capitalisme national » prouve que d’une part vous ne comprenez rien à mon positionnement, et que vous êtes en fait très manichéen dans votre raisonnement. Si vous voulez vraiment me mettre dans une case, mettez-moi dans celle des idéalistes, là je n’ai aucun problème. (Ah, un idéaliste qui ne supporte pas le tutoiement, c’est aussi un réactionnaire dans votre dictionnaire ??)