considérations basiques :
* blasphème (selon Larousse ) >>
Parole ou discours qui outrage la divinité, la religion ou ce qui est
considéré comme respectable ou sacré. (Le blasphème est à distinguer du
sacrilège : le premier consiste en paroles, le second en actes.)
(* parole (pioché dans wikipédia :) >> .. « La parole est singulière et opère un acte de langage... »)
* fraternité : >>> Lien de solidarité, d’amitié
* politesse (wikipédia) >> :
La politesse [...] comporte une double finalité : faciliter les rapports sociaux en
permettant à ceux qui en usent d’avoir des échanges respectueux et
équilibrés
Comment imaginer alors un « droit au blasphème » ... fraternel ?
Droit à agir par une parole dont on serait conscient qu’elle outrage, parmi certains compatriotes, des sensibilités (même si on ne les partage pas soi-même, ou si l’on ne perçoit pas certaines notions de divinité ou de religion) ?
Au delà d’une question (procédurière) de légalité, reste une responsabilité particulière, personelle de cohérence, et de sensibilité humaine