Le mépris vient d’abord du cynisme des autorités.
La mixité sur la voirie (je ne parle même pas de son état lamentable et de sa conception scandaleuse) est à la sécurité ce que la partouze des genres est à la nature des choses : une perversité fatale à tous, illustration de tout le pouvoir de nuisance des déviants sadiques déconnectés qui nous gouvernent.
Autant faire des crèches au milieu des autoroutes, des piscines en bordure de piste d’aéroport, des tgv sur la plage.
Chacun son pré et les veaux, vaches et cochons seront bien gardés (et heureux) : malheureusement, le gestionnaire corrompu, non content d’être irresponsable, a la flemme d’aménager l’espace public, alors il décrète « open space » pour tous et démerdez-vous, battez-vous les uns les autres tandis que je me bronze tranquille en comptant les coups et ramassant les cadavres. Homeostasis par le bas et auto-sélection naturelle (self-répulsion et inter-élimination).
C’est typiquement la situation de la voirie immonde et chaotique de Paris, devenue stressante et rédhibitoire par la politique criminelle de Delanoë-Hidalgo, enjolivée par la propagande de son armée mexicaine de chiens de garde subventionnés.
Mais d’imposer 3 km/h max à tout le genre humain, plait beaucoup aux ayatollahs verts dont le sens du progrès et le bonheur extatique de mite limitée, est de brider et ramener l’homme icaresque au rang de limace gélatineuse.
Zone de conflits (mortels) = « zone de rencontres » (pacifiées) dans la doxa ecocolofauxcialiste.
Rip aux circulations douces torturées et sacrifiées pour la bonne cause, i.e. l’image de pub nord coréenne.