Définition du mot « sémite », selon le Larousse : personne appartenant à un groupe ethno-géographique originaire de Palestine, comprenant des juifs, des chrétiens, et des musulmans. Or, la quasi-totalité des juifs de France est originaire de l’Est de l’Europe, des états qui faisaient partie de l’ex-URSS, et d’Allemagne. Ces juifs ne sont pas sémites, ce sont des azkhénazes, et ils ne peuvent prétendre retourner en « terre promise », car ils n’en sont jamais partis ! Ils constituent 90 % des juifs émigrés en Israël, et la quasi-totalité de ceux qui vivent en France. Seuls 10 % des israéliens sont sémites, ce sont les juifs séfarades. Par contre, tous les palestiniens de Cisjordanie et de Gaza sont sémites. Il n’y a que les primaires qui croient qu’il n’y a que les juifs qui soient sémites. Jean-François Kahn, à l’époque directeur de Marianne, avait sorti à ce sujet un numéro spécial très instructif sur Israël. Les vrais antisémites sont ceux qui s’attaquent physiquement aux sémites palestiniens, comme Netanyaou, premier ministre d’Israël, qui a sur les mains le sang de milliers de sémites, et son soutien inconditionnel, Manuel Valls ( celui qui confond la Knesset avec l’Assemblée Nationale ).
La France se serait honorée si elle avait refusé d’accueillir ce fasciste venu d’Israël !
Vous confondez antisémite et anti-sioniste, et ce n’est vraiment pas la même chose.
Le terme « antisémite » a été inventé par un juif, il y a de nombreuses années, pour qu’il ne puisse s’appliquer qu’aux actes commis contre les juifs, et non à la totalité des sémites, ce qui condamnerait les actions d’Israël contre les palestiniens ! Mais ce ne sont pas les juifs qui s’occupent de définir les mots de notre langue, c’est l’Académie Française. Et la justice doit faire de-même, car dans un procès, les mots employés par l’accusation et par la défense, sont ceux du dictionnaire avec leur définition exacte, et non ce que certains veulent en faire !