JL,
Dans votre propension à vous croire plus fort et plus intelligent que les autres, vous vous prenez de temps en temps les pieds dans le tapis.
Et c’est croustillant.
Celui qui part avant l’autre avec une phrase du genre « bonjour chez vous » ou « sans rancune, j’ai mieux à faire » a le dernier mot.
Et il reviendra jusqu’à plus soif, souvent en se touchant ostensiblement (métaphoriquement, bien sûr) pour être bien sûr que « l’autre » a été correctement mouché (une vanne, un smiley).
A ce jeu, vous êtes le plus fort.
Je vous laisse le soin, à vous et à l’auteur, de nous indiquer ce que ça révèle de vous.
Quant à connaître quelque chose sur le sujet dont vous débattez, JL, je n’ai, moi, aucune difficulté à reconnaître que j’en ignore tout ou presque.
Voyez-vous, JL, je n’éprouve pas le besoin maladif de ramener une science que je n’ai pas (et au demeurant dont je me fous un peu).
Je suis venu là pour m’instruire un peu sur un domaine dont j’ignore tout et ô surprise, je vous y retrouve, comme je vous ai retrouvé sous l’article de Dugué, déballer votre science et interpeller l’auteur pour faire de la mousse autour de vous.
Tiens, et après j’arrête parce que franchement, ça n’a d’intérêt pour personne, je vais vous faire un aveu :
Je suis régulièrement surpris, en vous lisant, de constater que lorsque vous ne vous servez pas de citations, reproduites in extenso ou servant de base à ce que vous appelez votre analyse, vos phrases, vos raisonnements, votre style... sont creux.
D’où une remarque que je vous avais faite antérieurement : JL, vous ne pensez pas par vous même, vous vous appuyez sur la pensée d’autrui pour moucher qui vous passe par la tête.
Si je ne m’abuse, nous avons finalement et cahin-caha rejoint le sujet de l’article.
Un compliment à votre endroit avant de partir : vous faites un magnifique sujet d’étude.