Les enfants virginaux, pris en otages ostensibles en tant que boucliers sanctifiés aux salaces turpitudes urbanistiques de la gauche perverse, sont comme les parasols de Paris Plage : une vaste escroquerie communicatoire à base de symboles arbolesques qui cachent la forêt dévastée, apogée du cynisme satanique vert rose rouge.
Encore une opé de com bisounours pour masquer les discriminations et les persécutions systémiques infligées aux mobilités douces, dont les enfants joueurs et leurs parents sportifs, dont les plus vulnérables comme les PMR à juste raison cités par un forumeur, par des choix de voirie (pavée, chaotique et alcoolisée) aussi lucratifs que dévoyés, opérés par cette mairie anti humaniste sans morale ni scrupules.
Des milliers d’usagers jeunes et moins jeunes, de feu Paris Respire entre autres, ont été ces dernières années, blessés, stressés, ruinés, écoeurés, bannis par les aménagements urbains anti sens commun, inappropriés, dangereux et rédhibitoires, facteurs de mort et de décadence de la cité, voulus en conscience par Delanoé-Hidalgo.
Pour maquiller ce scandale aux relents de gabegie invraisemblable profitant à certaines bourses et rétrocommissionnaires encartés, ces derniers n’ont rien trouvé de mieux que d’attirer le chaland innocent via des aires de jeux minables, pour la photo sacrée et le communiqué de presse fleur bleue.
Autant les passants et extérieurs passifs n’y voient que du feu, autant les habitants actifs comprennent le subterfuge mesquin, à leurs dépens, dans leur chair et leur porte monnaie, et... s’en vont. La route est ainsi dégagée pour les deux mamelles de la tromperie en bandes organisées : articles de presse fumeux et propagande de carte postale niveau zéro.
Du même acabit que le piège des happy meals chez Mc Donalds, ou comment valoriser la mairde par inversion des valeurs, ou requalifier un vrai enfer de fond en faux paradis pour la forme.
La politique reste plus que jamais un jeu malsain d’apparences et d’hypocrites. D’où la fracture grandissante, et catastrophique, d’avec la réalité.
@Fergus « la ville de Paris s’est au contraire beaucoup améliorée sur le plan de l’urbanisme, et la reconquête des voies sur berges est une excellente initiative qui va redonner pleinement la jouissance de ces lieux aux promeneurs ».
Elément de langage naïf, mensonger ou aveugle, typique d’un non résident ou d’un touriste de passage, ou encore d’un fervent militant de la secte ecocofaucialiste biberonné à la liturgie Decaux and co.
Delanidalgopolis, c’est le règne de la perversité totalitaire systémique, de l’inversion du sens et des valeurs, une escroquerie cyclique dans l’Histoire qui marque la mort pourrie des civilisations viciées.
Paris n’a jamais été autant défigurée, saturée, salie et rendue stressante, oppressante et insécure. Des marges autrefois sagement confinées et réprimées par l’intérêt général car incompatibles et préjudiciables à la construction du « vivre ensemble » (lequel n’est point « tout et son contraire » au titre de l’amalgame bisounours et contre-nature des genres), sont désormais au pouvoir et fières de l’être (décadentes et nuisibles). La laideur, l’agression et les défauts criards des nouveaux édifices, équipements et paysages urbains infligés par cette « élite » de copains coquins, le disputent à l’entrisme parasitaire des minorités alcoolos bobos pisseuses vaniteuses qui ont privatisé, confisqué et souillé l’espace public des berges, aujourd’hui marchandisé au bénéfice du business de l’autodestruction addicto-abrutissante gochocaviar, autrefois ouvert et libre de passage pour le sport santé ou la déambulation contemplative.
Tout n’est que fausseté, mensonge éhonté et tromperie cynique dans cette mandature, archétype du Mal parvenu à son Graal : se faire passer pour le Bien.
Le « techno fascisme » est un angle pour aborder et étiqueter les choix d’’aménagement urbain en cours.
Cette mutation d’ampleur semble bien accueillie par un pan de population qui se pense supérieure et bien lotie alors que c’est tout le contraire, et, par incompatibilité antagoniste de fait, est honnie par une autre dont je fais partie (et qui pourrait donc à ce titre se croire au-dessus de l’imposant troupeau de bobos dégénérés qui courent vers leur auto destruction ou leur mise en batterie d’élevage), persécutée par la mise en place de cette cage des temps modernes.
Grosso modo, les animaux domestiques dociles agglutinés sélectionnés remplacent les sauvages éparpillés et rétifs, voués à l’extermination.
Le fond du problème est plus prosaïque : il suffit de « suivre l’argent » (des milliards) pour déceler les intérêts combinés et sous-jacents qui président à cette politique opportuniste et hypocrite, issue d’une coterie du mal, et d’évaluer les conséquences à terme, au plan du progrès universel qui sont à l’inverse et de l’intérêt général et du sens de l’évolution.
L’élu comme l’affairiste comme le technocrate comme tous les rentiers de la bêtise et de la corruption humaines, ont besoin de cerveaux disponibles pulsionnels, spongéiformes et adulateurs et donc les fabriquent, les induisent et les affinent. L’économie ancienne basée sur des règles de bon sens de longue haleine, ne produit plus de bénéfices !? Qu’importe : au lieu de s’atteler à un nouveau cap de conscience en inventant une nouvelle règle du jeu, durable, éclairée et solidaire, il suffit de renverser (sans le dire) les lois naturellement établies pour dégager un nouveau terrain de croissance et d’enrichissement... vers la régression, la bêtise, le chaos, sous couvert de progrès, d’intelligence et de bien.
Autant la construction précède et relaye la destruction, autant tous deux rapportent gros à la quilde des prédateurs parasites mafieux sans vision ni morale autres que leur gain courtermiste. C’est un jeu de dupes, un système de monopoly artificiel tout puissant, impossible à réformer car s’auto entretenant lui-même, par tous moyens et à tous niveaux. Jusqu’à la prochaine explosion ?
Deux exemples rapides à deux échelles différentes pour faire dans le concret :
- importation aliénatrice et nuisible de revêtements et d’habillages pavés parisiens (le pavé surfacturable et mortifère, en tant que pire de toutes les solutions de voirie, est un signe de corruption manifeste de votre municipalité) dans les villes et villages du Pays Basque nord sous la coupe complice de rentiers du tourisme de façade, et de fonctionnaires irresponsables moulés à la petite semaine.
- les escroqueries parisiennes à foison du mandat Delanoé-Hidalgo : ou comment Paris autrefois vivable, praticable et somme toute agréable, est devenue à ce point (et ce n’est pas fini), sous couvert de faire du bien, la « shit city/Decauxville/ville mairde/nogozone/ville poubelle », entravée, bruyante, polluée, défigurée, souillée, insalubre, irrespirable, étouffante, abîmée, dégradée, incohérente, chaotique, violente, dangereuse, périlleuse, impraticable, contraignante, discriminante, conflictuelle, destructrice, ruineuse, aliénante, inhumaine, tribale, immorale, mensongère, incivique, mafieuse, marginale, marchandisée, encombrée, concentrationnée, minéralisée, artificielle, inhumaine, suffisante, cynique, schizophrène, régressive, stressante, oppressante, écoeurante, rédhibitoire, pour le plus grand bonheur vénal des larves alcoolos-bobos-shootés//alias les clients, forains-publicistes-btpistes et autres marchands de drogues subventionnées, de sommeil perturbé, d’illusions cheap et de vanités éphémères à vil prix//alias les exploitants.
La ville, la vie, la nécessité de s’organiser pour se transcender, ont été dévoyées et réduites à une marchandise, un moyen comme un autre de faire du bizz et de s’enrichir tranquillement et continuellement sur la médiocrité crasse de la masse jetable, corvéable et remplaçable à merci, tout juste bonne à être domestiquée pour être sucée à la paille.
C’est pourquoi les âmes les plus viles, cyniques, perverses, mauvaises et malfaisantes, briguent et finissent toujours par truster les postes de pouvoir : servir pour asservir et mieux se servir... Le destin et la longévité d’une espèce se mesurent précisément à sa capacité de contre-pouvoirs face à ces marges sans futur qui inversent le sens commun pour prospérer.
La publicité, c’est le fachisme le plus sournois qui soit, c’est la négation la plus méprisante de l’humain, de son sens critique, de son libre arbitre, un nivellement totalitaire par le bas, une cheptelisation à base de tromperie, infligée au profit de l’esprit de lucre d’un petit cercle d’escrocs solidaires, toujours les mêmes : politichiens, publinazistes, merdias, banksters et trusts monopolystiques mondialisés.
On peut juste déplorer que ces braves activistes (mais combien de lâches par ailleurs) ne s’en prennent aux effets plutôt qu’aux causes. Il est certes plus difficile de couper les têtes comme de taper sur le pro de la com (donc du mensonge) Delanoé et son fusible prolongement Hidalgo, premiers responsables de la marchandisation à outrance, par la municipalité ecocolobofaucialiste de l’espace public parisien depuis 14 ans : les véritables chiffres et enjeux du vélib et Decaux sont un parfait exemple de cette fumisterie permanente.
Le métro aussi est une belle illustration de cette exploitation cynique du bétail humain.
Faux par défaut (typique des com de presse unanimistes et propagandistes de l’armée mexicaine de spin doctors de la rue Lobau) : il y avait des solutions beaucoup plus innovantes (inventif ne veut pas forcément dire futuriste, hi tec et complexe), attractives, efficaces, évolutives, moins lourdes, moins spatiovores et surtout moins coûteuses car moins surfacturables, donc totalement insatisfaisantes pour les bobos (= élites déconnectées et dégénérées) qui veulent remettre le même couvert sur la rive droite.
« De plus, comment expliquer qu’alors que les Maréchaux sont une voie généralement large et peu engoncée dans le tissu urbain, sa construction a coûté deux fois plus cher que celle des tramways de banlieue ». //
Parce que les gestionnaires de banlieue sont moins gâtés pourris et/ou plus responsables sur les deniers publics ; à Paris, on surfacture sans compter en fioritures minérales (pavés, mobiliers, signalétique etc.) et en extensions de chantiers bouchonneux, sans parler des coûts d’entretien et d’exploitation démultipliés en autant de contrats rentiers faramineux : passerelles, trottoirs, pistes, places, parcs, stades, salle de concert, canopée, ... des milliards partent ainsi en fumée mais ce volume est nécessaire pour en extraire et détourner quelques centaines de milliers... Plus la gabegie est grosse, plus elle passe. Suivez l’argent.