Vous avez raison : en France il est devenu périlleux
(du point de vue de poursuites légales, et pas seulement…) de dire certaines
vérités.
Les slogans brandis en public ces derniers jours ont exigé
le respect de la liberté d’expression donc le présent commentaire devraient
avoir le droit de figurer à la suite de l’article ci-dessus …
Sans nommer qui que ce soit énonçons sous forme d’hypothèse certains
comportements et voyons à quel groupe de personnes cela pourrait s’appliquer et
quels mots conviendraient pour qualifier ce groupe.
Imaginons un « mouvement spirituel » qui aurait été
propagée par son fondateur en appliquant la violence meurtrière. Imaginons
qu’il y ait des faits historiques : dès les origines de ce
« mouvement spirituel » il a été propagé par les actions guerrières, avec
mises à mort, mises en esclavage et vols que pratiquait personnellement, les
armes à la main, son fondateur. Par ces moyens violents, et en le justifiant
auprès de ses adeptes par « la voix de Dieu » qui lui aurait dicté les
règles lui permettant d’agir ainsi, il s’est notamment constitué un groupe
d’esclaves sexuelles sélectionnées parmi les vaincus. Imaginons que ce « mouvement
spirituel » pratique un rite annuel, qui se déroule dans le contexte
familial, en présence notamment d’enfants, dans une ambiance de grande allégresse,
où les enfants sont donc entrainés à se réjouir lorsqu’un animal est mis à mort
pas égorgement. Tout ce qui vient d’être décrit correspondrait de nos jours à
la description d’un secte diabolique et de son fondateur.
Si cette secte existait de nos jours, si elle continuait à
progresser dans le monde et à se répandue partout y compris en Europe, se
trouverait-il un gouvernement, et une population, capables d’éradiquer
l’épidémie diabolique ?