Tout le bluff de la grèce vient de là : Si vous refusez de nous allonger un nouveau prêt, vous ne reverrez pas le moindre sous de la dette. Inutile donc de dire que les créanciers doivent peser pour un arrangement.
Déjà en 2012, l’Europe a effacé plus de la moitié de la dette grecque, ou la rachetant aux investisseurs privés. Plus on prêtera et plus la capacité à se désengager sera difficile ! C’est le principe du chantage de vous enlisez, plus vous pensez faire d’efforts pour vous en sortir.
« Mais vous m’aviez dit »......
L’économie de la Grèce ne permettra jamais à ce pays de rembourser ces dettes, c’est assez clair. C’est même le propre d’un des discours de Tsipras, qui s’en prenait à l’europe, coupable d’avoir selon lui prêté à la grèce alors qu’elle n’avait pas les moyens de rembourser....
Enfin, c’est vrai qu’il n’a pas du mettre la fortune des armateurs, dans sa martingale de calcul.
Les states soutiennent à fond la Grèce, signe que ce pays y voit cette possibilité d’enfoncer un coin dans l’europe, un cancer qu’elle ne laissera pas soigner par ses spécialistes, entendu que ceux ci ont déjà permis en trichant sur les chiffres de faire entrer la Grèce en force dans l’Europe...
Comme d’autres, je pense qu’il serait plus heureux d’arrêter les dégats quand il est encore temps, et de refuser d’accepter le chantage au bluff de Tsipras. Le contentieux et l’animosité de ce pays, très injustifié, aux vues des subventions tout de même énormes ( 100 milliards depuis 80) le justifiant complètement, hors cette dette, dont les intérêts posent évidemment problème...
.On remarquera que c’est cet élément qui est sans cesse répété à l’envie, et non les autres éléments d’aide, qui ont été massifs...