Je ne sais ce qu’à dit M. Borloo, mais je peux préciser avec plaisir « ma » pensée, la façon dont j’aimerai que cela soit compris (et non ionterprété).
Je suis très loin de tout rapprochement avec le libéralisme. Bien au contraire.
Le concept d’Egalité, tel qu’il est utilisé par beaucoup, n’est en réalité souvent qu’un prétexte qui justifie beaucoup d’abus.
Un exemple (le plus parlant) : la Santé. Je suis pour l’égalité de Tous, SANS EXCEPTION, devant l’accès aux soins et aux thérapies les plus performantes. Mais , il faut reconnaître, que l’on est en droit d’exiger un certain effort de solidarité.
Il est normal, à mon sens, que ceux qui en ont les moyens (les plus fortunés) participent un minimum aux frais engendrés par les soins ou appareillages dont ils bénéficient alors que les autres, les plus démunis, aient droit aux MEME THERAPIES et APPAREILLAGES sans que cela ne leur coûte .
L’égalité, telle qu’elle est entrée dans les esprits, fait que les plus démunis n’ont pas accès à la Santé avec les même droits que les autres. Que l’on parle plutôt "d’équité, comme je le fais, ne me parait pas être un concept qui tende à retirer quoi que ce soit aux plus nécessiteux, bien au contraire.
L’Egalité, interdit, dans les faits qu’une « jambe de rmiste » vale « une jambe de nanti » ; quand on doit la remplacer par une prothèse, les deux personnes devraient avoir DROIT au même appareillage dans les même conditions, et la Solidarité républicaine doit imposer le DEVOIR au plus aisé de participer à l’équilibre des comptes de la Sécutité Sociale et donc aux frais.
Voilà l’Equité républicaine, qui est en fait bien plus