J’ai vu moi aussi cette émission. Intéressante, mais n’exprimant rien de concluant.
Les conditions ont en effet pas mal changé depuis les années 50, une époque où les pays étaient autonomes et créaient surtout leur propre richesse.
La vrai, dirais-je, issue du travail, de l’industrie, et ne reposant pas sur les artifices de la spéculation.
On sait ce qu’il est advenu de tout ça....
La planche à billets ?
Ce serait les plus pauvres qui verraient leurs économies partir en fumée, les plus riches délocalisant leurs richesses illico.
Idée intéressante, faire financer la dette par le capital des 10% les plus riches, comme invoqué. Les . 1% en fait suffirait, étant donné qu’ils détiennent 50% de la richesse. Chose morale au demeurant quand on sait que cette fortune s’est construite sur une spéculation honteuse.
Mais seront ils d’accord ? Ils occupent un pourcentage bien plus important au niveau des organes de décision....peut être 99%
L’Allemagne a tout de même bon dos dans votre analyse.
C’est tout de même les grecs qui ont triché sur leurs comptes avec l’aide des yankees pour entrer dans l’euro.
La Grèce dés le départ savait qu’elle n’avait pas les reins assez solides pour cette entité, mais comptait bien se servir de son crochet d’attelage.
C’est ce qu’elle continue de faire, avec les moyens qu’elle possède ; ce qui se résume à une sorte de chantage.
Les Mercedes roulent aussi en Grèce, on a tendance l’oublier.
Et les armateurs ne paient pas un rond d’impôt, ou si peu....les avoirs grecs déposés à l’étranger déposent le montant de la dette. Il y aurait tout de même matière la dedans à exiger de sérieuses réformes avant de se lancer dans une nouvelle ligne de crédit.
J’allais dire une nouvelle ligne de coke !...