Bonjour
Vous réduisez ma pensée à peu de chose en écrivant « espace unique »
Il faut prendra la phrase en entier soit
« il me semble que la condition initiale est un espace unique, indivisible »
L’expression « condition initiale » est impropre et prête à confusion, j’aurai dû écrire « condition primordiale » qui parle explicitement de la dimension temporelle.
L’idée est qu’on ne remonte pas le temps physique en regardant loin dans l’espace pour remonter le temps jusqu’au supposé big bang, absurde, mais en remontant dans la matière elle même. Autrement dit, l’espace vide est ce temps primordial, unique, purement géométrique donc mathématique où la matière représente une chaine de relation de causalité spatio-temporelle (que je ne présenterai pas ici).
Vous faites la même réduction de ma pensée en écrivant « onde rétrochrone sans vitesse », alors que je complète par "qu’elle n’est pas concerné par la
limitation de la vitesse de la lumière. elle s’appuie donc sur le temps
d’émission de l’onde et utilise celle-ci«
Là aussi, l’erreur m’en revient, j’aurai dû écrire dès le début, que l’onde rétrochrone n’ajoute pas son propre temps, mais utilise le temps d’émission de l’onde. C’est ici qu’un espace unique, purement géométrique s’impose, pour permettre la liaison entre l’émetteur et l’absorbeur. Sans cette condition de l’espace primordial unique géométrique, je ne vois pas comment on peut soutenir la liaison ou »corde« entre émetteur et absorbeur. Il ne peut y avoir que l’espace lui même ou alors il faut faire appel à la magie »abracadabra« !
En d’autres termes, la matière corpusculaire exprime une perspective dimensionnelle d’espace-temps, relationnellement à l’espace géométrique et aux autres dimensions spatio-temporelles que sont la dimension atomique, moléculaire, cellulaire, planétaire, etc. Bref, quand vous dites qu’on doit distinguer la dimension microphysique avec la dimension macrophysique, vous êtes, selon l’idée que je partage, encore loin du compte. Ceci est une tautologie, observable quel que soit l’objet ou le sujet observé. Sauf que la pensée s’est figé sur cette tautologie.
Ici , il faut développer ce qu’Edgar Morin appelle »la pensée complexe" mais vous m’excuserez de ne pas le faire sur ce commentaire, sous cet article.
Ce que je peux vous dire, c’est que la pensée complexe s’appuie sur 1 principe, 1 processus, 1 système et une dynamique , tous intriqués. La récursion, l’itération, le yin yang et les fractales.
L’un renvoi systématiquement aux autres...
Mais encore me faudrait il arriver à l’écrire !