Pour Dom 666
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C’est la Gauche qui a collaboré. Vous qui croyez que que l’Action Française n’était pas dans la résistance, voici quelques éléments qui vont bouleverser tous vos clichés , mes sources viennent de Simon Epstein et David Irving. C’est pas rien comme source, isn’t it darling ? C’est bel et bien la GAUCHE anti raciste de la LICA qui a le plus collaboré pendant la Guerre :
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Exemples de personnalités du régime de Vichy venues de la gauche
antiraciste :
René Belin, numéro 2 de la CGT déclare à la revue antiraciste « Droit
de vivre » en juin 1939 : « La classe ouvrière est profondément
antiraciste. Je suis entièrement d’accord avec l’action de la LICA ».
Cela ne l’empêche pas de devenir ministre de la production industrielle et
du travail du maréchal Pétain et de figurer parmi les signataires du statut
des Juifs du 8 octobre 1940.
Gaston Bergery, membre du parti radical, écrit en 1936 : « Le
racisme et l’antisémitisme sont contraires à l’idée de Nation… C’est la
diversion, la recherche du bouc émissaire, et c’est là une opération
abominable ». Cependant, il vote les pleins pouvoirs à Pétain le 10
juillet 1940, devient un militant actif de la Révolution nationale et de la
collaboration, avant d’être nommé ambassadeur du maréchal à Moscou puis à
Ankara.
Georges Bonnet, député radical-socialiste, ministre des affaires
étrangères en 1938 et 1939, président d’honneur du « Deuxième congrès
international du rassemblement mondial contre le racisme », déclare en 1938
: « La France doit donner l’hospitalité à tous ceux dont la vie est
menacée ». Pourtant, lui aussi devient un notable de Vichy et approuve
la rencontre de Montoire entre Pétain et Hitler dont il salue le «
caractère historique » car « marquant le début d’une organisation
nouvelle de l’Europe dans laquelle la France et l’Allemagne, chacune avec
son génie, doivent tenir une place… »
Gratien Candace, député de gauche de la Guadeloupe, proclame en
janvier 1939 que « le racisme est la plus grande honte politique et sociale
du XX ème siècle ». Lui aussi vote les pleins pouvoir au régime du maréchal
Pétain et entre dans le « Conseil national » de Vichy. Charles Pivert,
militant à la SFIO, déclare lors d’un congrès de la LICA que « le
fascisme comme le racisme, est un état de régression sociale ».
Pourtant, il adhère sons l’occupation à une organisation collaborationniste,
« France-Europe », et écrit dans la revue « Germinal ». Eugène
Frot, député socialiste, plusieurs fois ministre, est membre d’honneur
du « Centre de liaison des comités pour le statut des immigrés » (lié à la
LICA). Il vote pour Pétain en juillet 1940, intègre le Conseil national de
Vichy et « l’Amicale lavaliste ».
Hé hé hé....