Salut Pierre Jc....comment dire ? le sujet me parle...
jusqu’a ceci, « Ces critères constituent pour chacun son IDENTITÉ et il y tient beaucoup. » pour moi tu décris ce que j’appelle ’the analytical process« , que je mal traduis par facilité en Français par : » la pensée analytique« ...( à conclusion binaire)
je préfère l’Anglais sur ces sujets, car j’avoue que le mot pensée me laisse dans le vague, il ne me parle pas du tout !
voila pourquoi j’utilise »the analytical process« car au Québec vous maîtrisez l’Anglais..aucune valeur absolue juste une valeur relative. Quand je parle de l’autre capacité, je traduis » the other non analytical process« , ou »the missing non analytical process."..on mets cela de coté maintenant ..
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ensuite tu dis : Chacun cherche donc à maintenir la permanence de ces critères qui
déterminent l’ensemble de ses choix. Mais l’identité, étant image
pondérée, se modifie progressivement, comme évolue la moyenne d’une
série à laquelle s’ajoutent sans cesse de nouveaux termes. Elle ne peut
avoir aucune permanence et sa durée est pure illusion.
-oui je vois cela aussi de cette façon en gros...
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ensuite : Chacun ne peut donc, paradoxalement, percevoir sa propre identité qu’en
s’en détachant et l’extériorisant. Le défi, si on ne veut pas percevoir
et ressentir ce détachement comme une plongée dans le non-être, est de
s’identifier au mouvement lui-même. On peut relever ce défi en jouant
sur le TEMPS, renonçant aux souvenirs de ce qu’on a été – qui sont
toujours une fabulation – comme en est une autre, prospective, celle-ci,
et donc encore plus « irréelle », si faire se peut, le cheminement dans
l’univers infini des options de ce qu’on pourrait être.
-de ce que tu connais, trouves tu que de « décider » à renoncer ,disions intellectuellement par la « pensée qui fixe des buts à atteindre,à renoncer aux souvenirs et je rajouterais aux souvenirs du futur, marche ??
De ce que je connais pour moi meme, ceci n’a jamais marché dans mon cas au contraire !! ...c’est seulement d’une manière totalement inattendu que ceci peut,éventuellement sans le chercher donc, se produire de lui meme à un rythme qui ne me semble pas contrôlable.....
tout ce qui n’est pas dans le »chemin« ,de ce que je perçois is loaded with pain, suffering, sorrow, frustration, discontentment...and so on ! un mot résume cela »dukkha« , mot utilisé dans le bouddhisme....
ceci, ce dukkha, pour moi n’est pas du tout un accident, ni un hasard...c’est une nécessité...initiée forcement par L’Origine (cette derniere phrase est une déduction par la logique d’apres des événements vécus, sans chercher à expliquer cependant) .
Hélas, nous ne le percevons uniquement quand il commence à faire trop mal donc lorsque la balance + contre - ne marche plus..et là on fait tous une chose : courage,fuyons !!
or ,cela, ce symptôme peut être perçu très tôt avant que ce ne soit souffrance comme un signal, qui dit : mauvaise route..........
il est aussi pour moi un catalyseur....qui si il est laissé libre »comme il le faut" agit alors à un niveau du cerveau qui jusqu’à là ne marche pas ou trop peu....
pourquoi faire une telle action au niveau de la pensée ?
A part en avoir plein les bottes de tout cela ,du non sens, de la souffrance ,de dukkha , je ne vois pas la pensée commettre un tel acte comme de laisser la souffrance seule,être ce qu’elle veut être.
ne pas aller bien est en fait une chance énorme,l’ intelligence globale cherche à s’éveiller , à communiquer, à ouvrir le cerveau en entier etc...si on apprends par soi meme que faire...et une terrible souffrance qui va en empirant si on ne sait pas quoi faire.....ça c’est la planete....
je laisse le mot là car je n’ai plus en cette fin de journée l’énergie pour dire plus..
merci du post ...