Soyons objectifs :la décision ne sera pas facile à prendre.
Quand un pays ne sait plus rembourser sa dette, les détenteurs de cette dettes mettent en place des procédures pour assurer la viabilité économique du pays le temps qu’il rembourse. Pour cela ils imposent au pays des économie drastiques.
Pour éviter une révolte dans ce pays, les mesures se font palier par palier. Mais le résultat est là : Suppression d’une partie des fonctionnaires, fermeture de certains hôpitaux, diminutions des retraites, taxes supplémentaires, augmentation de l’électricité, du gaz et de l’essence, vente à vil prix du patrimoine de l’état etc.
Autrement dit on sert fort le coup du grec et dès que l’on voie qu’il ne peut plus respirer on desserre légèrement (FMI qui accorde une rallonge ou peut être élection de Syriza) pour qu’il reprenne son souffle et on resserre à nouveau dès qu’il est en meilleur forme. Et dès qu’il aura remboursé le plus gros de la somme on sert très fort pour prendre le reste et il est mort.
Donc si (je dis bien si) Siryza ne fait pas partie de la grosse arnaque de l’UE&Co, ils n’ont comme marge de manœuvre que de quitter cette union européenne et d’arrêter les remboursements. S’ils ne le font pas, c’est qu’ils font parti du système pour le plus grand malheur des grecs.
Les détenteurs de la dette doivent et font du lobbying pour que « dans sa grande sagesse », l’UE décide de mutualiser les dettes de tous les pays de la zone. ils doivent le faire et le feront avant que les Grecs renonce à rembourser. Comme cela les 332 milliards de manque à gagner pour les banques privées et les fond d’investissement seront payés par le contribuable européen