@ Aldous t’es chrétien orthodoxe par la pratique ou t’est chrétien orthodoxe par idéologie et bien ce détail on le retrouve dans chaque religion, celui pratique réellement sa religion ne peut pas nié cela :
- Bouddhisme : « Ne blesse pas les autres de manière que tu trouverais toi-même blessante. » – Udana-Varga 5:18 (environ -500) ;
- Confucianisme : « Ce que tu ne souhaites pas pour toi, ne l’étends pas aux autres. » – Confucius (environ -551 - -479) ;
- Christianisme : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » – Jésus de Nazareth (environ -5/32) (Mt 22. 36-40), « Toutes
les choses donc que vous voulez que les hommes vous fassent,
faites-les-leur, vous aussi, de même ; car c’est là la loi et les
prophètes. » – Jésus de Nazareth (Mt 7. 12), et aussi Matthieu 22:39, Luc 6:31, Luc 10:27 ;
- Hindouisme : « Ceci est la somme du devoir ; ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’ils te fassent. » – Mahabharata (5:15:17) (environ -500) ;
- Humanisme : D’après Greg M. Epstein (en), chapelain humaniste séculier à l’Université Harvard, « Ne faites pas aux autres…
est un concept qu’essentiellement aucune religion ne rate entièrement.
Mais aucune de ces versions de la règle d’or n’a besoin d’un Dieu »1.
- Islam : « Aucun d’entre vous ne croit vraiment tant qu’il n’aime pas pour son frère ce qu’il aime pour lui-même. » – Mahomet (570-632), Hadith 13 de al-Nawawi ;
- Jaïnisme : « Rien
qui respire, qui existe, qui vit, ou qui a l’essence ou le potentiel de
la vie ne devrait être détruit ou dirigé, ou subjugué, ou blessé, ou
dénié son essence ou son potentiel. Pour renforcer cette vérité, je vous
pose une question : est-ce que le désespoir ou la douleur sont quelque
chose de désirable pour vous ? Si vous répondez oui, ce serait un
mensonge. Si vous répondez non, vous exprimez la vérité. Juste comme le
désespoir et la douleur ne sont pas désirables pour vous, il en est de
même pour tout ce qui respire, ou existe, vit ou a l’essence de la vie.
Pour vous et pour tous, ceci n’est pas désirable, et douloureux, et
répugnant. »2 ;
- Judaïsme : « Tu
ne te vengeras pas, ou tu ne porteras aucun grief contre les enfants de
ton peuple, tu aimeras ton prochain comme toi-même : Je suis le
seigneur. » – Torah, Lévitique 19:18. (environ -538/-332) ;
Cette règle est ainsi présentée par Hillel (vers le début de l’ère chrétienne, avant les enseignements de Jésus de Nazareth) : « Ce
que tu ne voudrais pas que l’on te fît, ne l’inflige pas à autrui.
C’est là toute la Torah, le reste n’est que commentaire. Maintenant, va
et étudie. » – Talmud de Babylone,
traité Shabbat 31a, à un homme qui lui demande de lui expliquer le sens
de la Torah, « le temps de rester debout sur un pied » ;
- Philosophie grecque antique (en) : « Ne fais pas à ton voisin ce que tu prendrais mal de lui » – Pittacos de Mytilène3 (-640/-568) et « Évite de faire ce que tu blâmerais les autres de faire » – Thalès4 (-624/-546)
- Taoïsme : « Regarde le gain de ton voisin comme ton propre gain, et la perte de ton voisin comme ta propre perte » T’ai Shang Kan Ying P’ien, « Le
sage n’a pas d’intérêt propre mais prend les intérêts de son peuple
comme les siens. Il est bon avec le bon ; il est également bon avec le
méchant, car la vertu est bonne. Il est croyant avec le croyant ; il est
aussi croyant avec l’incroyant, car la vertu est croyante. » – Dao De Jing (environ 600 av. J.-C), Chapitre 49 ;
- Zoroastrisme : « La nature est bonne seulement quand elle ne fait pas aux autres quoi que ce soit qui n’est pas bon pour soi-même. » – Dadistan-i-Dinik 94:5 (environ -700) ;