Merci Alinea, mais je n’ai pas eut besoin de Michéa pour m’en rendre compte tout seul.
Vois tu, mes définitions de la conscience et de l’intelligence sont suffisantes. Ma définition de la responsabilité aussi d’ailleurs.
Cela dit, l’explication est très incomplète.
enfin, l’ignorance ne s’enseigne pas, même si cela fait un joli titre accrocheur, elle s’entretient. C’est à dire que nous naissons tous, ou presque tous, ignorants, mais selon nos dispositions personnelles et conditions environnementales nous aurons accès à certains savoirs et pas à d’autres.
Mais comme je te l’ai déjà dit, l’évolution de la société obéit à un principe inertiel qui réduit à néant toutes les tentatives de ceux qui ont le pouvoir économique pour le garder. Leur seule alternative étant la guerre et in fine, une troisième guerre mondiale, mais à ce jeu là, ils ont autant à perdre que les autres ! Cela dit, certains préfèrent tout détruire que d’accepter l’inéluctable.
Selon cette définition de la conscience « le sens de l’action en conséquence de la connaissance », il faut atteindre un certains seuil de connaissance pour permettre la prise de conscience lorsque cette connaissance implique des bouleversements radicaux.
Autrement dit, c’est le degré d’amplitude des changements (de l’agir) résultants de la prise de conscience, qui détermine le niveau de connaissance nécessaire pour provoquer la prise de conscience.