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Commentaire de Philippe VERGNES

sur Idiosyncrasie du pervers narcissique (partie 2/2) : définitions


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Philippe VERGNES 13 février 2015 14:21

Je m’attendais à ce style de réponse Chère Tati Danielle (JL himself, Dieu agoravoxien). Sans surprise elle donne le ton de votre perversité étant entendu que perversité est un mot d’adulte pour qualifier quelqu’un de foncièrement « méchant », enclin à faire le mal ou qui aime faire le mal.


Vous avez reconnu tantôt que mes citations de Racamier étaient exactes et que les vôtres étaient bancales, comme je vais encore le démontrer ici. Ce qui revient à dire que la moindre des choses entre gens civilisés serait de s’excuser lorsque l’on accuse quelqu’un pour une faute qu’il n’a pas commise. Soit dit en passant, je vous accuse personnellement de mentir, en gros d’être mythomane, pour cacher vos propres turpitudes et botter en touche, car vous savez très bien que je sais que vous n’êtes qu’un imposteur qui vient ici sur ce site pour « chercher à nourrir sa gloire de la déconfiture narcissique d’autrui, croyant qu’à chaque pied qu’ils écrasent ils gagnent un pied de hauteur ». Cette citation personnalisée vous va comme un gant et cela vous emmerde drôlement de ne pas pouvoir donner libre cours à votre perversité en étant ainsi démasqué. D’où votre blessure narcissique.

Vous dîtes : « Oups ! Quelle bouillie : un bel exemple d’anti-pensée. »

Je vous le concède, ma pensée est anti-perverse. La preuve : elle vous fait fuir. A ce titre elle peut être considérée comme une anti-pensée perverse.

Parlant de mon précédent commentaire dûment argumenté, vous rajoutez : « Je n’en garderais rien, il y aurait trop à redire ».

Ce genre de réponse consistant à inviter son contradicteur à débattre sur une question pour ensuite le disqualifier est « prototypique » de la pensée perverse transformée en agir. En conséquence de quoi, votre réaction ne fait que traduire votre vraie nature : celle d’un pervers qui s’ignore.

La suite de votre post, pour quelqu’un qui vient tout juste d’acheter un petit ouvrage de Racamier et d’en prendre connaissance frise le ridicule tant après une seule lecture, vous vous octroyez le droit de connaître cet auteur. La preuve, vous ne parvenez même pas à citer correctement Racamier que vous venez pourtant de lire. La citation exacte n’est pas « battez les ils s’en fichent ; humiliez les, ils en meurent ». Maintenant que vous avez de quoi alimenter votre réflexion, vous allez pouvoir retrouver l’exactitude de cette citation.

Vous rajoutez dans la gloire de votre toute-puissance en mal de reconnaissance : « Savez-vous qu’à ce propos, Racamier ne parle pas d’identification mais de mimétisme ? »

Oui est alors ? Etes-vous à ce point narcissique pour penser que je puisse vous imiter et que vous m’ayez appris, je vous cite : « la victimisation et la propension à se prévaloir de ses propres turpitudes » ? Etes-vous l’inventeur de cette expression très courante en droit dont l’origine remonte au latin ? Diantre... seriez-vous immortel ?

Faut vraiment pas se prendre pour de la merde pour oser prétendre que vous m’avez appris quelque chose. Le seul sujet sur lequel vous m’instruisez énormément ici, ce sont les injonctions paradoxales dont vous êtes un incorrigible pourvoyeur comme j’ai déjà pu en prendre exemple dans cet article notamment : « La novlangue des psychopathes » ; auquel je réserve une suite, tant il apparaît nécessaire de nos jours de mettre à jour les mécanismes de l’emprise et de la pathologie du pouvoir. C’est d’ailleurs la seule raison qui me fait entretenir de quelconques échanges avec vous, car comme je le disais ci-dessus à MisterMarko, je n’en ai pas fini avec ce thème. Et j’ai besoin d’exemples pour étayer mon argumentation. Ce que vous n’avez de cesse de me procurer. Aussi, merci beaucoup pour vos interventions qui ont fini par être payantes, comme nous allons le voir infra. smiley !

Quant aux lecteurs de bonne foi, il vaut effectivement mieux les laisser se faire leur propre opinion, c’est la raison pour laquelle, il aurait été préférable de ne pas les invoquer = injonction paradoxalesmiley !!!

Elle se traduit ainsi : « Je laisse les lecteurs de bonne foi se faire leur propre opinion », (implicitement) « surtout s’il se range à la mienne ».

Comme dans toute injonction paradoxale digne de ce nom, il y a une prémisse explicite et une implicite. Il va de soi ici et selon les termes de votre commentaire que l’implicite signifie que pour être honnête, il faut que le lecteur adopte votre point de vue. Sinon, il sera catalogué par vos soins de malhonnête, de pervers, ou de je ne sais quoi d’autre insanité. Dès lors, vous clivez toutes futures interventions en l’enfermant dans une pensée duelle et dichotomique, archétype d’une pensée perverse. Stratégie bien connue de nos gouvernants qui n’ont pas d’autres solutions pour pérenniser leur pouvoir.

D’ailleurs, avec votre injonction paradoxale, vous venez d’attirer un sauveur avec qui vous allez pouvoir constituer votre noyau pervers. Ce qui me permet de finir par votre réponse à Tic-Tac concernant la formation des noyaux pervers. Vous lui dites, JL 13 février 10:29 : « Tiens serions-nous en train d’assister à la naissance d’un noyau pervers ? Le noyau pervers en l’occurrence ne serait pas constitué autour d’un espoir de gains narcissiques mais de règlement de compte ».

Démontrant une nouvelle fois par là votre ignorance du sujet et votre mythomanie (cf. le P.S. à la suite de message ci-dessus adressé à Tic-Tac), car si un noyau se constitue autour de votre personne sans gain narcissique, alors, à moins de pervertir une fois de plus les concepts de Racamier... et bien... il ne peut pas être qualifié de pervers. La description des noyaux pervers commence à la page 85 du petit livre que vous vous êtes empressé d’aller acheter croyant pouvoir me moucher avec. Hier, vous n’aviez pas encore atteins la page 71, aujourd’hui nous pouvons constater que vous n’avez pas encore dépassé la page 85.

Décidément et depuis plus de deux que je vous observe ici dans vos conflits avec vos contradicteurs qui tendent tous à un évitement d’école de votre propre responsabilité dans les embrouilles que vous provoquez, je peux sans peine affirmer que oui, vous êtes bien le pervers moral que vous croyez voir chez autrui. La multiplication des indices que vous semez ne peut plus tromper. smiley


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