Là, vous interprétez mal ce que j’écris !
j’ai parlé d’absence de temps dans un espace géométrrique. Le temps étant intrinsèquement lié au mouvement, donc de l’énergie, qu’elle soit ondulatoire ou corpusculaire.
On peut parler d’un temps universel unique au niveau de l’espace géométrique lui aussi universel et unique, mais si nous venons de cet espace temps universel, nous vivons très éloigné de celui ci (mais non séparé).
Ici, pour comprendre ce que je veux dire il faut utiliser la pensée complexe. M’est avis qu’il faut utiliser cette même pensée complexe pour comprendre la MQ, or, jusqu’à présent, toutes les théories que j’ai vue utilisent la pensée simple. En fait, vous utilisé la pensée complexe au niveau mathématique, mais pour en parler, décrire cette mécanique, vous utilisez uniquement la pensée simple. De fait, vous avez un décalage entre d’un coté la sémantique et de l’autre les outils mathématiques. Un peu comme si vous mettiez un moteur de ferrari dans un 2CV !
Pour illustrer mon propos, je vais vous donner un exemple simple.
Si je vous pose la fameuse question « qui de l’oeuf ou de la poule vient en premier » ?
Je vous demande de me donner une réponse binaire, soit l’un, soit l’autre. Le problème est que la question posé relève de la pensée complexe, c’est à dire, que la question posé est une itération dont on ne retient que la récursivité. De fait, on ne peut pas donner une réponse simple à cette question car s’est donner une réponse arbitraire et surtout, choisir l’un, renvoi vers l’autre.
Bref, pour répondre à cette question, il faut utiliser la pensée complexe, c’est à dire, étudier l’itération contenu dans la question.
M’est donc avis, que votre gros problème, à vous et au milieu scientifique, est d’utiliser la pensée simple pour théoriser sur la MQ alors que celle ci implique d’utiliser strictement la pensée complexe pour pouvoir en parler.
Quand on parle d’espace-temps, qu’elle est la relation qu’on entend ? Quand on parle de fonction d’onde avec un état corpusculaire et ondulatoire, qu’elle est la relation qu’on entend ? En mathématique, on ne choisit pas, mais dès que l’on en parle, on veut choisir !
Si vous n’utilisez que la pensée simple, c’est insoluble et de fait, depuis 85 ans, cela reste insoluble ! Alors, vous avez appris à utiliser la pensée complexe dans son formalisme mathématique, mais pas dans son formalisme sémantique.... Cela parce que vous voulez réduire la complexité là où elle est irréductible, sauf à renoncer à la complexité. Mais comme votre domaine de recherche est le domaine de la complexité, vous vous retrouvez à édifier une barrière entre le langage et t les mathématiques, où vous interdisez à la première d’avoir la même complexité que la seconde. Et comme les philosophes sont bouche bée devant votre formalisme mathématique et les succès de la science, elle s’interdit elle même la pensée complexe. Elle se l’interdit d’autant plus que dans les autres domaines de pensée, elle se l’interdit aussi.
08/03 18:33 - JC_Lavau
06/04 09:57 - JC_Lavau
@Layly Victor. Il m’a fallu plus de trois ans pour identifier l’appartenance (...)
07/02 15:55 - JC_Lavau
29/01 21:23 - JC_Lavau
@dejaegere. Moi y en a rien comprendre du tout. Se reporter aux plaidoiries des seigneurs de (...)
28/01 11:14 - dejaegere
Que penser du ralisme structurel ontologique qui nie l’existence des objets en M.Q ? (...)
24/01 14:56 - JC_Lavau
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