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Commentaire de soi même

sur Le communisme et les fameux 100 millions de morts : une manipulation ?


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soi même 2 février 2015 14:38

@] tonimarus45 je vais pas tortiller du cul devant tes affirmations, les faits parle d’eux mêmes !

http://voyages.ideoz.fr/holodomor-ukraine-urss-histoire-ukrainienne/


Le culte de Lénine, vital pour masquer ses crimes, ses échecs et sa faillite. Des armées de fonctionnaires du PCUS, du Komintern, de la Tcheka, la presse et l’édition soviétique avec des millions d’« idiots utiles » répandent l’évangile bolchévique, Moscou présentée comme une nouvelle Jérusalem, un tissus épais et large de mensonges servant de masque à Lénine, meurtrier de masse, anti-ouvrier, anti-paysan, anti-soviet et anti-russe, psychopathe cruel n’hésitant jamais à proférer les promesses qui rendent les fous joyeux, tout en sachant qu’elles ne seront jamais tenues. La conséquence des mensonges, une répression quotidienne passant par des paroxysmes pour terroriser le peuple, dont une partie n’est pas dupe du maître en belles promesses. Car, la propagande, le désinformation, le conditionnement et le lavage de cerveau, n’arrivent jamais à anhiler totalement une population. Il demeure toujours quelque individus réfractèrent, dont la simple existence peut mettre en péril le régime communiste ; d’où cette « chasse aux sorcières » permanente qui a sert de diversion et de terrorisme intellectuel pour empêcher l’horrible réalité bolchévique d’être connue.

Lénine : un bilan humain, économique, culturelle catastrophique

On est bien loin des cérémonies délirantes présidant à l’embaumement de la dépouille de Lénine avec la lutte à couteaux tirés pour s’emparer de son pouvoir absolu sur la Russie et le Komintern. 80 ans plus tard, parmi les média francophones, seul FranceInter (2000 ans d’Histoire) et Arte, organes officiels de propagande socialiste payés par le contribuable français, ont marqués le coup, débitant toujours les mêmes mensonges.

(1) La « grande révolution d’octobre » ne fut qu’un coup d’état contre un gouvernement et une assemblée constituante légitimes. St-Petersbourg prise par des commandos payés au moyen de l’argent du Kaiser, un bande d’assassins se constituent en un soi-disant comité des commissaires du peuples qui va imposer dans le sang et dans les larmes son pouvoir provoquant la misère et le désarroi de 150 millions de Russes. En décembre, il rend officiel le gang d’espions et de tueurs à la solde des bolcheviks sous le nom ronflant et mensonger de Tchéka. En janvier, Lénine use de la force pour empêcher de siéger l’assemblée constituante composée de députés régulièrement élus et représentants le peuple, politiciens pourchassés et terrorisés suite à de nombreux assassinats organisés et effectués par des hommes de mains. Comme les Bolcheviks y étaient très minoritaire, Lénine agit pour les dissoudre. Dès le départ, les Bolcheviks ne représentaient donc pas le peuple. Quand un commando, les armes à la main, prend le pouvoir par la force contre les élus du peuple, cela s’appelle du fascisme. C’est ainsi que Mussolini procédera 5 ans plus tard : des hommes armés menacent un gouvernement légitime.

(2) Le slogan en 1917 de Lénine « la paix et la terre » se traduisit par la guerre civile déclenchée par Lénine et les réquisitions par la force. Ce mot d’ordre n’était qu’une double tromperie consciente de Lénine dont le programme était la déclaration d’une guerre sociale visant à transformer en esclave les survivants. Le coup d’état d’octobre, c’est le déclenchement de la terreur rouge !

(3) N’étant plus d’aucune utililité et devenu des foyers d’opposition, les soviets ont été rapidement privés de tout pouvoir. Et pour mettre un terme à ce dernier contre-pouvoir, Lénine donna l’ordre à l’armée rouge de liquider le dernier soviet autonome de Kronstat en mars 1921. C’est Trotski qui s’en chargea : 1’000 fusillés, 10’000 déportés.

(4) Staline a trahi. Le rappel de 3 faits démontre l’imposture de cette allégation :

  • Décembre 1917 : création de la Tchéka sous la main de fer de Félix Dzerjinsky qui n’obéissait qu’aux ordres de Lénine. Officiellement chargée de semer la terreur chez les « contre-révolutionnaires », elle fût surtout, et ceci dès le début, l’instrument de Lénine pour liquider tous ses ennemis y compris dans son propre camp. L’efficacité de la Tchéka dans l’extermination donnait à Lénine un pouvoir contre lequel toute opposition conduisait à la mort. De plus, le 5 avril 1920, lors du IXe congrès, Lénine affirme : « car le bon communiste est aussi un bon tchékiste ».
  • Décembre 1920 : Lénine impose au moyen du centralisme-démocratique l’interdiction des fractions dans le parti bolchévique. Dès cet instant, grâce à la Tchéka, le secrétaire du bureau politique du comité central du parti bolchévique devenait le nouveau tsar avec des pouvoirs qu’aucun tsar n’a jamais eu. Staline a repris en main l’outil forgé par Lénine, il n’est que le disciple de son maître, appliquant à la lettre le marxisme-léninisme, le programme du Manifeste communiste de 1848, la genèse de l’horreur et de la tromperie..
  • Les purges ne doivent pas cacher la réalité : les principales victimes en nombre furent les ouvriers, les petits paysans, et les petites gens déportés ou liquidés. Le socialisme, c’est l’épuration sociale.
  • La famine de 1922 selon rapport de la Tchéka Archives centrales de la Sécurité d’État.

    « Lénine : Au camarade Müzenberg, secrétaire du Secours ouvrier international », fait partie de l’anthologie de la mauvaise foi et de la falsification, activité coutumière de Vladimir Oulianov, alias Lénine. Cet homme qui est le responsable du déclenchement de la guerre civile ose déplorer les conséquences de son action, à savoir la famine de 1921-22. De plus, il a la mémoire courte car il oublie son action contre l’Eglise orthodoxe de mars 1922 qui détruisit les réseaux d’assistance de cette institution et amplifia ainsi les conséquences de la famine.

    En fait, en plus de faire croire à sa fausse sollicitude pour les victimes de la famine dont il est responsable, Lénine donne à son acolyte, Willy Müzenberg, des directives pour instrumentaliser le secours au profit de son régime, seule chose qui compte pour le fossoyeur du Printemps démocratique de 1917, car le peuple il s’en fout, comme tous les dirigeants communistes. Flatter les ouvriers, leur faire croire qu’ils seront les rois dans un état socialiste après la révolution, Lénine expert es démagogie et mensonge dès le 1er mai 1904 !


Le père, le fils et l’horreur !
L’ordre de Lénine de pendre 100 « koulaks » pris au hasard

Parmi les impostures et les falsifications de l’histoire, le trotskisme, ou plutôt les trotskistes tant il y a de bandes différentes mais ayant un point commun : faire croire que parce que Trotski a été liquidé par Staline, il aurait été un chef évitant l’horreur soviétique ! Sans blague, car durant les années 1917-1925, Troski a autant de sang sur les mains sauf un seul cas ; il n’a pas été impliqué dans l’assassinat de la famille du tsar, le 16 juillet 1918. Mais, pour le reste, la militarisation de l’économie (faire des ouvriers des esclaves entièrement aux mains du parti-état, la terreur, les crimes de guerre, Kronstat, etc autres crimes de masse, difficile de déterminer qui, de Staline et Trotski, est le pire !

L’enfer bolchevik à Pétrograd. Sous la Commune et la Terreur rouge. En 1918, le journaliste suisse Roger Vaucher est envoyé en Russie par “L’Illustration” et ses articles seront publiés en 1919 dans le livre “L’enfer bolchevik à Pétrograd. Sous la Commune et la Terreur rouge”. Arrivé à Mourmansk le 18 avril 1818, il quitte la Russie par la Finlande le 17 septembre, heureux car Vaucher avait été arrêté et de plus, les bolcheviks ont mis sur pied un réseau d’informateurs sur les articles publiés en Occident. Les articles de Roger Vaucher montre la réalité du régime qui a enclenché la terreur bien avant l’attentat contre Lénine du 30 août 1918, et qui a provoqué de nombreux drames en prônant la haine de classe, jetant le peuple russe dans la famine et la terreur.

Vous excusez les crimes des communistes-socialistes en mettant toujours la faute aux Blancs, aux colonialistes, aux réactionnaires, aux fascismes ou l’impérialisme américain. Bizarre ! cette indulgence complice pour Lénine, Mao, Ho Chi Minh, Castro and Co ! Quant à Staline, on lui met tout sur le dos pour “sauver” les autres. Staline était-il de droite, un super fasciste ?

Un livre : Le vrai Lénine selon les archives secrètes du PC de l’URSS

Izvestia de 1993 : Les publications d’archives secrètes changent-elles l’idée que nous nous faisons de Lénine ?

Lénine : un mythe, une imposture pour mystifier les idiots utiles ; Lénine touché par une maladie vénérienne ou devenu fou en réalisant l’horreur de ses crimes ? Dans le massacre de Kronstat, en mars 1921, Lénine a joué le rôle des Versaillais. Il est alors confronté à sa propre horreur, c’est son apocalypse ! Et tant pis pour les dizaines de millions de victimes ! Lénine a-t-il été empoisonné par un produit élaboré par le « Laboratoire des poisons » qu’il avait créé pour liquider plus ou moins discrètement ses ennemis ?

Lénine à Genève

Lénine a vécu à plusieurs reprises en Suisse et fit de longs séjours à Genève (1895, 1900, de 1903 à 1905, 1908) totalisant quatre années. Selon la légende, il se tuait au travail mais en fait, il ne se privait jamais de prendre du bon temps comme son excursion en Suisse centrale. Il utilisait souvent le tram pour se rendre à la Société de Lecture (lettre de Lénine, 2e partie) située dans le parc des Bastions, face au mur des Réformateurs. Si seulement un jour, alors qu’il traversait la place Neuve, arrêt du tram face à l’entrée des Bastions, un de ces véhicules électriques l’avait écrasé, la vie de centaines de millions de personnes aurait été épargnées soit parce qu’ils n’auraient pas été ainsi dépouillés, affamés, torturés, déportés ou assassinés, soit parce qu’ils durent, pour sauver leur propre peau, s’exiler ou pire encore, survivre en commettant tant de petites lâchetés ou de grandes saloperies.

Genève célèbré encore Lénine. Voilà ce qui arrive quand on accorde stupidement l’asile à n’importe qui. Et la Suisse a aussi accueilli, à bras ouverts, d’autres assassins dont des génocideurs du Rwanda qui s’étaient fait passé pour des victimes. Se faire passer pour une victime, c’est le truc qui marche toujours avec les naïfs, imbéciles et autres idiots utiles.


Bas-relief de Paul Baud sur la Tour du Molard

Combien de criminels, de la Russie au Rwuanda ont-ils bénéficiés de l’asile politique de la Suisse afin de poursuivre leurs crimes contre l’humanité ou éviter de payer leurs actes criminels ? Mais aujourd’hui, dans un contexte différent, ce sont les trafiquants de drogue et autres dealers qui sont accueillis à bras ouverts !

La question de fond : « Comment rester humain dans un système inhumain ? » Quelques exemples sont illustrés par l’excellent film Est-Ouest brocardé comme par hasard par la critique : il ne faudrait pas briser les illusions véhiculées quotidiennement par la presse sur "l’autre monde" !

Lénine : agent du Kaiser : Un film et un livre qui retracent la légende du « wagon plombé » de mars 1917. Lénine, sans le sou au Speigelgasse 14 (Zürich) et sa suite prennent le train à Zürich le 28 mars 1917. Par la Suède, il arrive le 3 avril 1917 à Petrograd. Il publie les “Thèses d’Avril” en oubliant qu’il était un agent du Kaiser car ce wagon n’était pas plombé mais doré. Cette collusion été prouvée par l’accès aux archives de l’ex-URSS.

Pour paraphraser l’excuse standard et tellement méprisante pour les victimes assimilées à des oeufs, à savoir "on ne fait pas d’omelette sans casser des oeux", les socialistes ont cassés des centaines de millions d’être humains, mais le paradis qu’ils promettaient, on ne l’a jamais vu et on ne le verra jamais. Faillite économique, sociale (aujourd’hui, le revenu des ouvriers sud-coréen est 25 fois supérieur à celui de la Corée du Nord), artistique, écologique, tout ce qu’ils prétendaient révolutionner se transforma en plomb. Après avoir dépouillé la noblesse, la bourgeoisie, le clergé, les classes-moyennes, la petite-bourgeoisie, les paysans riches ou pas, la liquidation des soi-disantes classes exploiteuses pour ériger le mode de production socialiste décrit par Karl Marx, tout cela ne produit que la misère pour tous, y compris pour les ouvriers et les kolhoziens. Ces derniers résument le progrès par cette formule : "je fais semblant de travailler parce qu’on fait semblant de me payer".

Remarque : Lénine utilisa le terme de communiste, car celui de socialiste était totalement déconsidéré d’une part par la faillite de la Ière Internationaliste ( AIT, fondée à Genève en 1862), et d’autre part et surtout, par la trahison d’août 1914 de la IIe Internationale. Mais le projet de Lénine, ce fut l’URSS, accronyme de Union des Républiques Socialistes Soviétiques, union faite par les armes dans le sang. L’Arménie, la Géorgie, la Mongolie, l’Ukraine, et d’autres nations qui essayèrent de profiter de la fin de l’Empire russe pour retrouver leur liberté furent recolonisées avec la plus extrême brutalité : sauf la Pologne qui échappa de peu à cet « union » mais cela ne sera que partie remise : 17 septembre 1939, invasion de la Pologne orientale par l’URSS, suite au pacte Ribbentropp-Molotov.

Derrière le masque du bienfaiteur de l’humanité, une cruauté sans limites et une inhumanité totale !
Extrait de son ordre du 22 mars 1922 pour liquider l’Eglise orthodoxe : « Maintenant, et seulement maintenant, au moment où, là où règne la famine, on mange de la chair humaine et que des centaines, sinon des milliers, de cadavres gisent sur les routes, nous pouvons et nous devons procéder à la confiscation des objets précieux des églises, avec une énergie impitoyable, sans hésiter à écraser toute résistance. »

Comment Lénine planifia et ordonna la liquidation de l’Eglise orthodoxe qui aidait les paysans à s’opposer aux réquisitions dans les campagnes et aussi pour voler les biens de l’Eglise. Mais en liquidant l’Eglise orthodoxe, Lénine brisa également son système de charité et d’assistance, ce qui amplifia la famine qui sévissait à la même époque. Le pouvoir à tout prix même sur des monceaux de cadavres d’innocents, voilà la réalité du marxisme-léninisme. Et puis, si cela ne marche pas, c’est de toute façon la faute au capitalisme !

Encore de la propagande pour Lénine, le fossoyeur du printemps démocratique de 1917 Comment Marzio Pescia de swissinfo (27 août 2009) parle de Lénine dans une série “La Suisse, terre d’accueil de figures illustres”, et cela en 2009 !

Le communisme ce n’est pas du tout le soviet plus l’électricité, c’est la terreur et la propagande pour produire et occulter l’horreur avec en plus la misère du peuple, traité comme du bétail. Le marxisme-léninisme, un remède pire que les maux qu’il prétend soigner : c’est donc une totale et sanglante escroquerie !

Le socialisme marxiste, la plus sanglante des escroqueries de l’Histoire !
Des millions la subissent encore et d’autres n’ont pas encore compris l’imposture,
agents infectés et infectants leurs proches !

http://www.fonjallaz.net/Communisme/True-Lenin/Lenine+mort.html


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