@Fergus
« la ville de Paris s’est au contraire beaucoup améliorée sur le plan de l’urbanisme, et la reconquête des voies sur berges est une excellente initiative qui va redonner pleinement la jouissance de ces lieux aux promeneurs ».
Elément de langage naïf, mensonger ou aveugle, typique d’un non résident ou d’un touriste de passage, ou encore d’un fervent militant de la secte ecocofaucialiste biberonné à la liturgie Decaux and co.
Delanidalgopolis, c’est le règne de la perversité totalitaire systémique, de l’inversion du sens et des valeurs, une escroquerie cyclique dans l’Histoire qui marque la mort pourrie des civilisations viciées.
Paris n’a jamais été autant défigurée, saturée, salie et rendue stressante, oppressante et insécure. Des marges autrefois sagement confinées et réprimées par l’intérêt général car incompatibles et préjudiciables à la construction du « vivre ensemble » (lequel n’est point « tout et son contraire » au titre de l’amalgame bisounours et contre-nature des genres), sont désormais au pouvoir et fières de l’être (décadentes et nuisibles). La laideur, l’agression et les défauts criards des nouveaux édifices, équipements et paysages urbains infligés par cette « élite » de copains coquins, le disputent à l’entrisme parasitaire des minorités alcoolos bobos pisseuses vaniteuses qui ont privatisé, confisqué et souillé l’espace public des berges, aujourd’hui marchandisé au bénéfice du business de l’autodestruction addicto-abrutissante gochocaviar, autrefois ouvert et libre de passage pour le sport santé ou la déambulation contemplative.
Tout n’est que fausseté, mensonge éhonté et tromperie cynique dans cette mandature, archétype du Mal parvenu à son Graal : se faire passer pour le Bien.