Bonjour,
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Les dettes publiques des 28 pays européens servent des intérêts privées, l’oligarchie financière. Nos impôts sur les revenues servent à payer les intérêts de la dette publique et sont ainsi détournée de manière frauduleuse.
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C’est un énorme système d’escroquerie qui à été mis en place avec la loi du 3 janvier 1973 et ceci avec la complicité des hommes politiques escrocs.
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Les banquiers placent des hommes au cœur des États et privatisent peu
à peu la création monétaire. George Pompidou était banquier avant
d’être président, il travailla au sein du gouvernement français mais
aussi au service de la banque Rothschild pendant plusieurs années (1954 à
1958 et de 1959 à 1962).
On imagine aisément les conflits d’intérêts résultant de ce double
emploi et ayant pour point culminant la loi Pompidou Giscard qui donne
le droit aux banques privées de prêter à l’état français. La France
redevient donc à nouveau sous l’emprise financière des banquiers.
L’état français est obligé d’emprunter aux banques privés à des taux
souvent très supérieurs à ce que la banque de France proposait. Le
contribuable français paye donc ces intérêts aux banques via les impôts,
c’est ce qui pourrait s’appeler une taxe bancaire déguisée … Cette loi a
été passée sous silence lors de son vote le 3 janvier 1973, c’est
seulement en 2010 que quelques courageux politiques osent la critiquer
ouvertement et l’omerta qui l’entoure est troublante … La loi
Pompidou-Giscard serait aussi à l’origine de la dette des états qui n’a
cessé de croître à partir de cette date, la corrélation est indéniable.
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La loi du 3 janvier 1973 à été retranscrit dans le droit européen article 123 TFUE !
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On trouve des hommes du monde de la Finance occupent soudainement des postes clés politiques et vise-versa ...
Goldman Sachs, le trait d’union entre Mario Draghi, Mario Monti et Lucas Papadémos
Qu’ont en commun Mario Draghi, Mario Monti et Lucas Papadémos ? Le président de la Banque centrale européenne, le président qui été désigné du conseil italien et l’ancien premier ministre grec appartiennent à des degrés divers au « gouvernement Sachs » européen.
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Ces trois responsables, dont deux Monti et Papademos, ont formé l’avant-garde de l’annexion de la politique à la technocratie économique, appartiennent au réseau que Sachs a tissé sur le Vieux Continent et, à divers degrés, ils ont participé aux opérations illicites les plus truculentes orchestrées par l’institution étasunienne. De plus, ils ne sont pas les seuls. On peut mentionner aussi Petros Christodoulos, aujourd’hui à la tête de l’organisme qui administre la dette publique grecque et dans le passé président du National Bank of Greece, à qui Sachs a vendu le produit financier connu sous le nom de « Swap » et avec lequel les autorités grecques et Goldman Sachs ont orchestré le maquillage des comptes grecs.