On note aussi une vision du passé, et chiffres inexacts venant de sources non fiables.
La plus grand manquement au texte est la non maîtrise ou explication de la
dynamique du capital. Une vision figée et stéréotypée de l’économie comme si elle n’était en mouvement. Du Marxisme.
La concentration de richesse n’est pas une conséquence du capitalisme, mais de l’état.
Il n’existe pas de monopoles, sans un favoritisme de l’état. Seul l’état est un frein à la destruction créatrice et s’oppose au turn-over de la richesse.
Le capitalisme entraîne l’accumulation de richesse ? Effectivement.
Si vous voulez ouvrir une entreprise vous devez épargner (accumuler de la richesse) ou avoir l’idée de l’année pour investir.
Le capitalisme exerce aussi la « déconcentration de richesse ». Kodak, Chrysler, Leyman Brothers ont fait faillite alors qu’ils faisaient partie des 1%. A l’inverse, il y a 15 ans Google, Facebook, Tesla Motors n’avaient aucune valeur mais sont aujourd’hui dans les 1%. En France Niel le PDG de Free, ou Drahi PDG de numéricable ne disposaient il y a 15ans de richesses.
L’auteur sous entendrai que la France avec l’interventionnisme d’état aidait le social. Le social Francais n’a jamais aidé que les insider contre les outsiders. Les vieux contre les jeunes, Les employés contre les chômeurs. Les privilèges des corporations contre celles des indépendants. La création d’une population terrorisée de l’économie de marché et statique.
En France la conséquence de l’interventionnisme d’état depuis 1945 est l’absence de capitaux d’investissement comme les fonds de pension. La protection des insider contre les outsider, ce qui fait que les entreprises du CAC40 sont celles toujours les mêmes et empêche la dynamique du capital.