L’implication d’Hugo Chavez dans le traffic de coke n’a jamais été formellement prouvée et repose principalement sur les accusations de Mildred Camero. Même les Etats-Unis qui ne manquent jamais une occasion de diaboliser la République Bolivarienne du Vénézuéla n’ont pas utilisé ces accusations lors du récent coup d’état raté. Il y aurait il un problème de véracité ... ?
Accusations qui proviendraient aussi des disques durs qui ont « survécu » aux bombardements du camp des FARC 
Si les liens entre les FARC et le gouvernement Chavez étaient de notoriété, les accusations de complicité de narco-traffic sont semble t’il pure propagande. En effet, curieux que les infos de ces disques durs ne révèlent rien par contre sur les contacts avec Richard Grasso, l’ancien boss du NYSE (la bourse de New York).
On se demande encore quel était l’objet de la rencontre entre Richard Grasso et le leader des FARC Raul Reyes dans la jungle colombienne en 1999. Convertir la guérilla marxiste à l’économie de marché ? 
Par contre l’implication du président colombien Avaro Uribe « Teflon » dans le traffic de coke est publique depuis que des documents des services secrets US de 1991 ont été déclassifiés en 2004.
Voir le n° 82 sur la liste.
Quand aux banques ont peu aussi ajouter HSBC et JP Morgan. Je crois que Tom Burghardt (l’auteur du « Président Teflon ») avait fait des articles sur le sujet il y a 2/3 ans. Articles qui devraient être dans les archives de Global Research (désolé pas le temps de fournir les liens).