Le journal Le Monde du 21/12/1977 publiera un article de F.J. TOMICHE, chef des services de presse et de publications de l’OMS :
« Sur le plan stratégique, l’abandon de la vaccination de masse en faveur de l’approche dite « de surveillance-endiguement » revêtit une importance capitale. Avec ce type d’approche on parvenait à faire complètement échec à la transmission, même lorsque l’incidence variolique était élevée et les taux d’immunisation faibles. La méthode consiste en la prompte détection de nouveaux cas, suivie de mesures d’endiguement immédiates, c’est-à-dire la recherche de tous les contacts possibles et leur isolement afin d’arrêter la transmission. »
Comment on fait disparaître la méthode de la surveillance-endiguement
Après cette date on va assister à la subtile occultation… de la méthode de surveillance-endiguement ! Tout ce qui n’était pas de la vaccination dans ce qui avait permis la victoire sur la maladie sera omis au profit de la vaccination massive et généralisée des populations. Les preuves de cette évolution ne manquent pas et chacun a pu en être le témoin voire le zélateur involontaire pour clamer haut et fort en toute occasion et sur tous les tons et encore aujourd’hui dans tous les médias, que
« La variole a disparu de la surface de la terre grâce uniquement à la campagne de vaccination menée par l’Organisation Mondiale de la Santé ».
Alors que ces grandes campagnes furent un échec cuisant et que la seule vaccination qui a pu être vraiment utile fut celle des équipes de santé qui avaient les malades en charge. Cependant, beaucoup de membres de ces équipes étaient recrutés parmi d’anciens varioleux. De plus, les récentes directives d’application du plan variole prévu par le ministère pour faire face à une attaque terroriste par la variole, tout en imposant cette vaccination au personnel d’intervention, recommande aussi le port d’une blouse, de gants et d’un masque afin de rassurer le dit personnel... Deux précautions valent mieux qu’une !
Cependant, en octobre 2001, devant la menace supposée imminente et pourtant très hypothétique du retour de la variole, et devant la réelle menace de la reprise de sa très redoutable vaccination, des voix très autorisées tenteront de se faire entendre pour rétablir un peu de calme et de vérité au milieu de cette psychose organisée :
Le 26 octobre 2001 [2] : le Directeur général de l’OMS, le docteur Gro Harlem Brundtland, déclarera en effet :
« L’efficacité des vaccins existants est prouvée ; mais on observe une forte incidence des effets indésirables. La probabilité de ces réactions est suffisamment élevée pour ne pas procéder à la vaccination de masse tant que le risque d’exposition est faible, voire inexistant.
L’OMS confirme que la meilleure méthode pour enrayer une épidémie de variole, si elle devait se produire, reste la même : recherche et confinement. Cela signifie de rechercher les personnes atteintes, d’identifier celles qui ont été en contact et de les vacciner. »
11/07 10:24 - yosh-i
Reprochez le prix de l’infanrix hexa et tout sera pire. Les apparences sont trompeuses, (...)
13/09 20:54 - kamekool
@yungmi : on nous avait prédit Septembre 2015 dans les pharmacies, mais lorsqu’on les (...)
23/05 14:35 - yungmi
si il faut un an de fabriCation en labo pour le TETRAVAC c’est pour bientot mais quant (...)
23/04 20:50 - doctorix
23/04 20:26 - doctorix
21/04 11:55 - REVAHB
Erratum : Il faut lire le prix du jeune revaxis était de 10,23€
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