@Fifi Brind_acier
Même si vous le répétez ad æternam, c’est ne devient pas plus vrai.
Je le répète, l’EU - et l’Otan ne sont pas en liaison indissociable ! Si non, je vous prie de citer le texte. Ce n’est pas parce que je suis EU-friendly.
Mais c’est une « maladie » d’une certain « gauche » d’ajouter toujours plus des conditions pour caler sa propre doctrine. Pour vous il faut ajouter la sortie de l’EU et de l’euro, pour @Giordano Bruno il faut en plus « commencer la réflexion par la façon comment se constituer en démocratie » etc.
C’est a mourir de rire si le sujet n’était pas a pleurer. Si vous vous demandez comment on est arrivé la (...nous n’avons pas une forme de pouvoir suffisante pour imposer ces exigences... GB), regardez dans la glace.
Tiens, j’ai une parabole sous la main qui passe pas mal :
Parabole du Bouddha et de la maison en flammes (extrait)
... « Il n’y a pas longtemps, je vis une maison. Elle brûlait. Du toit
Jaillissaient les flammes. Et je m’approchai et je remarquai
Qu’il y avait encore des gens à l’intérieur. Et je me tins sur le seuil et criai
Que le toit flambait et les engageai
A fuir sans délai. Mais ces gens
Ne semblaient pas presses. Et l’un d’eux me demanda,
Alors que la chaleur déjà lui roussissait les sourcils,,
Comment il faisait au dehors, si au moins il ne pleuvait,
Et si le vent ne soufflait, s’il y avait une autre maison
Et même quelques-unes de semblables. Et je ne répondais
Et m’en fus. Et je pensai :
Ceux-la doivent se consumer avant qu’ils ne cessent de poser des questions. En vérité,
mes amis,
Celui pour qui le sol n’est pas encore assez brulant, et qui ne préfère
Changer pour tout autre plutôt que de demeurer là, à celui-la
Je n’ai rien à dire. » Ainsi parlait Gothama, le Bouddha.
Mais nous aussi, que ne préoccupe plus l’art de se résigner,
Mais celui de jouir et maint précepte
D’un art profane, nous qui, tout en les plaignant, invitons les hommes
A se défaire de leur bourreau humain,
A ceux qui sous les escadrilles de bombardiers survolant la capitale,
A ceux qui éternellement demandent,
Comment nous nous étions représenté ceci, et comme nous nous l’imaginons
Et ce qu’il adviendra de leur livret d’épargne et de leur pantalon du dimanche après
une révolution,
A ceux-là non plus, nous n’avons pas grand-chose à dire. (B. Brecht)
a bon entendeur