Même si je suis d’ accord avec votre vision, un terme ne me convient pas : celui de parti.
Il ne s’ agit pas de créer un énième parti car des partis, il y en a assez et cela n’ a jamais abouti à rien , « l’ intérêt » des partis étant dans l’ absolu, celui de créer des réservoirs suscitant des intérêts divergents par la force des choses, ce qui aboutit toujours à créer des tensions, une telle situation étant connue depuis la nuit des temps.
Il suffit de se constituer en assemblée.
Il faut trouver un dénominateur commun pour qu’ une société soit vivable et puisse être saine et celui-ci doit être l’ intérêt général.
C ’est encore toujours le peuple qui reste le souverain même si en l’ état actuel des choses le peuple a renoncé à exercer sa souveraineté en s’ en remettant à des individus n’ ayant que leur propre intérêt à l’ esprit.
Pour simplifier, on pourrait imager la situation en disant que le pays ressemble à une maison dont le propriétaire s’ est absenté et où quelques squatteurs ont établi leurs quartiers en usurpant les prérogatives du propriétaires, en rédigeant des contrats de location et en s’ appropriant indûment les loyers.
Même si les squatteurs ont rédigé des contrats de location avec des tiers, il n’ en reste pas moins qu’ ils ont usurpé les prérogatives du propriétaire et que l’ argent qu’ ils ont eu a té détourné des poches du propriétaire.
C ’est exactement la situation que nous connaissons actuellement.
Les squatteurs (les apparatchicks auto-proclamés de l’ UE) ont contracté avec des tiers en usurpant les prérogatives des citoyens. Et leurs contrats sont nuls et non avenus parce qu’ ils n’ ont aucune légitimité à les conclure.
Il n’ y a donc pas de parti à créer, il y a juste à utiliser la bonne procédure qui est celle prévue dans la déclaration universelle des droits de l’ homme et du citoyen : une constituante n’ a pas à être un parti ; elle est une étape pour l’ affirmation de la souveraineté populaire.
Constitution du 24 juin 1793.
Article 1. - Le but de la société est le bonheur commun. - Le gouvernement est institué pour garantir à l’homme la puissance de ses droits naturels et imprescriptibles.
Article 20. - Nulle contribution ne peut être établie que pour l’utilité générale. Tous les citoyens ont le droit de concourir à l’établissement des contributions, d’en surveiller l’emploi, et de s’en faire rendre compte.
Article 25. - La souveraineté réside dans le peuple ; elle est une et indivisible, imprescriptible et inaliénable.
01/03 16:10 - beo111
@soi même Je ne fais que passer le message, c’est peu et c’est déjà (...)
26/02 16:27 - SDM 94
et voici d’autres liens autour de la rénovation démocratique : C6R : (...)
26/02 13:15 - Dominique TONIN
Cher rédacteur, Ce que vous avancez et semblez appeler de vos vœux existe déjà : (...)
26/02 08:45 - 59jeannot
26/02 02:45 - soi même
@beo111, certes vous avez raison, La révolution qui vient est avant tout spirituelle, (...)
25/02 20:19 - beo111
La révolution qui vient est avant tout spirituelle, culturelle et économique. La constituante (...)
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