La partie 2 est malheureusement du même tonneau que la partie 1 : hyper caricaturale, trop, et du coup un peu ridicule (bien qu’un peu nuancée tardivement, sur la fin)
Les « complotistes » que vous évoquez (pas d’avion dans les tours du WTC, personne n’a marché sur la lune, etc etc...) ne concernent qu’une partie
certainement infime de la population. D’ailleurs je ne reconnais
personne là qui puisse défendre cela, au mieux quelques personnes qui se sont posé des questions (j’espère que ça ne sera pas prochainement interdit, bien que depuis « Charlie » je me pose moi-même des questions...)
Seule note positive : vous admettez qu’il puisse exister des complots. Par souci d’objectivité, il aurait fallu développer.
Retenir le seul exemple des ADM de Saddam Hussein pour affirmer que les
complots ne tiennent pas longtemps est une vision bien naïve de ce monde
(et absolument pas étayée). On peut légitimement supposer que les
« complots » découverts (qui sont pourtant déjà bien nombreux, des
incidents du Golfe du Tonkin ayant précipité la guerre du Vietnam, aux armées
Gladio et leur terrorisme, en passant
par les plans de l’opération Northwood finalement non
mis en application par le futur défunt JFK) ne représentent que la
partie émergée de l’iceberg d’un espèce de supramonde comme le définit
assez justement Peter Dale Scott.
Pourtant, au départ, ceux qui ont étudié ces événements, qui ont fini par assembler le puzzle et déterminé qu’il y avait eu tromperie, ont été assimilés à des « conspirationnistes ».
En clair il ne faut pas confondre les « complotistes » ultraminoritaires
que vous décrivez avec les personnes qui cherchent véritablement la
vérité sur tel ou tel événement, et le plus souvent avec un
désintéressement total (voire avec des risques). Il est bien évident que
personne, et pas même vous j’imagine, ne peut sérieusement amalgamer
ces 2 catégories de personnes. Ce raccourci que vous suggérez pourtant,
sciemment ou non, vise simplement à rendre toute recherche sérieuse
ridicule, et a pour seul objectif d’empêcher la réflexion.