« ...des vrais pauvres, exploités, doublement même car outre l’exploitation par le capital ces nouveaux miséreux sont rejetés pour leurs croyances. »
C’est la croyance qui est rejetée ou qui, à tout le moins, doit être contenue (voir ci-dessus). En interdisant la constriction de minarets, la Suisse a montré la voie : elle a signifié aux musulmans qu’ils sont tolérés, mais à condition qu’ils ne se lancent pas dans l’exhibitionnismes et les bonnes relations entre communautés - c’est-à-dire l’ignorance réciproque - se sont poursuivies comme devant, sans qu’un seul musulman n’ait eu à pâtir, physiquement ou verbalement, de son appartenance religieuse.
« ...le petit bourgeois a son musulman... »
La remarque est hors de propos, puisque le problème concerne la cohabitation de millions de musulmans au milieu de dizaines de millions de mécréants, dont les moeurs, us, coutumes et habitudes sont profondément choquants pour les Fidèles.
P.S. -. Je ne vous demande évidemment pas de le comprendre, mais jj’a jugé nécessaire il fallait apporter, à vos propos dévoyée, une réponse à ceux qui s’efforcent de mieux comprendre la situation,