@ Chalot
Bonsoir,
L’hôpital public n’est pas le seul concerné, c’est tout le système de couverture sociale qui est en cause.....et çà n’est pas la seule santé qui est en cause.
Maintenant comment déméler le vrai du faux.......sur le problème de la santé.
En hôpital public :
- ma mère, victime d’un AVC, a été admise la matinée d’un certain jour, 12 heures après je l’ai vu dans un fauteuil roulant, sanglée en raison de son agitation, en route pour passer scanner et IRM........à ce stade, c’est déjà foutu, mais bon elle avait 79 ans.....elle peut crever, la vieille, c’est pas urgent vu son âge,
- victime d’un accident de circulation, après 5 heures d’attente pour interpréter une simple radio du thorax (côtes fêlées), je suis sorti en ambulance pour faire interpréter ladite radio par mon médecin traitant qui lui n’a pas eu besoin de 5 heures pour poser le diagnostic,
- mon épouse, victime d’une infection nosocomiale, a attendu 14 heures dans un couloir avant qu’on ne programme une opération en urgence le lendemain matin alors qu’un TDCMF est pris en urgence absolue apparemment, parce qu’il avait voulu se suicider en sautant du rez-de-chaussée, victime d’une simple foulure,
En clinique :
- victime d’un accident, j’ai eu la main gauche profondément ouverte : prise en charge immédiate, sortie dans les 2 heures qui ont suivies,
- toujours suivi par les mêmes médecins, à l’inverse du public qui réserve pour ce faire le secteur privé de l’hôpital public (comprend pas un secteur public qui pratique le secteur privé !),
- arrivé en consultation pour un simple contrôle cardiologique, je suis temporairement hospitalisé durant 1 heure,
- lié à une perfusion multiple, attaché aux monitorings, on m’amène le rasoir et la bombe de mousse, mais on ne m’apporte pas de bassin d’eau, on me lave mais on le rince au bout d’une heure......
La prochaine fois, j’irais me faire soigner par mon vétérinaire, çà ne sera pas pire ! Et en plus, je n’aurais pas à raconter mon passé médical......soit il me soigne, soit il me pique. !
Sur ce, j’aime vos interventions passionnées,en ce qui me concerne, la passion associative n’est passée (62 ans, 25 ans d’associatif m’ont suffit pour comprendre, mais j’admire ceux qui y croient encore).
Bien à vous,