Monsieur Robert Gil,
Le travail ne coute pas cher, puisque les salaires tournes en moyenne entre 11 et 18 euro net de l’heure. Ca vous fait des salaire mensuel à 2500 euro, s’il l’employer a la chance d’être payé 18 euro et de faire 35 heures pas semaine.
Sinon, pour un serveur qui travaillera au maxi 30 heures par semaine dimanche compris, ca lui ferra 1320 euro et il s’en contentera, parce que pour les autres qui n’ont pas la chance d’être serveur ça sera chomdu ou RSA.
Voila pour les réjouissance.
Vous parlez des zaki du medef et de tout le saint frusquin Mais les grandes entreprises n’en n’ont rien à battre du code du travail et des cotisations sociales, parce que les grosses entreprises ont appris, pour se faire du fric, à se passer des salariés. Prenez l’exemple de Vinci (groupe de BTP), avec les redevances de l’eau, autoroutes etc, diminue ses effectifs d’année en année et augmente ses profits dans le même temps. Quand Vinci aura son NDDL, il se contentera à la façon d’un vieux macro de relever les conteurs et laissera à des PME locale le soin de faire fonctionner le bidule. PME dont il aura pris soin de ponctionner jusqu’au dernier euro ainsi qu’à tous les salariés attenants. Et si la rentabilité n’est pas bonne , c’est l’état avec les impôts et taxes divers qui mettra le complément.
Alors vos délires sur la flexibilité du travail, la libre entreprise, la société de consommation, l’autogestion, les nationalisations, les acquis sociaux, le conseil de la résistance, c’est un peu passé de mode