«  Il ne faut pas mille vérifications pour fusiller quelqu’un. Ce qu’il faut déterminer c’est la nécessité de le fusiller. Rien de plus. Il faut laisser au condamné la possibilité de clamer son innocence avant de le fusiller. Et celà veut dire, que l’on me comprenne bien, qu’il faut toujours fusiller le condamné, sans se soucier des charges. En cela, il ne faut pas se tromper. Notre mission n’est pas de garantir des procédures judiciaires équitables à qui que ce soit, mais faire la révolution, et on doit commencer parles procédures judiciaires même. » Che Guevara, idole de notre pote, cité par Fernando Díaz Villanueva, dans « Biografía del Ché », Editorial Dastin, Madrid, 2004, 284 pages.

« …rue du "Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc", un militaire ayant participé au putsch des généraux. »

…après être entré dans la Résistance en 1941, à l’âge de 19 ans. Arrêté par les Allemands deux ans plus tard, il est déporté à Buchenwald, où il sera libéré par les Américains, en avril 1945, et après avoir combattu en Indochine dans les rangs de la Légion. 

En 1996, il reçoit le prix Femina, catégorie Essais, pour son autobiographie, « Les champs de braises. Mémoires  ».

«  sera présenté lors du prochain conseil municipal, le 11 décembre  ».

L’année n’est pas précisée. Manque de professionnalisme.

«   En novembre 2014, le journal Midi libre (le dernier journal libre ?) fait le point sur le renforcement en cours de la police municipale : une brigade canine a vu le jour ; des revolvers 38 spécial, des tasers et des caméras embarquées ont été commandés ; la création d’une brigade équestre, l’armement des policiers et l’élargissement de leurs horaires à 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24 sont prévus pour la fin de l’année, engendrant le doublement de l’effectif de la police municipale. »

On se demande pourquoi les médias n’ont pas mis ces informations en évidence, du moment qu’il s’agit de faire la promo de Ménard : 70 à 75 % des Français doivent être d’accord avec ce genre de mesures. Ne sont contre que les racailles qui risquent d’en faire les frais, et leurs fervents supporters.

On terminera en réparant un oubli de notre petit camarade, à savoir que Robert Ménard a instauré, le 1er juillet dernier, la gratuité de tous les musées de sa ville, y compris la maison natale de Jean Moulin, pour les Biterrois. C’est navrant d’avoir gâché la possibilité d’accuser le nouveai maire de pratiquer le préférence municipale. L’occasion était pourtant bien belle.

Tenez bon, Robert, le Chien aboie, la caravane passe.