Les 13 observations suivantes sont largement étayées par des documents photos, vidéos et analyses scientifiques diverses
1- La pulvérisation en un fin aérosol de la presque totalité du béton des planchers des 2 tours ;
2- La présence importante de très fines poussières de fer,
apparemment vaporisées par une puissante source d’énergie, capable
d’amener instantanément et de manière homogène, des sections d’acier à
la température de sublimation ;
3- La projection d’éléments de structure pesant jusqu’à 20 tonnes sur plus de 200 mètres ;
4- La présence de grandes quantités d’acier fondu dans les sous sols des WTC 1 et 2 ;
5- La disparition complète (fondue ou vaporisée ?) d’une presse de 50 tonnes située au sous-sol du complexe du WTC ;
6- Malgré un arrosage continu des débris pendant plusieurs jours
d’affilée, de l’acier encore rouge est retiré des sous sols 6 semaines
après les effondrements ;
7- Un taux anormalement élevé de Tritium a été mesuré sur le site ;
8- La très faible hauteur de la pile des débris des WTC 1 et 2, qui auraient normalement occupé un volume bien plus grand ;
9- L’absence quasi-totale dans les ruines des bâtiments 1 et 2 d’équipements de bureau [1]
d’ordinateurs, restes humains etc. enfin, de tous corps massifs ou
composés d’eau, alors que des milliers de documents en papier intactes
recouvrent une grande superficie du site ;
10- Certains véhicules situés à proximité des tours, non touchés par
des débris, auraient mystérieusement pris feu de manière instantanée ;
11- Plusieurs circuits électroniques sensibles, dédiés aux
télécommunications entre autres, auraient apparemment été endommagés
dans un périmètre de plusieurs dizaines de mètres de l’épicentre, trois
mois auraient été nécessaires au rétablissement de ces services ;
12- Présence, à l’effondrement des 2 tours, de colonnes nuageuses
verticales, trahissant ici l’action de gaz chauds, tel ceux rencontrés
dans les cheminées qui caractérisent la physionomie des déflagrations
thermonucléaires.
13- Les étranges enregistrements sismiques du Earth Observatory
de l’Université de Columbia, situé à une trentaine de km au nord du
complexe WTC, démontrent distinctement la présence de deux importantes
pointes, traduisant la libération rapide d’une grande quantité
d’énergie, survenues peu après le début de chaque effondrement : 2.1 (à
l’échelle Richter) pour la tour sud et 2.3 pour la tour nord ;
Autant d’anomalies étranges qui interpellent tous esprits rationnels, encore capables de réflexion autonome.