Bonjour Spartacus
« Cela passe par :
-une refonte complète des charges sociales en totalité.
-La fin des privilèges et exceptions sociales.
-La liberté d’entreprendre.
-la fin des marché de monopoles.
-La fin de la protection des insiders contre les outsiders dans tous les emplois.
-Le contrat de travail identique pour tous.
-La fin des impôts sur les entreprises.
-La fin de la foultitude des impôts indirects
-La fin des taxes spécifiques et d’exceptions. »
Ok mais avant tout cela, il semble nécessaire de procéder à une refonte complète des services publics qui siphonnent une énorme partie des prélèvements et qui sert de carburant à des services d’état qui ne produisent RIEN, sinon de la production fiscale.
La liberté d’entreprendre mais surtout la FACILITE d’entreprendre !!! On comprend cependant qu’il est nécessaire de compliquer et alourdir l’aspect administratif lié à l’entrepreneuriat pour occuper une partie de nos 6 millions de fonctionnaires, puisque leur « patron » ne peut s’en séparer ! emploi à vie oblige... Et j’en ai été témoin il y a peu de temps ; le préposé, au greffe du TdC, le regard éveillé à souhait me rétorqua « Une S.A.S.U ? mais c’est quoi ? Qu’entendez vous par SASU ?
C’est un véritable délire !!!, imaginez le temps de réaction derrière !!!
C’est toute cette machine infernale qu’il faut réformer, tous sont restés à la période de l’après guerre, imaginant que le secteur marchant pourra indéfiniment les financer, étant persuadés que le privé détient seul les richesses ! Ils se trompent juste un peu, le secteur marchant produit des richesses que le public dilapident sans compter
La fraude fiscale n’est que la conséquence de l’abus fiscal, c’est le boom-rang qui revient dans la gueule
En entreprise vous ne tenez pas trois années de suite en déficit, notre état, ça fait juste 30 ans que ça dure et puisque les prélèvement ne suffisent pas et bien qu’à cela ne tienne, on emprunte encore et encore !!! sur le dos des travailleurs
Et nos gauchistes pro »état providence" nous diront que le problème vient du coût du service de la dette, sauf qu’il ne représente que 50% du déficit annuel
C’est ce panier percé qu’il faut avant tout refondre et reconstruire en fonction des véritables besoins des citoyens ! Ensuite il sera temps d’aborder les points que vous évoquez et qui sont justifiés