@La Dame du Lac
Pour être foireux comme doc c’est ce qu’on
appelle de foireux ?
Je suis au parfums des ces député
radical-socialiste collabos. Dire que c’est la gauche qui a collaboré c’est aller
vite en explication.
Savez vous qu’Hitler était
« radical Socialiste » dons bien sur les Radicaux Socialiste étaient
pour Hitler
Ce n’est pas moi qui pense que l’Action
Française n’était pas dans la résistance, mais tous les historiens les plus célèbres
de France, et les spécialistes de la résistance
Les noms que vous nommez n’apportent
rien, si il fallait relever tous les pedigrees des collabos aux gouvernement du
Marchal Putain effectivement ont aurait des surprises.
Autre part pendant la guerre il y a eu
deux mouvements principaux de la résistance Les FFI et les FTPF, dans tout ce
petit monde Français très peux ce sont vanté d’être au parti radical socialiste
vu
Qu’À la suite de la débâcle de juin 1940, la majorité des parlementaires du
parti radical, comme la plupart des parlementaires, votent le 10 juillet 1940
les pleins pouvoirs constituants au maréchal Philippe Pétain, mais une minorité
s’y oppose. Vincent Badie en particulier rédige une protestation contre la
dictature qu’il prévoit. Tentant de monter sur la scène du grand Casino de
Vichy où est rassemblé le Parlement, il est empêché de parler en vertu du
règlement. Parmi les 80 parlementaires qui ont refusé de voter les pleins
pouvoirs, on ne compte que 13 radicaux. La majorité approuve, d’autres
s’abstiennent ou ne prennent pas part au vote, notamment ceux qui sont partis à
bord du Massilia.
Sous l’occupation, de nombreux radicaux sont victimes du régime de Vichy qui
cherche des responsables de la défaite parmi les anciens ministres de la IIIe
République. Édouard Herriot est démis de son mandat de maire de Lyon. Édouard
Daladier subit le procès de Riom. Jean Zay et Maurice Sarraut seront assassinés
par la Milice. Plusieurs radicaux se lancent résolument dans la Résistance, tel
Jean Moulin ou Pierre Mendès France, même si une frange du parti radical
apporte également son soutien à Philippe Pétain ou Pierre Laval.
L’après-guerre et le retour aux affaires
À la Libération, le parti est associé à la Troisième République et à son
échec. Concurrencés par les centristes du MRP, les radicaux s’effondrent à
15 % des votes aux élections, dominées par les gaullistes et les communistes.