@alinea
La Convention d’armistice franco-allemande signée le 22 juin 1940 prévoyait, en son article 18, les dispositions suivantes : « les frais d’entretien des troupes d’occupation allemandes sur le territoire français seront à la charge du gouvernement français ». La somme journalière était fixée à 400 millions de francs. En janvier 1941, elle est ramenée à 300 millions, soit 109 milliards portés au service de la dette à la fin de l’année 1941. En 1942, le Trésor public émit une note évaluant à 285,5 milliards de francs le montant des paiements effectués en direction de l’Allemagne, à savoir : 109,5 milliards de frais d’occupation, 6 milliards de frais de logement, 50 milliards d’avance pour le clearing et 120 milliards de dépenses de services financiers. Les premières conséquences de cette charge exorbitante fut une augmentation des prix alimentaires (multipliés par 4 entre 1940 et 1943)5.
comme les grecs, voilà déjà un petit en cas de frais de bouche à adresser aux allemands, à la façon grecque. Evidemment la note ne prend pas en charge les destructions de ports, de villages, et les massacres de population genre oradour.
On n’aura forcément besoin de ce fric avant que nos anciens pays coloniaux nous envoient eux même leur facture.
Vous imaginez vous avec ce que jouent ces gens : L’instrumentalisation du passé, à leur bénéfice.
Au moins le solde de la guerre avait été rendu inoffensif pendant presque un siècle grace à quelques astuces : Le plan marshall, Nuremberg, et le refus de se retourner, de peur d’être changé comme la femme de loth, en statue de sel.
C’est pour moi la plus grande vilenie de tsipras, de jongler ainsi avec les bâtons de dynamite, pour ne pas voir sa boutique mise en faillite