Alors on sort de ses gonds, Fifi ? On se pique ?
Il ne vous en faut pas beaucoup, dites donc.
Vous dites dans votre courroux :
« L’UPR a combattu la loi Fioraso et a fait un Colloque sur la défense de la langue française. »
C’est exact. Et alors, qu’est ce qu’on fait maintenant ?
Le sujet posé par Victor, l’auteur de cet article, c’est : « que faire pour lutter contre la situation actuelle du Globish qui envahit tout »
Et vous ne savez que répéter la ritournelle de la sortie de l’UE, et mettre des liens internet. Comme d’habitude.
Ça, ce n’est pas une réponse.
Argumentez donc, Fifi.
Argumentez donc, en évitant de parler comme à chaque fois du plan Blum-Byrnes ou bien du plan Marshall, qui sont DES causes — et non LES causes — à la situation actuelle. Parlez donc des mesures qu’il convient de prendre maintenant pour enrayer ce processus d’américanisation.
J’ajoute que la conférence de François Asselineau « Le jour d’après », fort intéressante, du reste, ne traite absolument pas de cette question linguistique, surtout pas, — une question qui ne vous semble pas — à vous comme à beaucoup d’autres personnes — bien claire quant aux solutions à y apporter.
C’est bien ça le problème.
Une preuve de plus, s’il en fallait, que le plan étasunien qui a consisté « à agir sans débat et de manière subreptice pour que l’anglais internationalement utilisé soit inévitable pour les générations suivantes, devienne inévitable. »
Nous en sommes-là.
Il reste que, mis à part quelques rares personnes parmi celles qui ont réagi à cet article, pour la plupart, c’est « avec l’anglais RAS-TVB. »
Cordialement.
Thierry Saladin