L’auteur a raison, l’écologie est un motif de convergence mais Adolphe Hitler était aussi très « pro nature ».
On parle de CO² or le souci vient du champ magnétique terrestre qui à perdu 10 à 15% en un siècle. Pour améliorer le CO², certains dont le club de Rome et de grands industriels ont imaginé les
supergrids, vastes réseaux électriques maillant les territoires des usines solaires du désert sahariens aux champs éoliens de la mer du nord.
Cela est attrayant mais si la terre est comme un générateur homopolaire de Faraday et réagit comme une sphère conductrice chargée, les réseaux électriques sont la cause de la baisse d’intensité de la magnétosphère et auront des conséquences dignes du déluge de Noé.
Trop d’expérience montrent que l’électromagnétisme, le mouvement des particules et la gravité sont couplées. Regardez l’expérience de
John Searl et je pourrais en citer des dizaines d’autres qui montrent l’erreur d’analyse actuelle parce qu’on fait de la science isotrope avec des grosses équations au lieu de faire de la métallurgie où les phénomènes sont anisotropes.
Je vais vous donner un exemple : lorsqu’on modélise un matériau métallique comme un ensemble d’atomes attachés par des ressorts, c’est très correct mais en faisant des expériences, on s’aperçoit que le matériaux est 100 fois moins solide que prévu. La résistance est en fait pilotée par le mécanisme des dislocations. Il est difficile de déplacer un tapis d’un seul coup mais si vous faites un pli que vous faites avancer, au global, le
tapis aura bougé en faisant le mouvement d’une chenille, c’est le phénomène réel.
Je ne vais pas y aller par 4 chemins, le GIEC fait des analyses qui vont détruire la planète et à
l’ICCF19 d’autres font des analyses qui apportent des solutions permettant une énergie autonome et la dépose des réseaux électriques.