Bonjour, Alanhorus.
« Vous n’empêcherez pas les gens d’appliquer cette phrase à l’acharnement avec lequel vous envahissez le champ de la conscience avec cette histoire de Shoah »
Vous mélangez tout pour servir votre démonstration, et ce n’est pas bien. Personnellement, j’exècre ce qu’est devenu Israël au fil des décennies, et je suis à 100 % du côté des Palestiniens qui ont été spoliés, humiliés, volés, et parfois massacrés pour servir les intérêts des Sionistes en quête du Grand Israël.
Pour autant, je ne mélange pas tout. Encore une fois, ce concours existe depuis des décennies et son thème change chaque année, tantôt en rapport avec la Résistance, tantôt avec la déportation (des Juifs, mais aussi des Tziganes, des résistants ou des homosexuels) conformément à l’objet de l’association qui l’organise depuis 53 ans.
Or, voilà qu’un élève (issu de la minorité d’origine arabe) qui a vécu avec enthousiasme cette belle aventure qui l’a aidée à se construire en tant qu’homme en fait un scénario qui est accepté par un producteur de cinéma. Il faut vraiment avoir l’esprit mal tourné pour voir là une finalité politique. Recevoir ce film dans cet esprit, c’est courir tout droit à la censure sur la plupart des sujets au motif que telle communauté ou tel groupe de pression pourra y voir une atteinte à sa vision politique de la société. On marche sur la tête !