« si les attentats de Charlie étaient un coup monté, pourquoi auraient-ils laissé délibérément les cartes d’identité, qui peuvent justement servir de suspicion ? »
Permettez-moi de réagir.
Un faux attentat signé est le signe d’un false flag.
La pièce d’identité est là pour que les coupables désignés soient arrêtés au plus vite, montrant ainsi non seulement qui ils sont mais la grande réactivité et l’efficacité de notre police.
Des preuves falsifiées peuvent se retourner contre les auteurs de la falsification.
Ainsi, dans cette vidéo supprimée, un arrêt sur image à T0 et à T27 secondes montre clairement une trace noire apparue entre le début et la fin de la séquence, perpendiculairement à la roue avant droite, et juste devant cette grotesque chaussure de basket.
C’est la preuve qu’il s’agit de deux séquences montées ensemble, mais éloignées dans le temps, et non d’une seule séquence.
Et si c’est un montage, la machination est prouvée, et s’écroule dans sa totalité.
C’est un peu comme la WW7 du 11 Septembre : le maillon faible du story-telling.
Si un point est faux, tout est faux.
De plus, rien ne permet d’affirmer que les deux frères abattus sont bien les assassins de Charlie.
Rien, sauf que ce qu’on nous en dit.
On peut remarquer que dans leur dernier interview, Cherif Kouachi, malgré plusieurs questions précises, se garde bien d’avouer clairement qu’ils on tué.
La religion interdit le mensonge, surtout quand on sait qu’on va mourir.
Il se contente de dire que la vengeance à eu lieu, mais pas que c’est par leurs mains.
On a vengé, dit-il.